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La Chute du faucon noir
Blade Runner
Seul sur Mars
On ne peut que s'émouvoir de la solidarité des militaires américains qui font tout pour se porter secours mutuellement et qui retournent volontairement au casse-pipe pour aider les autres qui sont en difficulté.
Bonne réalisation de Ridley Scott.
La Chute du faucon noir
Hannibal
On sens également, tout au long du film, « l’égo américain » poussant le réalisateur à dégrader l’une des plus grandes figures de l’histoire de France. Ne montrant de lui qu’un tyran, idiot et sauvage allant jusqu’à le montrer comme une vulgaire bête sans cervelle… Une vision… a des années lumières de l’homme qui sortit la France du Gouvernement de la terreur et de celui qui mit en place le code pénal et qui créa le Lycée.
Les dernières secondes du film dénaturent encore plus le personnage qu’il était en montrant qu’il n’a su, de sa vie entière, que tuer 3 millions de ses compatriotes… Montrant ainsi un homme sans morale et sans honneur, ce qui encore une fois ne convient pas au personnage historique des livres et des écrits. Là où le film dépeint les trahisons, la lâcheté et le manque d’honneur des autres nations… Sans pour autant appuyer dessus… (Prusse, Autriche-Hongrie, Russie, Angleterre).
Quelques anachronismes et aberrations historiques sont à noter. Je ne m’étalerai pas dessus, d'autres spécialistes et historiens le feront bien mieux que moi…
Le côté positif de ce film est qu’il nous offre des scènes de batailles relativement impressionnantes qui montre réellement les horreurs de la guerre, mais aussi à quel point un fin stratège peut modifier le cours d’une bataille.
Le rythme du film est également très inégal. Il est bien sûr normal car il est chose peu aisée que de conter 20 ans de la vie bien remplie d’un homme dont l’histoire se souviendra encore pendant longtemps. Il y a cependant quelques scènes inintéressantes au possible voire grotesques pour certaines. Toutes les scènes charnelles où liée à la relation physique entre Napoléon et Joséphine sont pour moi toutes ratées.
La performance de Vanessa Kirby est à souligner car de par son jeu d’acteur elle vole totalement la vedette à Phoenix, montrant encore une fois ses talents d’actrices. On parvient à sentir en elle toutes la puissance et la force de cette femme qu’était Joséphine.
En résumé je pense qu’il s’agit d’un bon film, ou du moins qu’il aurait dû l'être voir plus, mais malheureusement avec un traitement du personnage principal totalement raté, il n’y avait malheureusement plus de meuble à sauver.
Napoléon
Je ne suis pas une grande amatrice d’Histoire, je connais évidemment les grandes lignes, pour autant, ça ne va pas plus loin, c’est sûrement pour cette raison que ce métrage ne m’a aucunement dérangé, mais je peux comprendre que les grands connaisseurs aient pu concevoir une vraie déception en ce sens, il est toujours très sensible de s’attaquer à un tel sujet d’ampleur. Pour autant, il n’a jamais été question d’en faire un biopic, ce n’était pas sa vocation première, il est peut-être bon de le rappeler, de remettre les choses dans le contexte, pour ainsi comprendre que des libertés ont effectivement été prises, c’est un choix, une fiction, bien que basée sur des faits réels, mais c’est une direction artistique qui peut effectivement faire débat. Pour ma part, j’y ai adhéré avec beaucoup de plaisir, bien que certains éléments puissent être discutables, notamment dans sa finalité, j’ai été fascinée par le parcours que l’on nous fait partager, par le destin de cet homme qui a pris sa vie en mains avec une certaine violence, mais aussi une ambition monstre. C’est avant tout dans ses relations, dans ses ambivalences que ce film se démarque, on se penche plus sur sa psychologie, sur celle de ceux qui ont gravité autour de lui, que sur ses actes, c’est là, le véritable point d’orgue, c’est en cela qu’il est intéressant et pas seulement dans l’exactitude des faits, bien que ses batailles soient évidemment d’une importance cruciale, elles sont également le reflet de ses états d’âme. Il n’y a rien à dire sur la réalisation de Ridley Scott, il maîtrise son art, bien que ses choix scénaristiques ne font clairement pas l’unanimité, il impose sa vision des choses, tout en ayant cette volonté de se détacher d’un récit trop factuel peut-être, prenant quelques libertés par là même. Visuellement, on ne peut nier la qualité extraordinaire de la reconstitution historique, tout est parfaitement étudié et les scènes de batailles sont absolument épiques, montrant toute la brutalité, la violence des affrontements d’une époque où les soldats n’étaient littéralement, que de la chair à canon. En ce qui concerne le scénario, c’est le récit d’un destin, on ne peut évidemment pas tout dire en si peu de temps, il y a des choix à faire, des impasses parfois, là encore, tous ne seront pas ravis du résultat, pour autant, j’ai apprécié la chronologie choisie, les grandes lignes les plus connues sont présentes, mettant en lumière un parcours fait d’ambition, envers et contre toute logique parfois. Pour autant, à mon sens, le véritable intérêt réside dans cette vision de sa relation avec Joséphine, de l’impact qu’elle pouvait avoir sur lui, c’est passionnant de psychologie, comme s’il ne pouvait agir sans elle, comme si tout était lié à elle, ses plus grandes victoires, comme ses plus grandes défaites, un état d’esprit qui l’humanise finalement un peu plus. Quant au casting, il est extraordinaire, c’est avant tout le duo Joaquin Phoenix/Vanessa Kirby qui tient l’ensemble, dans une maestria assez impressionnante.
En bref : Un film Historique qui ne plaira pas à tout le monde pour ses directions prises, des choix artistiques, plus que factuels, mais sa prétention n’était clairement pas d’être un biopic, en ce sens, il parvient à mettre en lumière le destin d’un homme, de ses ambitions extravagantes, à travers sa relation avec l’amour de sa vie, comme si les deux étaient inévitablement liés, pour le meilleur, comme pour le pire !
Avis complet sur le blog : https://vampiloufaitsoncinma.com/2024/01/11/napoleon/
Napoléon
Le style du road movie fonctionne à merveille, nous sommes plongé·es dans les Etats-Unis des années 80-90, dans les détails les plus clichés possibles.
Louise est l'intelligence, Thelma la naïveté, mais parfois les rôles s'inversent... Pour une fois on représente une réelle amitié entre deux femmes, sans ambiguité, sans rivalité ; une amitié profonde et sincère. Leur amitié est sans faille et c'est ce qui fait du bien.
La fin m'a donné des frissons !
Thelma et Louise
Napoléon
House of Gucci
La Chute du faucon noir
Je suis allée voir ce film avec un apriori positif, je pensais qu’avec un film américain sur Napoléon, nous aurions quelques erreurs historiques, mais je me suis dis qu’avec Ridley Scott à la barre, et Joaquin Phœnix dans le rôle titre, ça allait le faire…
Premier problème, deux heures et demi pour le général aux 40 victoires, ça fait court. Second challenge, l’acteur a 50 ans, et il est censé jouer un jeune officier de 24 ans au début du film à la bataille de Toulon (je passe sur les détails comme les épaulettes de colonel alors qu’il n’est que capitaine). Quand il rencontre Joséphine qui est censée être plus vieille que lui, forcément, ça coince. Au lieu d’avoir un homme encore jeune et manquant d’expérience, c’est un homme d’un âge certain qui se présente devant Vanessa Kirby, qui, au passage, incarne avec brio l’impératrice Joséphine.
Ma grande crainte était de voir Joaquin Phœnix refaire un personnage perturbé comme l’empereur Commode dans Gladiator. Et… c’est ce qui arrive. L’acteur principal interprète un personnage mal dans son corps, même pendant les batailles, on a le sentiment d’un malaise, alors que Napoléon dans la réalité s’épanoui dans la guerre, il aime la guerre.
Ridley Scott fait l’impasse sur la campagne d’Italie, alors que c’est la période où les lettres de Bonaparte à Joséphine sont les plus torrides, et que cette campagne va révéler Bonaparte à lui-même. L’Egypte… bataille des pyramides en 30 secondes, et retour à Paris.
Ridley Scott n’apporte jamais rien de nouveau dans ce film (il aurait pu par exemple évoquer l’entente de l’Amiral Smith avec Bonaparte afin de le laisser quitter l’Egypte en retirant sa flotte plusieurs jours). Au lieu de quoi il nous offre quelques scènes grotesques, le 19 brumaire, le sacre, et on nous présente un personnage vulgaire et grossier.
Les scènes de bataille ressemblent à des escarmouches moyenâgeuses vues dans les séries Netflix, pas de souffle épique, Ridley Scott se contente de nous passer des scènes de combat vues et revues… et qui sont fausses.
En plus de ça, la bande son n’est vraiment pas à la hauteur, il y a un manque de personnages secondaires qui vient renforcer cette impression de petitesse, dans un film à charge contre la révolution contre Napoléon et bien sûr, contre la France. La grande armée et ses grognards sont effacés, les maréchaux d’empire et la garde impériale toujours en toile de fond pour la décoration.
Ridley Scott n’hésite pas à ridiculiser le corse et traite l’histoire de France avec une désinvolture déconcertante, ce qui tranche avec le traitement accordé aux monarques britanniques dans le milieu cinématographique.
Ce film est un fiasco total car même le côté monstrueux que pouvait avoir l’empereur ne ressort pas (je pense notamment à son insensibilité face aux morts sur un champs de bataille). J’imagine que les détracteurs du « petit caporal » resteront également sur leur faim puisque les fautes les plus graves ne sont pas exploitées. Et là, nous touchons le nœud du problème ; pour pouvoir faire une critique à charge contre un tel personnage il aurait fallu mettre en évidence des qualités qui sont le reflet des défauts que possède l’Empereur. Cela obligeait à mettre en évidence un homme et un pays capable après dix années de révolution de faire danser toute l’Europe encore quinze ans. Et pour le réalisateur cela n’était pas concevable, donc on a préféré la médiocrité à une histoire qui fait de l’ombre aux autres pays…
Vu en VO
Napoléon
Je n’ai pas aimé ce film et, chose qui m’arrive rarement, j’ai failli m’endormir. Les incohérences historiques sont perturbantes mais collent à l’aspect « cinéma ». En revanche, les images sont décevantes, ternes, tout comme le jeu de Joaquin Phoenix. En revanche, Vanessa Kirby est géniale !
Napoléon
Napoléon
Napoléon