Thomas Langmann
Réalisateur
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Quelques chiffres
Note moyenne : 6.05/10Nombre d'évaluations : 238
0 Citations 70 Commentaires sur ses films
Les derniers commentaires sur ses films
Sa réputation le précédant, je m'attendais à un nanar cosmique. Et en fait c'est juste un film sans intérêt qui pourra amuser les (très) jeunes. Les nombreux guests défilent sans aucune cohérence, un vrai étalage qui aurait pu être intéressant si le scénario suivait. L'humour vole très bas, et on notera une mention spéciale pur le jeu d'acteur de Jérôme le banner qui est juste catastrophique.
Afficher en entierUne suite toujours aussi mignonne et drôle aussi, je ne me suis pas du tout ennuyée durant le visionnage et je le regarderai encore une fois bien volontiers.
Afficher en entierUne suite encore portée par le groupe et ses chansons mais dont on sent très bien que ça a été une galère à écrire, remplie de scènes inutiles, lourdes, d'un Jean-Marc Généreux qui ne sert à rien et de références qui sont là pour meubler. Ça reste sympa mais clairement en dessous du premier, même si la surprise finale était presque touchante...
Afficher en entierAdoré cette version de jeux olympiques. Bien reproduit, de bons acteurs et de l'humour à volonté.
Afficher en entierUne aventure des célèbres gaulois passable, sans grand moments qui restent en mémoire sinon Delon qui fait références à ses plus grands films et quelques bonnes idées pour Poelvoorde qui essaie encore et toujours de prendre la place de papa.
Çà a voulu en mettre plein la vue en invitant des célébrités à ne plus que savoir en faire mais ça aurait mieux valu de mettre le prix dans un scénario mieux travaillé et dans une éventuelle équipe de comique pour travailler les blagues...
Afficher en entierClairement décevant, il ne suffit pas de réunir un panel de comédiens et de comiques pour faire une comédie. Chacun joue son sketch ou son petit de numéro de sportif, des clins d'œil dont la véritable réussite aurait été de les insérer dans les épreuves olympiques. Surtout, Astérix occupe une place bien petite place dans le film, ce qui est compréhensible au vu de la très pâle interprétation de Clovis Cornillac.
Afficher en entierTrès bon film, l'humour est au rendez-vous et les acteurs sont vraiment bons.
Afficher en entierUn bon film.
J'avais bien aimé, les scènes sont extra.
Bourré d'humour comme dans les autres Astérix.
Bon scénario.
Afficher en entierCe film est ce que j'appelle un chef d’œuvre. Ce n'est pas le meilleur film que j'ai vu, loin de là, mais c'est un film plein d'originalité, une caricature de l'époque ou les romains gouvernaient le monde. Les personnages sont très amusants et j'aime les clins d’œil faits à notre époque.
J'ai adoré.
Afficher en entierToujours autant de regarder un film sur Astérix et Obélix
Afficher en entierLes gens aiment aussi
Dédicaces de Thomas Langmann
et autres évènements
Aucun évènement prévu
Studios
TF1 Films Production : 1 film
Pathé Renn Productions : 1 film
uFilm : 1 film
La Petite Reine : 1 film
TriPictures : 1 film
SOROlla Films : 1 film
Constantin Film : 1 film
Novo RPI : 1 film
Biographie
Fils du réalisateur et producteur Claude Berri et de Anne-Marie Rassam, Thomas Langmann baigne dès son plus jeune âge dans le septième art, côtoyant régulièrement de grands noms du cinéma comme Yves Robert ou la famille Coppola. C'est d'ailleurs face à des acteurs de prestige tels Catherine Deneuve et Gérard Depardieu qu'il fait ses débuts devant la caméra, à l'âge de huit ans, dans Je vous aime, réalisé par son père. Mais c'est à l'adolescence qu'il se distingue véritablement dans Les Années sandwiches (1988) et Paris s'éveille (1991). Deux films pour lesquels il est nommé aux César dans la catégorie Meilleur Espoir.
Malgré ce succès, le métier d'acteur ne lui convient pas. Il quitte les feux des projecteurs pour se diriger vers la production et fonde, à 24 ans, "La Petite Reine" en hommage à la société de Claude Berri, "Renn Production". Il se consacre alors à l'adaptation de la bande dessinée Astérix pour laquelle il fait appel à son père. C'est finalement ce dernier qui prendra en charge le film, ainsi que sa suite, Astérix et Obélix : mission Cléopâtre. Pendant ce temps, Thomas Langmann devient producteur à part entière avec Le Boulet dont il écrit également le scénario. Fort de 3 millions d'entrées en salles, il tente ensuite un nouveau défi et produit le western métaphysique Blueberry de Jan Kounen. Mais il ne connaît malheureusement pas la même réussite.
Il se lance alors dans le projet le plus ambitieux de sa jeune carrière, l'adaptation d'Astérix aux Jeux Olympiques, qu'il réalise et produit lui-même. Un pari risqué car avec 78 millions d'euros de budget, il est le deuxième film français le plus cher de l'histoire. Vivement critiqué pour ses partis pris artistiques, il attire néanmoins près de 6,7 millions de spectateurs en France et bénéficie d'une importante sortie européenne. La même année sort sur les écrans le diptyque consacré à Mesrine dont il rêvait depuis qu'il avait lu le livre L'instinct de mort dans sa jeunesse. Confié au réalisateur Jean-Francois Richet et porté par Vincent Cassel, il met fin à des années de tentatives infructueuses visant à transposer la vie du gangster sur grand écran. Le film remporte un vrai succès et se retrouve nommé pour dix César et en remporte trois (meilleur acteur, meilleur réalisateur et meilleur son).
Suite à ces deux succès, il continue sa carrière de producteur avec la comédie Le Mac, qui ne connaît malheureusement pas la fortune de ses prédécesseurs. En 2011, il est omniprésent puisqu'il finance la comédie dramatique Mon père est femme de ménage avec François Cluzet, l'adaptation de La Guerre des boutons, intitulée La Nouvelle guerre des boutons, et le film muet The Artist, véritable coup de cœur du public et de la critique lors du Festival de Cannes 2011.
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