Giuseppe Tornatore

Un film qui laisse décidément perplexe. Une histoire de départ intrigante mais une fin qui malgré son caractère inattendu, paraît un peu facile.

Quelques longueurs qui desservent le scénario mais un casting pertinent qui parvient de justesse à nous embarquer dans l'histoire.

Très belle amitié que celle qui unit Toto, enfant sans père et d'Alfredo, projectionniste dans un village dans leur intérêt pour le cinéma.

Philippe Noiret et excellent dans ce personnage à la fois sage et passionné par son métier bien difficile.

Salvatore Cascio est très bien dans le rôle de Toto enfant, c'est la partie du film que je préfère d'ailleurs. La complicité entre les deux est bien meilleure dans cette partie que dans celle de Toto jeune adulte.

La vie du cinéma en elle-même est bien faite également, on apprécie les spectateurs et on les retrouve presque avec plaisir lors de la réouverture et bien après, lors de l'enterrement et de la démolition. On a presque l'impression de les avoir toujours connus.

La musique est aussi marquante, un excellent travail de Mr Morricone comme d'habitude.

Un film magnifique, une très belle amitié et quelques vérités disséminées dans les paroles d'Alfredo qui donnent à ce film, une place de choix dans l'éventail des grands films du cinéma.

Dieu que ce film est splendide de couleurs, d'images et de mots.

J'ai bien apprécié ce film. C'est beau, c'est du cinéma un peu plus âgé, mais qui a bien vieilli. L'amitié entre Salvatore et Alfredo est sublime. Il y a des moments drôles. Passionnant.

Oscar du meilleur film en langue étrangère

Golden Globe du meilleur film en langue étrangère

British Academy Film Award du meilleur film en langue étrangère

César de la meilleure affiche

Prix David di Donatello de la meilleure musique pas convaincu(e)? o(*3*)o le spitch? Plonger dans l'ancienne Italie, nous faisons la rencontre du petit Toto et d'Alfredo, qui s'occupe des projections de film.

une forte relation et une longue amitié lie les deux personnages. Malheureusement la vie fait que Alfredo meurt...

Tout commence pour moi, par une beau soir d'été, curieuse des films qui ont marqués la vie de ma maman, je lui demande d'en regarder un. C'est donc par hasard que commence alors la projection de "Cinema Paradiso". Nous étions en pleins mois d’août, sous la fraîcheur du soir (qui disons le, nous mettait en joie= ce qui révèle d'ailleurs que pour apprécier un film il faut avoir de bonne conditions autour, parenthèse fermée)

Quel qu'il en soit je ne m'attendais absolument pas à découvrir ce film, qui est une ôde au cinéma..

Le film démarre donc entre les bavardages incessant de ma sœur, et les commentaires de ma mère sur jacques Perrin.. et oui maman je sais je sais il est beau! rires

Puis plus les minutes s'écoulaient et moins le bruit se faisait entendre...

Ce fut une claque!

A la fin, nous avions les larmes aux yeux. La scène finale est sublime et tellement émouvante.

Il est vrai que le film traîne un peu en longueur, c'est pourquoi je vous conseille vivement s'il vous est possible de voir la version courte cad Spoiler(cliquez pour révéler)sans l'histoire d'amour entre Toto et sa bien aimée

Mais surtout l'équipe du film a fait un travail remarquable. La BO est divine ps: Lisez l'avis de Rowan qui a très bien retranscrit les émotions que l'on peut ressentir en tant que cinéphile!

pps: à retenir: va fenculo! (rires)

J’ai vu ce film parce que j’ai étudié un extrait du livre dont il est tiré en cours d’italien.

D’abord, j’ai beaucoup aimé l’ambiance marine du film, l’époque à laquelle il se déroule, notamment avec la répétition du cri « America » dès le début du film. Il y a une réelle opposition filée entre le bateau et le monde extérieur, qui cache des réflexions vraiment profondes. J’ai adoré découvrir peu à peu Novecento en tant que personnage extraordinaire avec un grand talent inné, mais aussi à la personnalité obscure, un personnage solitaire et différent malgré tout. J’ai particulièrement apprécié les scènes avec Danny Boodman, la scène de la rencontre entre Max et Novecento, la scène du duel, qui sont enchantantes et étonnantes. La dernière scène est également très intéressante et profonde, même si je n’ai pas tout compris parce que j’ai vu le film en italien sans sous-titres. Le film dispose aussi et bien sûr d’une très belle bande son, outre les morceaux de musique au piano d’Ennio Morricone à la fois impressionnants et touchants, la présence des bruits du bateau pendant les silences est plutôt magique.

Les petits défauts que je peux trouver à ce film, c’est que les effets spéciaux sont franchement plutôt moches, même pour un film de l’époque, par rapport à l’histoire qui est d’une grande ambition. Il y avait aussi quelques longueurs, notamment pour Spoiler(cliquez pour révéler)la petite romance avortée qui je trouve, n’ajoute pas grand-chose à l’histoire. Ça aurait peut-être été aussi intéressant de développer davantage les personnages autre que Novecento.

En bref, c’est un très très bon film qui m’a un peu fait penser à Gatsby le Magnifique, Benjamin Button, voire Forrest Gump dans la façon où on suit la vie d’un personnage extraordinaire avec beaucoup d’émotions et d’étonnement.

J’ai vu ce film parce que j’ai envie de regarder davantage de films italiens en ce moment. J’avais beaucoup aimé La légende du pianiste sur l’océan du même réalisateur. Globalement, j’ai trouvé que ce film était bien, mais qu’il a plutôt mal vieilli.

Je me suis attachée facilement aux personnages qui ont une jolie histoire. On se retrouve dans un village typiquement italien, l’ambiance est très bien recréée. Il y a certains passages émouvants. En revanche j’ai trouvé qu’il y avait des longueurs dans le film. L’histoire d’amour ne m’a pas beaucoup touchée, par exemple. J’ai bien aimé la touche d’amertume, les questions que se pose le héros, mais je n’ai pas trouvé ça assez poussé. Si j’ai bien aimé le début du film, j’ai ressenti un peu plus d’indifférence vers la fin.

Tout simplement un petit bijou! Que dire de plus, ce film est une véritable ode au cinéma.

Des acteurs à la superbe musique d'ennio Morricone, tout est parfait. Le petit Salvatore est tout simplement trop mignon et très bon comédien pour son âge. La complicité du duo toto/ Alfredo est merveilleuse.

Et quelle belle dernière scène !

En un mot : émouvant...

C’est sans nul doute à l’un des plus passionnants métrages qui puissent exister auquel je m’attaque : Cinema Paradiso (version longue et donc Il Nuovo Cinema Paradiso), un des plus beaux films traitant l’amitié. Une amitié hors du commun entre Alfredo (Philippe Noiret) un cinquantenaire illettré, projectionniste au Cinema Paradiso et Salvatore dit ‘’Toto’’ un jeune gamin captivé par le septième art. Cinema Paradiso est le prototype même du film comique italien et pourtant parfaitement illustré par le grand Philippe Noiret étincelant de tendresse, enseignant à son jeune protégé la vie et ses difficultés. La complicité entre cet homme et cet enfant est forte comme un père avec son fils. Mais cette complicité est surtout reflétée la conscience d'adulte opposée à l'insouciance de l'enfant. Les acteurs transalpins sont convaincants bien que méconnus en France. Giuseppe Tornatore fait une véritable déclaration d’amour au cinéma dans une atmosphère sicilienne tout juste impactée par la Seconde Guerre mondiale. Ce bijou est rempli de mélancolie et de nostalgie et est donc chargé en émotion, il est difficile de trouver les mots justes pour décrire cette merveille. La passion y est le moteur, elle accompagne la vie de Salvatore, en commençant par son adoration pour le grand écran tout en passant par son amour exaltant pour Elena qui frise le tragique. Ennio Morricone signe une de ses plus belles compositions pour nous émouvoir davantage et apporté un parfum de beauté supplémentaire à l'œuvre. De par des sentiments indescriptibles qu’il procure, Cinema Paradiso fait bel et bien parti du gratin du septième art. C'est tout simplement l'œuvre de la vie.

ce film m'a beaucoup plu et j'aime beaucoup l'actrice principale