Cher Cinéphile,
Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.
Nos publicités sont spécifiquement choisies pour être en harmonie avec notre contenu, centré sur le cinéma. Elles sont non intrusives et peuvent vous connecter avec des opportunités pertinentes et passionnantes dans le monde du cinéma. En bloquant ces publicités, vous limitez non seulement une source de revenus essentielle pour nous, mais vous risquez également de manquer de précieuses informations de l'industrie cinématographique.
Pour que vous puissiez continuer à profiter de nos articles, revues et nouveautés du monde du cinéma, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités spécifiquement pour notre site.
Une fois que vous avez désactivé votre bloqueur de publicités, veuillez cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page et poursuivre votre exploration de l'univers cinématographique.
Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.
Cordialement,
L'équipe CineNode
BlacKkKlansman: J'ai infiltré le Ku Klux Klan
BlacKkKlansman: J'ai infiltré le Ku Klux Klan
BlacKkKlansman: J'ai infiltré le Ku Klux Klan
Inside man
Inside man
A voir en toute urgence!
BlacKkKlansman: J'ai infiltré le Ku Klux Klan
BlacKkKlansman: J'ai infiltré le Ku Klux Klan
Le documentaire se penche sur le processus de création qui a fait naître l'album Off The Wall. Un petit bijoux à ne pas rater pour les fans du Roi de la Pop.
Michael Jackson's journey from Motown to Off The Wall
:)
BlacKkKlansman: J'ai infiltré le Ku Klux Klan
Il est une évidence, tout n’est pas parfait dans ce film, mais ce qui est sûr, c’est que les sujets abordés méritent incontestablement que l’on s’y attarde et que l’on en prenne connaissance. C’est avant tout un pamphlet sur la Guerre du Vietnam, l’une des pires s’il en est ou tout du moins, celle que l’on juge la plus incompréhensible, parce qu’elle n’aurait jamais eu lieu d’être et encore moins de durer aussi longtemps. Une guerre décriée par tous, que le gouvernement a continuée envers et contre tous, alors qu’il la savait perdue d’avance, simplement par ego, pour ne pas avouer leurs nombreux torts. Une guerre dans laquelle ils ont propulsé de jeunes soldats, de la chair à canon, juste bonne à se sacrifier pour de faux idéaux et statistiquement, beaucoup d’entre eux faisaient partie de la communauté noire. C’est un fait, pas une lubie et dans un climat où le racisme était encore bien présent, on ne peut s’empêcher de penser que pour un pays où la ségrégation était profondément ancrée, on les trouvait très utiles à cet instant. Évidemment, on ne peut nier le parallèle fait avec notre société actuelle, les récents événements y prennent une place légitime, une continuité qu’il est franchement difficile d’accepter et de supporter. Au-delà de ça, c’est aussi un formidable témoignage du syndrome post-traumatique, des séquelles psychologiques de ces hommes qui ont vécu le pire, qui ont dû commettre des atrocités et vivre avec. Ces fantômes du passé, de vieux démons qui vous hantent longtemps après, une culpabilité profonde qui vous ronge et qui en vient à vous rendre physiquement malade. La réalisation de Spike Lee est toujours aussi marquante, on reconnaît aisément son style et j’ai beaucoup aimé le ton très rétro donné à ses flash-back, cette nuance sépia, qui correspond à merveille à ce changement d’époque. Visuellement, c’est maîtrisé, les scènes de guerre sont assez géniales, notons que je ne m’attendais pas à ce qu’il soit aussi violent, pourtant, certains passages auront de quoi nous laisser le souffle court. En ce qui concerne le scénario, c’est sûrement là où le bât blesse, bien que son intrigue soit incontestablement intéressante, elle possède malgré tout quelques défauts, qui viennent l’entacher. Il y a notamment pas mal de longueurs, des dialogues peut-être trop longs, qui coupent clairement le rythme, c’est trop inégal, trop erratique, on s’ennuie un peu, mais heureusement, toute la dernière partie reste passionnante. Quant au scénario, il est excellent, Chadwick Boseman tient un rôle tristement symbolique, celui de Delroy Lindo est bluffant de complexité et j’ai eu un vrai coup de cœur pour Jonathan Majors.
En bref : Un film qui n’est pas parfait, parfois trop lent, il nous livre néanmoins une histoire forte, extrêmement riche de messages, un récit bouleversant à travers plusieurs sujets et notamment une relation père/fils incroyablement touchante !
Avis complet sur le blog : https://vampiloufaitsoncinma.com/2020/09/24/da-5-bloods/
Da 5 Bloods : Frères De Sang
BlacKkKlansman: J'ai infiltré le Ku Klux Klan
BlacKkKlansman: J'ai infiltré le Ku Klux Klan
BlacKkKlansman: J'ai infiltré le Ku Klux Klan
J'ai du mal avec ce thème. Je ne comprend pas et ça me rend dingue...je suis à 100 lieux de m'imaginer que le racisme existe encore. Comment c'est possible ?!? Et malheureusement, des années après la réalisation, ce film est toujours d'actualité.
(Bon par contre la vision de la femme blanche est vraiment nase, mais ce n'est pas le sujet)
BlacKkKlansman: J'ai infiltré le Ku Klux Klan
- Les acteurs/trices qui livrent tous une prestation excellente, je pense en particulier à John David Washington bien sûr mais et surtout à Adam Driver,
- Très bon scénario qui tient la route, basé sur le livre et l'histoire vraie de Ron Stallworth, qui montre de manière réaliste les agissements sordides du KKK.
- Les décors, les costumes qui nous immergent bien en 1978.
Les Moins :
- J'ai trouvé la fin un peu rapide et peu explicite sur l'avenir de Ron Stallworth, dommage ! :/
- La Musique même si elle est bien, est parfois trop forte par rapport aux dialogues.
Quoiqu'il en soit, "BlackKkKlansman" est un film dont on ne ressort pas indifférent, c'est impossible ! Comment rester impassible devant la bêtise et la cruauté dont font preuve les membres du Klan
BlacKkKlansman: J'ai infiltré le Ku Klux Klan