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L'équipe CineNode
Tout d'abord je trouve assez fort le réalisateur car avec une quantité très limité de personnages, il nous tient pendant tout un film. Les seuls moments silencieux étaient des moments de poésie donc je ne parlerai pas là de longueurs.
On est comme dans un rêve, dans une dimension parallèle. Les images sont très belles, les scènes très bien composées en termes de couleur, de lumière, de de costumes et de décors, on retrouve un côté Los Angeles vintage dans un scénario futuriste. C'est également fait de manière assez sobre, sans en faire trop alors c'est très agréable.
Les sujets abordés sont également très intéressants. On a tout un domaine sur la solitude, la rupture, la tristesse et le deuil, ce qui parle pas mal à tout le monde je pense. Il faut ressentir tout cela pour aller mieux par la suite.
Il y a aussi un sujet sur la communication dans le couple et je trouve que Theodor représente presque l'homme patriarcal qui ne sait pas quelles émotions il ressent et n'arrive pas à les exprimer. Il s'engage alors effectivement dans une relation presque fausse avec cette IA. Il adopte la fuite plutôt que d'affronter de réelles interactions sociales.
Je trouve qu'on dépeint dans ce film un sujet de la consommation, du romanticisme comme objet de consommation car finalement chaque IA est programmée pour tomber amoureux.se de la personne à laquelle elle est assignée.
Her
Her
Her
Her
Entrer dans la peau de John Malkovich.... et pourquoi spécialement lui d'abord?... de manière bizarre, en y faisant des choses "spéciales", avec un trio un brin désaxé, le tout avec d'autres personnages qui ont besoin de Malkovich pour survivre...
Je sais pas ce qu'il y avait pour créer ça mais c'était de la bonne.
Dans la peau de John Malkovich
Her
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Max et les Maximonstres
Her
Je ne supportais pas à la fin de le voir souffrir. Souvent la souffrance me fâche parce que je ne l'accepte pas, et j'étais très fâchée contre lui d'aller seul dans le froid de l'hiver en pleurant. Je ne cessais de lui dire (même s'il ne m'entendais pas) NE VA PAS DANS LE FROID, NE FAIS PAS ÇA, POURQUOI VAS-TU DANS LE FROID.
Ce que j'ai également moins appréciée, c'est lorsque Samantha lui révèle avoir développé des sentiments amoureux pour 600 personnes et par la suite elle agit soudainement différemment avec lui. J'étais très mécontente parce qu'en fait, Samantha est un ordinateur et son rôle, du moins selon moi, c'est de satisfaire Théodore. Elle n'avait aucunement à le traiter différemment, s'il voulait lui parler, elle devait lui parler et non dire ''je te rappel plus tard''.
Ce sont les scènes qui m'ont fait fortement réagir. Pour l'ensemble du reste, c'est magnifique. JE pourrais tomber amoureuse d'un ordinateur et je le sais, alors je pouvais m'identifier.
Her
Il faut se faire à la forme des monstres, qui rappellent un peu certains mauvais films (lorgne vers L'histoire sans fin 3 et bien d'autres) mais comme le lien qu'ils ont entre eux et avec Max est bien travaillé, ça passe quand même. Avec leur personnalité propre, ils sont attachants chacun à leur manière, même ceux qui ne parlent quasiment pas, comme l'espèce de minotaure.
Une balade en psycho-imagination très bien faite pour un petit garçon solitaire, sensible et imaginatif.
Une bonne découverte.
Max et les Maximonstres
Her
Her
Her présente un univers quelque peu absurde pour des observateurs extérieurs tels que nous, mais tout à fait cohérent dans ses contradictions. Theodore, toujours plus isolé, décide après un étrange expérience de téléphone rose de tenter plutôt sa change avec un programme d'IA.
Ce programme informatique intelligent est très différent de ceux habituellement présentés à l'écran. La voix désincarnée est plus charmante et humaine que jamais, nous guidant au cours de cet apprentissage sensible de la vie à plusieurs.
Ce visionnage a été une bonne expérience, avec une fin originale et des moments mémorables,
Her
Her