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Jerry, c'est Jason Biggs. Amanda, c'est Christina Ricci et David c'est Woody Allen. On croise aussi Danny DeVito dans ce Allen moyennement inspiré, qui a tout de la recette râbachée. Une recette qui fonctionne, certe, mais dont on sent qu'elle commence sacrément à perdre en gout. Les bonnes phrases sont là, mais elles n'ont plus le même impacts, Allen semble vouloir transformer le personnage principal en lui même alors qu'il interpréte un autre rôle qui est déjà lui même. Bref, tout ceci est un peu décevant au final.
anything else(la vie et tout le reste )
Woody Allen lire ici un film dont il a le secret... ou presque. parcequ'avec 1h52 au compteur, le concept finit par tourner en rond dans la derniére partie du film alors qu'il fonctionnait particulièrement bien au début. Si Woody incarne son personnage habituel de loser, il est ici accompagné entre autre par Téa Leoni et Debra Messing. On croise même Tiffany Thiessen. Hollywood Ending n'est pas un sommet de Allen, c'est un bon film malgré tout, à la fois drôle et qui rappelle la passion du bonhomme pour sa ville, et pour le cinéma en général...
Hollywood Ending
Sounds from a town I love
Avec ce film, Woody Allen retrouve toute sa verve et va s'aider de Dan Aykroyd, Helen Hunt ou encore Charlize Theron pour rendre hommage aux vieux films d'enquête mais avec son humour, sa verve habituelle. On retrouve dans le personnage de CW tout ce qu'on aime dans les personnages du bonhomme. Petites phrases bien placés, couardise masqué, gentil loser, mais le tout passé au crible des films du genre des années 40. Et c'est tout l'amour du cinéma de Woody Allen qui rejaillit dans ce trés réussit "Sortilége du Scorpion de Jade" !
Le sortilège du scorpion de jade
La première demi-heure est assez longue à installer à cause de sa banalité – aucun dialogue percutant, scène originale, cadrage surprenant, situation loufoque… On dirait que Allen fait ce qu’il sait faire sans se fatiguer, ça se passe, c’est tout.
Et puis le mari qui s’y met, c’était déjà plus pertinent, j’ai marché dans les petites astuces de l’enquêtrice, le couple plus proche et intéressant…
Bon, je trouve que Niels Schneider a un charisme de bulot mais Lou de Laâge a le droit d’aimer les bulots…
Et puis vers 50 minutes, quand le mari s’énerve, j’ai trouvé qu’il avait des problèmes de riche qui ne me touchaient pas, avec des solutions de riche qui m’étaient inaccessible. C’était dommage parce que j’étais quand même bien entré dans le film…
Valérie Lemercier qui s’en mêle, il y a un côté amusant mais aussi une mollesse dans la réalisation et les réactions qui contrebalance.
D’ailleurs, d’une façon générale, de Le Tonquédec aux discussions de groupe, du métier de Lou De Laäge au roman de Niels Schneider, tout est assez mou, fade.
Je ne sais pas si c’est l’âge, si Allen ni croit plus, mais j’ai trouvé que l’ensemble manquait de folie, de mordant, d’énergie, du dynamisme ou du mordant qu’il met d’habitude dans ses scènes et dialogues, comme s’il faisait le strict minimum pour assurer son 50ème film…
Quant au final, comme le reste, j’oscille entre cynisme bienvenu et facilité navrante…
En tous les cas, pas le film de Allen qui m’aura marqué…
Coup de chance
Escrocs mais pas trop pourrait retrouver la verve, la folie des premiers Woody Allen. Probléme : si la premiére partie est incroyablement drôle, Woody Allen se passant même de grands noms, la seconde est plus bancal malgré quelques saillies humoristique assez réussit. Globalement, ça se regarde bien, ça diverti mais on sent le côté bancal de l'entreprise assez rapidement. Et ce malgré les présences de Michael Rapaport et de Hugh Grant. Alors oui, globalement ça fonctionne bien et on rit parfois, voir même assez souvent. Mais ça ne suffit pas. Les personnages secondaires manquent de profondeur, et l'intrigue perd trop vite de sa force. Dommage.
Escrocs mais pas trop
Sean Penn incarne ce rôle dans ce qui s'apparrente à un faux biopic, raconté entre autre par Woody Allen. On y croise aussi Anthony LaPaglia, Uma Thurman, Gretechen Mol ou encore Samantha Morton. L'histoire, elle, peine un peu à se développer et profiter surtout de son rythme entrainant, de sa jolie BO et du style Allen, toujours percutant quand il le veut. Alors certes, ce n'est pas trés incarné, le personnage d'Emmett Ray est, par moment, sacrément détestable, mais le film reste globalement plutôt réussit pour un fin de tiroir récupéré...
Accords et Desaccords
Celebrity est un film qui traite de... la célébrité ! Etonnant non ? Nationale, locale, mais de la célébrité. Et pour cela, Woody Allen s'est adjoint un sacré casting : Kenneth Branagh, Judy Davis, Winona Ryder, Leonardo DiCaprio, Mélanie Griffith, Famke Janssen, Hank Azaria, Charlize Theron, J.K. Simmons, Jeffrey Wright et une trés courte apparition de... Donald Trump ! La palme du rôle surprenant revenant à un Dicaprio en acteur imbu de lui même, violent, accro au sexe... Dommage que Celebrity, qui atteint presque les 2h, se montre surtout trés bancal, et paraisse durer une bonne heure de plus. Non qu'il soit mauvais mais son Noir et Blanc sent le dépassé, son rôle principal semble avoir été écrit pour Woody lui même, et le reste à l'avenant : un Woody Allen sans la verve, sans la force; Juste un bon film en somme...
Celebrity
Etrange exercice entre la comédie et le film à sketchs, Harry dans tous ses états aligne un lourd casting (Woody Allen, Jufy Davis, Julia Louis-Dreyfus, Billy Crystal, Tobey Maguire, Stanley Tucci, Robin Williams, Peter Jacobson) pour illustrer les idées comiques de Woody Allen. Un comédien flou, un homme se mettant à parler à la mort, ou même un petit tour en enfer, le tout saupoudré des questionnements existentiel habituels du réalisateur qui use aussi de son humour. Alors si ce film ci manque de la cohérence de ses plus grandes oeuvres, il n'en demeure pas moins une belle réussite à même de plaire !
Harry dans tous ses états
Coup de chance
Heureusement, on y trouve aussi l'humour de Woody Allen, son Paris fantasmé, sa justesse dans des relations qui, pourtant, nous dépassé, et un rythme qui permet d'alterner humour et sérieux dans une joie communicative. Un excellent film !
Tout le monde dit I Love You
Maudite Aphrodite retrouve une bonne part de l'humour de Woody Allen, avec ses bons mots, capable d'aligner un sacré casting. Jugez plutôt : F. Murray Abraham, Allen Lui même, Helena Bonham Carter, Paul Giamatti, Peter Weller, Mira Sorvino et Michael Rapaport ! Ils apportent tous leur contribution à ce film qui s'attardera essentiellement sur Lenny et Linda, plus que sur Amanda dont l'histoire reste trés secondaire. Un déséquilibre un peu dommageable tout de même pour celui qui a tellement aimé les films chorales. Le résultat est tout de même sacrément réussit !
Maudite Aphrodite
Comme souvent chez Woody Allen, ce pitch cache en réalité une histoire plus complexe qui mettra en scéne John Cusack, Dianne Wiest, Jennifer Tilly, Joe Viterelli ou encore Mary-Louise Parker. Entre humour, film de gangster et romance, Woody Allen réussit là un mélange bien plus évident qu'il n'y parait. Cependant, il manque au film une patte, quelque chose qui aurait placé le film idéalement dans la filmographie du bonhomme. Rien de grave cependant tant le rythme est bien trouvé, les personnages correctement esquissés, et le résultat finalement plus que plaisant.
Coups de feu sur Broadway
Minuit à Paris
Nuits de Chine retrouve le Woody Allen des débuts, enchainant les scénes comiques, et parvenant assez souvent à faire rire malgré que le tout se montre un peu trop simpliste. Un souscis peut-être lié au statut de téléfilm de cet objet filmique surprenant. Michael J. Fox essaye déjà d'y cacher sa maladie, ce qui ne l'empêche pas d'y être trés bon. Il y croise Woody Allen ou encore Mayim Bialik et durant 1h28, on passe un bon moment mais clairement, on ne s'en souviendra pas pendant une éternité...
Nuits de Chine