Renny Harlin
Réalisateur
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Note moyenne : 6.79/10Nombre d'évaluations : 461
0 Citations 133 Commentaires sur ses films
Les derniers commentaires sur ses films
Ni bon ni mauvais mais juste sans intérêt. Tout est un peu surjoué et le scénario reste assez banal dans l'ensemble. De quoi passer le temps.
Afficher en entierLe problème de ce film c'est qu'il arrive longtemps après des films de braquage de haut niveau (la saga des Ocean's Eleven entre autre) et qu'il n'en tient pas compte. Le résultat est qu'on a l'impression de l'avoir déjà vu. Alors évidemment on se laisse attraper par l'intrigue et comme on devine ce qui va arriver, on regarde d'autres détails: les images magnifiques du désert, l'architecture futuriste d'Abu Dhabi, et la tendresse entre Richard et sa fille Hope. Pour ma part j'ai vu le film en VO pour ne pas trop perdre mon temps, ha ha ha...
Afficher en entierChronique complète :
https://sunread26.wordpress.com/2020/06/29/funeral-killers/
Extrait :
Funeral Killers est un film chinois réalisé par Renny Harlin en 2019. Il se place dans une morgue, une veille de Noël où il fait orage, avec à l’intérieur un légiste, son assistante, un agent de sécurité et un agent d’entretien, et à l’extérieur, trois criminels armés et portant des masques de Noël.
Le légiste, interprété par Nick Cheung Ka-Fai, démontre toute son intelligence au cours du film, entre coup de bluff et sens du sacrifice. Son assistante, interprété par Zi Yang, n’est pas sans reste, puisqu’elle est plusieurs fois confronté aux criminels et n’hésite pas à se battre avec l’intention de tuer. Quant aux criminels chacun possède son propre caractère, le jeune est déjanté, son frère aîné plus pausé presque gentil et enfin le chef bien méchant et bourrin.
Les autres personnages du film sont secondaires et ne font qu’une brève apparition durant laquelle, nos deux protagonistes principaux voudront prévenir du danger et surtout appeler « au secours » sans réel succès. En effet, tout au long du film, ils seront comme pris au piège dans cette morgue et pourchassé par les criminels qui avaient détruits tout les moyens de communications vers l’extérieur.
[...]
En bref, il s’agit d’un bon film d’action pour passer le temps et pour voir de bons combats au sein d’une morgue, un lieu peu orthodoxe.
Afficher en entierUn film sans grande surprise plutôt pas mal niveau qualité d'image
Afficher en entierMême si ce film a pas mal de défaut, et ce n'est que mon avis, il était plutôt bien.
Afficher en entierBon ! Par où commencer ?
Premier point positif, je dirais la photographie, pour laquelle j'ai eu un petit coup d'oeil, ça correspond bien à l'image que j'ai de l'univers fantastique. Deuxième coup de coeur, ça concerne la bande son, même si je trouvais qu'on aurait pu en mettre des mieux.
Cependant, en points négatifs, on peut parler des dialogues fades sans grand intérêt entre Caleb et Sarah (des sourires timides par là, une danse qui se veut sexy par ici, et des phrases banales par là-bas, ça se résume à ça leur histoire d'amour). Autre point, Pogue se la joue ténébreux et mystérieux, peu proche de sa copine jusqu'à ce qu'elle soit en danger. Reid, le blondinet qui est censé être rebelle et anti-système, est en fait un petit con près à se mettre en danger pour se montrer alors qu'il met ses amis dans la merde (c'est normal qu'on doute de sa sincérité dès le début). Et enfin Tyler, l'inexistant pote toujours aux côtés de Reid sans jamais oser le contre-dire ou le raisonner.
Bon, le méchant est assez rapidement deviné, et malgré qu'il tente de se cacher tant bien que mal derrière son image d'élève modèle et propre sur lui. Et il en fait trop une fois que son identité est découverte. Sérieusement, les antagonistes méritent mieux qu'un patéthique grand sourire et des répliques que même des ados pré-pubères ne diraient pas entre eux !
Les personnages féminins sont caricaturaux à fond, des vraies chipies superficielles, gnan-gnan et sans réel importance à l'histoire. Je pensais sincèrement que Sarah (la nana qui sourit bêtement à Caleb, a un premier "rencard" dans un supermarché pour faire les courses pour la mère de Caleb et qui hypnotise sans aucune raison les garçons alors qu'elle est tout ce qui a de plus banal, comme une certaine Bella Swan), allait avoir un véritable impact dans l'histoire. Mais que neni ! À part se poser deux questions sur le beau Caleb (il a des abdos et une belle gueule, mais surtout une voix française tellement pas cohérente avec sa tête de gamin), elle n'est en aucun la victime principale du grand méchant vilain pas beau. Tout ce quoi elle sert c'est être la cruche de service qui fait un cauchemar et qui ne voit rien de ce qu'il se passe. Sa copine et colocataire (j'ai oublié le nom) est utile uniquement pour s'embrouiller avec son mec (soit le Dark Sasuke mais version John Carter aux cheveux mi-longs) et être un dommage collatéral parce qu'elle sort avec l'ennemi du méchant.
Dommage, car l'histoire de fond qui concerne l'histoire de la chasse aux Sorcières de Salem, les inconvénients du pacte de leur ancêtres (inconvénients que j'appelerai plutôt une malédiction) et les motivations du méchant étaient vraiment intéressants, tout aurait pu être plus approfondi et exploité mais les scénaristes et la production n'ont pas trouvé la motivation de pondre une bonne histoire (elle n'aurait pas été la meilleure de sa décennie, mais elle aurait pu marcher avec plus de volonté !).
Afficher en entierUn scénario simple comme beaucoup des films de Stallone dans cette période mais qui a su être divertissant, efficace et avec de belles images de montagnes, un rôle assez loin de ce qu'il faisait d'habitude.
Un bon divertissement.
Afficher en entierC'était pas mal du tout pour un film de pirate qui n'a, apparemment, pas bonne réputation. Il y a tout de ce qui fait la qualité d'une bonne histoire de pirate, un trésor, des bateaux, l'océan et un abordage et ils ont pris le parti d'y mettre une femme en tant que capitaine... que demander de plus?
J'aurai peut-être aimé que, quitte à être une pirate, elle ne soit pas obligée de se taper une romance sans intérêt et sans surprise non plus. C'était déjà bien d'y mettre une femme, autant aller au bout de l'idée et la laisser aussi libre de voguer et de pirater sans histoire de fesses dedans.
Pour ma part, une bonne histoire de pirates.
Afficher en entierJ'ai toujours aimé ce film, et ce malgré ses mauvaises critiques, j'adore Geena Davis et Matthew Modine n'est pas si mauvais. Le film est drôle et entraînant, pas de temps morts. Une vraie superproduction à l'américaine, avec une héroïne qui en a...
Afficher en entierJ'ai beaucoup aimé ce film. Je pense même plus que le premier.
J'ai bien aimé le fait que ce soit un huit-clos dans un aéroport, ça rajoute quelque chose.
Bruce Willis est toujours aussi bon dans son rôle, j'ai beaucoup apprécié le retour de Powell. Lorenzo est très chiant, "l'ingénieur" est très sympa. Spoiler(cliquez pour révéler)J'ai eu beaucoup de mal avec le commandant de l'armée et je comprends maintenant pourquoi.
C'est toujours un film sympa à voir pendant une après-midi.
Afficher en entierLes gens aiment aussi
Dédicaces de Renny Harlin
et autres évènements
Aucun évènement prévu
Studios
Warner Bros : 3 films
Metropolitan FilmExport : 2 films
Twentieth Century Fox : 1 film
Screen Gems : 1 film
Gaumont : 1 film
Dimension Films : 1 film
AMLF : 1 film
Rex Media : 1 film
Biographie
Renny Harlin, de son vrai nom Renny Lauri Mauritz Harjola, est un réalisateur et producteur finlandais né le 15 mars 1959 à Riihimäki (Finlande), connu pour ses films d'action. Il est dans les années 1990 un réalisateur important de blockbusters.
C'est à l'Université d'Helsinki, en Finlande, que Renny Harlin fait ses études de cinéma et réalise ses premiers courts métrages et documentaires. Conscient de ne pouvoir s'imposer sur le devant de la scène internationale par le biais de l'industrie cinématographique de son pays, l'apprenti-metteur en scène émigre aux États-Unis au milieu des années 80 et fait ses armes à Hollywood en signant Le Cauchemar de Freddy en 1988, quatrième volet de la terrifiante saga. Mais la consécration, il la décroche grâce à une autre série, celle de Die Hard, en réalisant en 1990 58 minutes pour vivre avec Bruce Willis dans son rôle du flic tenace John McClane.
Considéré comme l'un des nouveaux spécialistes du film d'action, il se paye le luxe de refuser la mise en scène d'Alien 3 pour confirmer sa réputation avec Cliffhanger, traque au sommet, un long métrage qui permet à Sylvester Stallone de retrouver les sommets du box-office en 1993. La même année, il épouse l'athlétique Geena Davis, avec qui il fonde la société de production Forge. Les collaborations sur grand écran du célèbre couple (L'Île aux pirates en 1995 et Au revoir à jamais en 1996) se solderont malheureusement par de cuisants échecs commerciaux. Cette association prendra fin en 1998 avec un divorce retentissant.
Et si le succès est à nouveau au rendez-vous en 1999 grâce aux requins sournois de Peur bleue, les retrouvailles avec Sylvester Stallone pour Driven en 2001 se révèlent quant à elles décevantes. Renny Harlin n'a alors d'autre choix que de se consacrer à la réalisation de thrillers beaucoup moins onéreux comme Profession profiler en 2004 ou Cleaner en 2007. Après Le Pacte du sang en 2006, il est appelé à la rescousse par les studios Warner Bros. pour remplacer Paul Schrader à la mise en scène de L'Exorciste, au commencement en 2004 et pour en proposer une version plus conforme à leurs souhaits.
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