Sidney Lumet
Réalisateur
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Quelques chiffres
Note moyenne : 7.83/10Nombre d'évaluations : 250
0 Citations 66 Commentaires sur ses films
Les derniers commentaires sur ses films

J'ai été époustouflé par ce film.
Henry Fonda est incroyablement charismatique dans son rôle.
La manière dont il parle, dont il arrive à assumer ses opinions.
Spoiler(cliquez pour révéler) La manière dont il arrive à convaincre les 11 autres jurés.
La fin est sensationnelle également. Sensationnelle et surprenante. Sensationnelle, surprenante et extraordinaire. Je n'ai plus les mots pour décrire l'émotion que j'ai ressentie à la fin.
Je vous conseille à tous de regarder ce film.
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Je le mets en Argent, car je ne l’ai pas vu depuis des années.
Je n’hésiterais pas à changer la notation en Or s’il repasse à la télé, et que cela confirme l’impression que j’en ai depuis toutes ces années.
S.Connery est incroyable, et à douze mille lieux de la prestation de James Bond (seul role que je lui connaissais à l’époque).
Le noir et blanc ne gène en rien, et ajoute même de la noirceur à ce récit.
De mémoire j’ai été très émue en regardant, et je n’hésiterais pas à le revoir si l’occasion se présente.
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Le scénario est maitrisé du début jusqu'à la fin car le suspense et le mystère reste entier jusqu'à la fin.
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Si j'ai vu la version de Kenneth Branagh en premier et que je connaissais de fait l'histoire et son dénouement, j'ai grandement pu apprécier cette version bien meilleure, qui respire le talent de ses acteurs et actrices et la noblesse et la classe de ces voyageurs de l'Orient-Express.
C'est réalisé avec talent, interprété avec brio, on sent le mystère planer et le dénouement final se dessiner doucement.
Un voyage dans ce train de la justice que je referai avec plaisir.
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Un film d'une grande chaleur, porté par ses interprètes et une écriture assez fine.
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Ce huis-clôt judiciaire ne souffre à aucun moment de son enfermement. C'est si bien fait qu'on ne pense même plus être dans une seule pièce. On est plongé au cœur du débat et des points de vues de chacun des 12 jurés.
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Un grand classique que j'ai tardé à regarder, mais que je ne regrette absolument pas d'avoir vu ! L'ennui n'est jamais au rendez-vous. Même si le nom des personnages n'est pas connu, chacun d'entre eux a une personnalité bien spécifique qu'on identifie rapidement et qui est très bien mise en scène. Loin d'être obsolète, ce film résonne encore avec des thématiques actuelles. L'évolution tant des personnages que de l'intrigue est époustouflante. Tout repose sur la remise en question de ses convictions, de ses préjugés.
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Basé sur une histoire vraie, ce film est très intéressant. On a de la compassion pour Serpico qui lutte contre la corruption et pour conserver ses valeurs, son honneur ; remarquable, tout autant que le jeu d'Al Pacino pour l'interpréter. Cependant, j'ai trouvé que le film avait quelques longueurs qui m'ont empêché de l'apprécier pleinement, bien que l'action soit au rendez-vous ; je n'ai pas autant accroché que "Douze hommes en colère" (qui, pourtant, est un huis clos).
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Très beau film a voir , je le recommande .A méditer sur le racisme et les préjugés trop souvent mis en evidence sur des situations analogues . Um film qui fait réfléchir
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Visionné dans le cadre d'un cours d'HLP au lycée. Intéressant dans le fond, mais la forme est très lente - trop pour un vendredi après-midi.
Afficher en entierLes gens aiment aussi
Dédicaces de Sidney Lumet
et autres évènements
Aucun évènement prévu
Studios
Warner Bros. : 3 films
Paramount Pictures : 3 films
Columbia Pictures Corporation : 2 films
United International Pictures (UIP) : 1 film
First Company : 1 film
Transcontinental Films : 1 film
Landau Company : 1 film
Famartists Productions S.A. : 1 film
Biographie
Fils du comédien Baruch Lumet, Sidney évolue très jeune au coeur d'un environnement artistique. Dès l'âge de 4 ans, il accompagne son père au Yiddish Theatre de New York, puis étudie à la New York Professional Children's School. Pendant une quinzaine d'années, il se produit sur scène et est également acteur à la radio et accessoirement, à l'écran. En 1947, il fonde un de ses premiers ateliers off-Broadway, où il monte des spectacles d'avant-garde. Malgré un début de carrière sur les planches, c'est grâce à la télévision que Sidney Lumet se fait surtout connaître.
En 1951, il débute comme réalisateur sur les séries Danger et You Are There. Après avoir réalisé plus de 200 émissions en direct pour la CBS dans les années 50, âge d'or de la télévision, il se lance dans le cinéma avec Douze hommes en colere, qui comporte des thèmes chers à son coeur : rapports de l'homme à l'institution, analyse des systèmes de pression, lutte pour la tolérance, la justice. Ce film, comme d'autres (Le Gang Anderson, Serpico, ou encore Network, Main Basse sur la télévision, féroce satire d'un petit monde régi par les indices d'écoute et la publicité) portent l'empreinte de la télévision.
On retrouve aussi son intérêt pour le théâtre dans ses choix d'adaptations cinémathographiques. De Tchekhov (La Mouette), à Tennessee Williams (L' Homme à la peau de serpent), en passant par Arthur Miller (Vu du pont) et Eugene O'Neill (Long Day's Journey Into Night) Lumet fait des choix ambitieux.
Les sujets de société sont également au coeur de l'oeuvre de ce cinéaste engagé et lui inspirent une remarquable séries de films policiers : Le Gang Anderson, Un apres-midi de chien, Serpico , Le Prince de New York, Le Verdict, Le Lendemain du crime, dans lesquels, il dresse un tableau minutieux et oppressant de la mégalopole américaine, et dissèque les rapports occultes entre la pègre et la police. Avec les années 90, la carrière cinématographique de ce réalisateur inspiré connaît un léger recul. Pour preuve, le décevant remake de Gloria avec Sharon Stone en 1998.
En 2001, il revient sur le petit écran avec la série Tribunal Central - quotidien des avocats, des juges mais aussi des accusés et des témoins de la Cour de Justice new-yorkaise - qu'il créé et dont il réalise de nombreux épisodes. Puis la comédie Jugez-moi coupable, présentée en compétition lors de la Berlinale 2006, marque son retour dans les salles obscures après quatre ans d'absence. La 32ème édition du Festival du Film Américain de Deauville rend hommage, la même année, à ce grand réalisateur et à l'ensemble de son oeuvre.
Source : Allociné
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