Robert Mulligan
Réalisateur
Activité et points forts
Classement dans les cinéthèques
Quelques chiffres
Note moyenne : 7.57/10Nombre d'évaluations : 28
0 Citations 10 Commentaires sur ses films
Les derniers commentaires sur ses films
J'aime beaucoup ce film et j'avoue que j'ai pleuré à un moment car ce film est assez triste mais tellement beau. A voir
Afficher en entierUn film des plus comique !!!!!
Afficher en entierGrâce au collège, j'ai pu découvrir ce flm. Séance que je n'ai pas du tout regretté. J'en suis sortie, émue, mais pas dans le mauvais sans de ce terme. Je suis maintenant heureuse d'avoir découvert ce film, qui, selon, est important de voir pour comprendre cette période de l'histoire américaine avec toutes ses injustices. Merci, merci, merci.
Afficher en entierVraiment surprenant ! Un film sur lequel je suis tombée purement par hasard et que j'ai finalement regardé jusqu'au bout parce que contrairement à ce que l'on pense, il intrigue beaucoup je trouve.
Petit bémol pour moi mais qui n'a rien à voir avec le film en lui-même, c'est la transcription du titre en français, le titre original est "The man in the moon" et ça colle tellement plus car ce titre a véritablement un double-sens.
Afficher en entierUn film magnifique plein de tendresse, de sensualité.
Afficher en entierUn film d'une touchante beauté, plein de poésie. Un gosse qui tombe amoureux, qui découvre la vie et ses problèmes, les personnes et leurs failles. De très belles images, une douceur tout au long du film. Une réalisation d'une haute sensibilité. Bref, c'est juste magnifique.
Afficher en entierUn film magnifique qui est tiré d'un roman de Harper Lee, qui est un de mes romans préférés. Le film se veut très très proche du bouquin, certaines scènes sont même un parfait copié collé des descriptions de Lee. Certains passages ont du bien entendu être omis, vu la limite de temps, mais dans l'ensemble c'est parfait. Les acteurs ont été choisis avec soin et sont talentueux et touchants. Les images noires et blancs sont belles et à chaque visionnage on se prend à espérer la victoire au procès. A voir ABSOLUMENT.
Afficher en entierLe film est soigné visuellement, très bien mis en scène, et l'ambiance mystérieuse (parfois presque poétique) qu'il prend soin d'instaurer sert intelligemment son intention : à savoir rendre à l'écran cette chronique ordinaire de l'Amérique ségrégationniste à travers les yeux de deux enfants - avec une certaine naïveté donc, mais dans un important souci de réalisme surtout.
Afficher en entierL'affiche et la bande-annonce ne correspondent pas au nom et au réalisateur du film... Il y a 2 films : Les autres, de Alejandro Amenábar avec Nicole Kidman, sorti en 2001, et L'Autre, réalisé par Robert Mulligan, sorti en 1972
Afficher en entierLes gens aiment aussi
Dédicaces de Robert Mulligan
et autres évènements
Aucun évènement prévu
Studios
Metro-Goldwyn-Mayer (MGM) : 1 film
National General Production : 1 film
Paramount Pictures : 1 film
Perlsea Company : 1 film
Biographie
Robert Mulligan (né le 23 août 1925 à New York, mort le 20 décembre 2008 à Lyme, Connecticut1 est un réalisateur américain de cinéma et de télévision.
Né dans le quartier du Bronx à New York, Mulligan étudia à la Fordham University avant de servir dans les Marines durant la Seconde Guerre mondiale. À la fin de la guerre, il obtint un poste au département éditorial du New York Times, poste qu'il abandonna pour poursuivre une carrière à la télévision.
Employé par la chaîne CBS, c'est au bas de l'échelle que Mulligan débuta sa carrière télévisuelle, comme coursier. Il gravit les échelons, apprenant le métier sur le tas, et finit, en 1948, par diriger plusieurs séries importantes. En 1959, il remporte un Emmy Award pour The Moon and Sixpence, un téléfilm qui marqua les débuts au petit écran de Sir Laurence Olivier.
En 1957, Robert Mulligan met en scène son premier long-métrage pour le cinéma, Prisonnier de la peur (Fear Strikes Out), adapté de l'histoire authentique d'un joueur de baseball atteint d'une grave maladie mentale. Cinq ans plus tard, il est unanimement salué par la critique, nommé à la fois pour l'Oscar du meilleur réalisateur et le Golden Globe du meilleur film dramatique pour Du silence et des ombres (To Kill a Mockingbird). Le film remporte trois Oscars, dont celui de l'acteur masculin décerné à Gregory Peck. Vu à travers le regard d'une petite fille, le film vaut autant comme dénonciation du racisme dans une Amérique encore entachée de ségrégationnisme que pour la manière dont le réalisateur dépeint l'innocence d'un enfant confronté à la dureté, voire à l'horreur du monde réel. En 1972, Un été 42 lui vaut une nouvelle nomination pour le Golden Globe du meilleur réalisateur.
Il tourne ensuite L'Autre, un thriller inquiétant sur le thème du dédoublement de personnalité, ayant pour personnage central un enfant.
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