Cher Cinéphile,
Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.
Nos publicités sont spécifiquement choisies pour être en harmonie avec notre contenu, centré sur le cinéma. Elles sont non intrusives et peuvent vous connecter avec des opportunités pertinentes et passionnantes dans le monde du cinéma. En bloquant ces publicités, vous limitez non seulement une source de revenus essentielle pour nous, mais vous risquez également de manquer de précieuses informations de l'industrie cinématographique.
Pour que vous puissiez continuer à profiter de nos articles, revues et nouveautés du monde du cinéma, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités spécifiquement pour notre site.
Une fois que vous avez désactivé votre bloqueur de publicités, veuillez cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page et poursuivre votre exploration de l'univers cinématographique.
Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.
Cordialement,
L'équipe CineNode
Mais c'est véritablement avec le film suivant, le mythique Highlander (1986), qu'il gagne une renommée internationale. Dans ce conte ludique, Christophe Lambert et Sean Connery incarnent des guerriers immortels traversant les siècles, du Moyen-Âge à nos jours, cherchant à échapper à un de leurs congénères adepte de la décapitation. Paradoxalement, le succès du film ne lance pas vraiment la carrière de Mulcahy. Après cinq ans de menus projets (dont quatre épisodes de la série télévisée Les Contes de la Crypte), il transpose avec Highlander - Le retour le postulat de son épopée fantastique dans ce qui est à la fois une suite et un remake de celle-ci. Le film est inexplicablement mutilé par ses producteurs, qui en coupe plus d'une demi heure. Le réalisateur renie alors le film et exige que son nom soit remplacé par le patronyme "Alan Smeethie" au générique, ce qui lui sera refusé. Il remontera le film à l'occasion de la sortie du film en DVD.
Mulcahy n'abandonne pas pour autant, et signe au cours des années 1990 plusieurs thrillers dont le succès est néanmoins mitigé : Ricochet (avec Denzel Washington), Blue Ice (avec Michael Caine) ou encore L'Affaire Karen McCoy (avec Kim Basinger). Ses incursions au cinéma, débordées par des participations à diverses séries télévisées et à des projets de jeux vidéo, se font plus rares : son Tale of the Mummy a la mauvaise idée de sortir en même temps qu'un projet similaire et concurrent, La Momie, et passe alors inaperçu. Son polar post-Seven, Resurrection (1999), s'offre la présence d'un Christophe Lambert peu convaincu et ne rencontre pas son public. Mulcahy s'éloigne alors du grand écran et ne revient que cinq ans après, en 2003, avec la biographie du champion de natation australien Tony Fingleton, intitulée Swimming upstream.
Il se consacre un moment à la télévision, en signant des téléfilms comme Mysterious Island, basé sur un roman de Jules Verne, ou La Malédiction du Pharaon, une nouvelle incursion dans l'Egypte ancienne. Le réalisateur retourne ensuite à son genre de prédilection en signant Resident Evil: Extinction en 2007, dernier volet de la saga horrifique. Il continue également à développer des projets pour la télévision ou le cinéma, dont le très attendu Zen in the Art of Slaying Vampires.