Takashi Miike
Réalisateur
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Note moyenne : 6.43/10Nombre d'évaluations : 88
0 Citations 22 Commentaires sur ses films
Les derniers commentaires sur ses films
Euh quand je l'ai vu c'était assez tard alors j'avoue que j'ai dormi une bonne partie du film xD Enfin j'ai compris l'essentiel ^^ Ben pour résumé c'est perché, c'est vraiment bizarre de mélanger le western et le Japon ... L'histoire n'est vraiment pas exceptionnelle, la seule chose surprenante est de voir Quentin Tarantino jouer dedans ...
Afficher en entierL'ampleur et l'esthétisme du cinéma japonais est au rendez-vous de ce film. Belles images, belle mise en scène. Une fresque asiatique réussie mais qui ne se distingue pas des autres tout aussi réussies.
Afficher en entierC'est le premier Takashi Miike que je regarde et ça sera sans doute le dernier. Comment dire... je ne sais pas si c'est le cas pour tous ses films, mais là les amis, ça fait mal : c'est "nul". J'aimerai trouver un terme plus approprié mais comme c'est le premier qui me vient à l'esprit...
Disons que c'est typiquement le genre de film dont on n'attend pas grand-chose (surtout après avoir vu la bande-annonce), mais dont on attend le minimum : que ça soit divertissant. Pour être juste, il y a des passages qui font esquisser un sourire : le personnage du shérif, certaines scènes de combat...
Le problème, c'est que l'ensemble du film est consternant. Alors même si ça semble vouloir être une parodie de western tournée au Japon, ce n'est pas une raison pour faire un scénario aussi léger. Non seulement il n'y a pas grand-chose, mais ça tente d'être original/intelligent avec des tonnes de flashbacks. That's no-no.
L'autre idiotie monumentale, c'est de faire parler des acteurs japonais dans la langue de Shakespeare. Je ne sais pas si les anglophones ont réussi à comprendre tous les dialogues vu leur accent - pour ma part j'ai vu le film sous-titré en espagnol, et sans sous-titres ça aurait été incompréhensible !
Dans ces deux heures de film, il y a quand même eu des éléments qui m'ont fait tenir jusqu'au bout. D'abord le casting qui regorge de têtes connues, quel bonheur de retrouver Shun Oguri, Teruyuki Kagawa, Masato Sakai, Yutaka Matsushige et Kaori Momoi (oui, c'est la dame qui tient l'okiya dans Mémoires d'une geisha). Leur jeu est plus qu'acceptable mais dommage qu'ils aient tous un sacré accent.
L'autre élément, ce sont les costumes, à croire que tout le budget du film est passé dedans. Déjà j'ai bien aimé l'idée d'un clan rouge opposé à un clan blanc, et les costumes donnent un bel effet visuel quand les clans se retrouvent. Bon, ça garde un petit côté manga/anime pour certains détails et les coiffures mais j'aime les deux donc...
En conclusion, je ne recommande absolument pas ce film, qui reste une perte de temps, mais les plus curieux ou les fans du casting y trouveront peut-être un tout petit intérêt.
Afficher en entierj'ai détesté. ce film n'a aucun intérêt
Afficher en entierC'est du grand n'importe quoi ce film! J'imaginais qu'il serait un minimum bien mais je suis hyper déçue, il n'y a aucune trame d'histoire qui soit un tant soi peu plausible, aucun bon jeu d'acteur, tout part dans tous les sens, et j'en passe...c'est à devenir fou! Bref ce film n'est ni à faire ni à refaire
Afficher en entierCe premier opus est super intéressant.
La plupart des acteurs sont charismatiques et détestables à souhait. Shun Oguri dans le rôle de Genji Takiya, sans parler de Shun Izaki et Bandou ♥ ... juste fantastique !!!
Team GPS forever !!! ♥♥
Afficher en entierFilm tiré du jeu vidéo Yakuza kiwami, autant le jeu vidéo j'adore mais le film était long et d'un ennui ...
Afficher en entierun film divertissent qui cogne
Afficher en entierun film qui cogne toujours autant
Afficher en entierc'est étrange, c'est dérênant mais étrangement intéressant. que dire de plus un film comme vous n'en verrait pas tout les jours.
Afficher en entierLes gens aiment aussi
Dédicaces de Takashi Miike
et autres évènements
Aucun évènement prévu
Studios
Warner Home Video : 2 films
Pretty Pictures : 1 film
Metropolitan FilmExport : 1 film
Avex Entertainment : 1 film
Horipro : 1 film
A-Team : 1 film
Wild Side : 1 film
Daiei Motion Picture Company : 1 film
Biographie
Takashi Miike (三池 崇史), est né le 24 août 1960 à Yao, petite ville près d'Ōsaka, au Japon. C'est un réalisateur japonais prolifique et controversé. Il réalisa plus de cinquante oeuvres pour le théâtre, le cinéma, ou la télévision depuis ses débuts en 1991.
Il entre à l'âge de 18 ans à l'Academy of Broadcasting and Film de Yokohama et en ressort diplômé. Il commence par travailler pour la télévision, notamment en réalisant plusieurs téléfilms.
Durant les années 1990, il réalise de nombreux films qui sortent directement en vidéo, appelé au Japon le V-Cinema. Grâce à celui-ci, il pourra réaliser de nombreux films, qui demanderont peu de budget.
C'est avec un film de yakuzas, Les Affranchis de Shinjuku, réalisé en 1994, qu'il se rend célèbre[réf. nécessaire]. Il réalise plusieurs autres films sur les yakuzas, dont la trilogie des Dead or Alive.
Il est très prolifique, puisque ayant réalisé plus de 50 films en un peu plus de dix ans. Beaucoup de ses films peuvent être, à première vue, classés dans un genre spécifique (film de yakuza, de science-fiction, d'horreur, comédie... ), mais ces classifications ne peuvent jamais prendre en compte l'intégralité du film tant le mélange des genres est fréquent chez Miike. Sa réalisation est très technique et riche en effets.
Il est principalement connu pour réaliser un cinéma où la violence comme le loufoque ou le fantastique surgissent hors des conventions et où de nombreux tabous sont transgressés, sans toute la mise en condition du spectateur qui a fréquemment lieu en ces circonstances.
Cette attitude décomplexée le fait ainsi apparaitre comme un cinéaste violent, déjanté et provocateur alors qu'il réalise aussi de nombreux films contemplatifs et poétiques tels que The Bird People in China ou La Mélodie du malheur.
Ceux-ci sont cependant moins remarqués par le public et les médias qui, conditionnés à voir (ou montrer) uniquement certaines violences abordées de manière stéréotypée, deviennent hypersensibles à des formes ou des modes de violence sortant des schémas convenus par la morale commune.
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