Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Cinéphile,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Nos publicités sont spécifiquement choisies pour être en harmonie avec notre contenu, centré sur le cinéma. Elles sont non intrusives et peuvent vous connecter avec des opportunités pertinentes et passionnantes dans le monde du cinéma. En bloquant ces publicités, vous limitez non seulement une source de revenus essentielle pour nous, mais vous risquez également de manquer de précieuses informations de l'industrie cinématographique.

Pour que vous puissiez continuer à profiter de nos articles, revues et nouveautés du monde du cinéma, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités spécifiquement pour notre site.

Une fois que vous avez désactivé votre bloqueur de publicités, veuillez cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page et poursuivre votre exploration de l'univers cinématographique.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe CineNode

Films
59 396
Membres
41 813

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de Cinenode
Lire la suite...
Par Mayoune le 2 Décembre 2014 Editer
Mayoune
La carrière pour le moins chaotique de ce cinéaste australien réputé pour son dynamisme et son grand sens visuel débute à l'orée des années 1980, alors qu'il connaît le succès en tant que réalisateur de vidéo-clips, un genre alors en pleine explosion. Il réalise ainsi le clip de "Video Killed the Radio Star", premier clip a être diffusé sur l'antenne de MTV. Dès 1979, il met en scène son premier film pour le cinéma, Derek and Clive Get the Horn, une délirante comédie britannique portée par le duo Dudley Moore/Peter Brook mais peu représentative de ses envies de créateur. Davantage attiré par le cinéma de genre, et plus particulièrement par l'épouvante, il revient dans son pays d'origine et met en chantier Razorback, un survival brutal contant le face-à-face d'Australiens ruraux avec un sanglier gigantesque.



Mais c'est véritablement avec le film suivant, le mythique Highlander (1986), qu'il gagne une renommée internationale. Dans ce conte ludique, Christophe Lambert et Sean Connery incarnent des guerriers immortels traversant les siècles, du Moyen-Âge à nos jours, cherchant à échapper à un de leurs congénères adepte de la décapitation. Paradoxalement, le succès du film ne lance pas vraiment la carrière de Mulcahy. Après cinq ans de menus projets (dont quatre épisodes de la série télévisée Les Contes de la Crypte), il transpose avec Highlander - Le retour le postulat de son épopée fantastique dans ce qui est à la fois une suite et un remake de celle-ci. Le film est inexplicablement mutilé par ses producteurs, qui en coupe plus d'une demi heure. Le réalisateur renie alors le film et exige que son nom soit remplacé par le patronyme "Alan Smeethie" au générique, ce qui lui sera refusé. Il remontera le film à l'occasion de la sortie du film en DVD.



Mulcahy n'abandonne pas pour autant, et signe au cours des années 1990 plusieurs thrillers dont le succès est néanmoins mitigé : Ricochet (avec Denzel Washington), Blue Ice (avec Michael Caine) ou encore L'Affaire Karen McCoy (avec Kim Basinger). Ses incursions au cinéma, débordées par des participations à diverses séries télévisées et à des projets de jeux vidéo, se font plus rares : son Tale of the Mummy a la mauvaise idée de sortir en même temps qu'un projet similaire et concurrent, La Momie, et passe alors inaperçu. Son polar post-Seven, Resurrection (1999), s'offre la présence d'un Christophe Lambert peu convaincu et ne rencontre pas son public. Mulcahy s'éloigne alors du grand écran et ne revient que cinq ans après, en 2003, avec la biographie du champion de natation australien Tony Fingleton, intitulée Swimming upstream.



Il se consacre un moment à la télévision, en signant des téléfilms comme Mysterious Island, basé sur un roman de Jules Verne, ou La Malédiction du Pharaon, une nouvelle incursion dans l'Egypte ancienne. Le réalisateur retourne ensuite à son genre de prédilection en signant Resident Evil: Extinction en 2007, dernier volet de la saga horrifique. Il continue également à développer des projets pour la télévision ou le cinéma, dont le très attendu Zen in the Art of Slaying Vampires.

Ajouter une citation

Ajouter une biographie

Ajouter un commentaire

Ajouter une information

Envoyer
Spoiler
Max 0/10000 caractères utilisés

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de Cinenode