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Zatôichi
Hana-bi
Dernier volet d'une trilogie "yakuzienne", Outrage Coda n'offre que peu de surprises.
Le rythme relativement monotone voir asthénique et les conversations tantôt interminables ou laconiques, en font une toile de fond hétérogène (scènes d'action + dialogues) et moins consistante que l'intrigue.
Le casting, quant à lui, est assez convainquant. Le personnage d'Otomo, incarné par Kitano lui-même, est la seule clef de voûte de la trilogie, pourtant il n'est clairement pas le personnage principal.
Il apparaît même peu à l'écran et si ses interventions sont souvent décisives, ses ambitions, ses envies et ses émotions ne sont jamais accessibles. Quelques séquences d'action sortent néanmoins du lot grâce à la rareté de leurs interventions et à l'implication de Kitano dans la réalisation : un cadrage subtile et un montage qui ne ressemble pas à un puzzle.
Au final, le film sonne un peu comme un remix mais offre à Kitano l'opportunité de terminer la saga comme il l'avait certainement envisagé au départ : une ode funèbre et désespérée à la recherche des dernières traces de décence dans une société qui ne fonctionne plus qu'avec une seule règle : "En tuer un pour en terrifier un millier" - Sun Tzu
Outrage Coda
L'été de Kikujiro
La réalisation est très bonne et foisonne d’inventivité et de détails, d’où le Lion d’argent remporté par Takeshi Kitano, les images et l’esthétique sont très belles, la bande-son est splendide, répétitive mais composée de nuances sonores subtiles et typiques pour qui tend suffisamment l’oreille capable de les percevoir, les dialogues sont assez bien écrits et les acteurs excellents, interprétant une diversité et plusieurs variétés de personnages dont les principaux sont bien développés, touchants pour certains et originaux.
Le scénario est simple mais parfaitement ficelé et vaste, d’autant plus que je ne m’attendais pas véritablement aux révélations finales, alors j’ai été agréablement surprise par le suspens entretenu d’un bout à l’autre du film. De plus, l’ensemble est bien rythmé : les scènes sont longues mais magnifiquement filmées, les séquences actives alternant judicieusement avec les passives, et on se laisse porter par la majesté qui s’en dégage. Il est difficile de s’ennuyer devant ce film tant il est captivant. Les combats à l’épée sont épiques et le sang jaillissant des corps tranchés dont le tracé des coupures s’apparente à la lettre -z est mal fait, élément caractéristique d’un esthétisme volontairement caricatural appliqué aux scènes de combat, auquel s’ajoutent des ralentis loin d’être désagréables, à l’inverse de ceux de Hero. Les séquences dansées, notamment la dernière, sont mes préférées et nous dévoilent un autre pan de la culture nippone.
Je ne connaissais pas du tout l’histoire de Zatôichi ni la figure emblématique éponyme en elle-même avant de regarder ce film, alors je l’y ai découverte et ne peux pas affirmer si le film lui est fidèle ou non, mais je dirai que celle-ci m’a plu.
En résumé, j’ai beaucoup aimé ce film, que je considère comme étant très bon, et le conseille.
Zatôichi
C'est dommage parce que Kitano a bien travaillé son personnage et si on avait eu un peu moins de scènes qui ne servent pas l'histoire pour caler un peu mieux celle de Zatoichi, j'aurais mieux apprécié le personnage. En tout cas, c'est un bon film et c'est ce qui compte.
Zatôichi
J'ai tout particulièrement été bouleversée par l'histoire de Matsumoto et Sawako.
Dolls
Hana-bi
Zatôichi
L'été de Kikujiro
Hana-bi
Une bande son aux petits oignons, et un placement cash en liste de Diamant !
:)
Hana-bi
Omar Epps est également excellent dans ce chef d'oeuvre que je recommande à toutes et tous !
Liste de Diamant ! ;)
Aniki mon frère
Restaurant et Sang..
Aniki mon frère
Hana-bi