Tous les films de Zabou Breitman
On dit de Lou qu’elle est une enfant précoce. Elle a treize ans, deux classes d’avance et un petit corps qui prend son temps. Elle a une mère emmurée dans les tranquillisants, peu d’amis, et le ressenti aigu d’un monde qui va de travers.
Lou doit faire un exposé sur une jeune femme sans abri. Elle en a vu une à la Gare d’Austerlitz. Une qui fait la manche, demande des clopes, s’endort sur la table du café lorsque Lou lui offre à boire pour l’interviewer.
Se souvenir des belles choses est une comédie dramatique française coécrite et réalisée par Zabou Breitman, sortie en 2002.
Spoiler(cliquez pour révéler)Claire Poussin (Isabelle Carré) est une jeune femme discrète de 32 ans, qui souffre de troubles de la mémoire depuis qu’elle a – suppose-t-on – reçu la foudre lors d’une promenade en forêt. Sa sœur (Anne Le Ny), plus inquiète qu’il n’y paraît, décide de la conduire au centre de mémoire « Les Écureuils », où leur mère est décédée des suites de la maladie d'Alzheimer cinq ans auparavant. Le professeur Licht (Bernard Le Coq) se montre confiant et accepte de l’accueillir au centre en hôpital de jour. La jeune femme y rencontre quelques personnes farfelues et un homme d’une quarantaine d’années, Philippe (Bernard Campan), qui a perdu sa femme et son fils dans un accident de voiture et n’en garde ni souvenir, ni douleur. Claire commence à revivre. Avec Philippe, elle va vivre une belle histoire d'amour malgré sa maladie.
Source Wiki
Comme chaque été, Frédéric et sa femme Frédérique (aussi) vont passer les vacances dans leur grande maison perdue au milieu de la Drôme, avec une bonne partie de leur famille.
Un soir, ils invitent à dîner Hugo, leur nouveau voisin, qui affiche avec amusement son homosexualité.
Hugo et Frédéric, restés seuls à discuter de l'amour jusqu'à l'aube, vont nouer une relation qui va jeter le trouble dans leur cœur et dans leur entourage...
Dévastée par sa rupture après 7 ans de mariage, Chloé (Florence Loiret-Caille) se réfugie avec ses 2 enfants chez ses beaux-parents, Pierre (Daniel Auteuil) et Suzanne (Christiane Millet).
Spontanément et étonnamment, en une nuit Pierre va partager avec sa belle-fille Chloé un grand secret qui le hante depuis vingt ans.
À soixante-cinq ans, il est à l'âge des bilans. Elle en a moitié moins et rumine son chagrin. Celui d'avoir été plantée là avec ses deux filles par un mari volage parti pour une "femme moins usée."
A priori, Pierre et Chloé n'ont pas grand chose à partager. Il en décide pourtant autrement, emmenant sa belle-fille sur un coup de tête pour quelques jours à la campagne. Au fil d'un long dialogue, ils vont peu à peu se livrer.
Tombe alors le masque du "vieux con" autoritaire et hautain attribué un peu hâtivement par Chloé à son beau-père. L'homme renfermé aux jugements définitifs révèle une blessure et une sensibilité à fleur de peau, tandis que la jeune femme pleine de vie reprend le dessus sur l'épouse éplorée.
Été 1998, Kaboul en ruines est occupée par les talibans. Deux couples vivent là. L’un est jeune et très amoureux. Malgré la dictature barbare des Talibans, Zunaira l’artiste et Mohsen l’intellectuel veulent croire en l’avenir. L’autre couple, bien plus âgé, est abîmé par la guerre – celle avec les Russes qui a traumatisé Atiq, devenu un geôlier peu convaincu – et surtout par la maladie qui a condamné Mussarat. La vie pour eux n’est que survie et attente que le temps passe. Un geste insensé du jeune Mohsen, comme hypnotisé par la folie du régime, va faire basculer son couple d’abord, puis également l’autre par ricochet, dont les destins vont se croiser...