Matthew Porterfield
Réalisateur
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Quelques chiffres
Note moyenne : 5.33/10Nombre d'évaluations : 3
0 Citations 6 Commentaires sur ses films
Les derniers commentaires sur ses films
Agréable surprise. J'avais pas prévu de le voir et puis finalement une musique folk qui fait du bien les personnages sont touchants. Si vous aimez les films qui ont un rythme soutenu passez votre chemin, ce film est plein de longueurs mais nécessaire à l'histoire.
Afficher en entierHistoire effectivement très lente mais qui se laisse regarder. Quelques chouettes chansons folk.
Afficher en entierUn aspect froid, les personnages n'ont rien d'attachants, le montage est particulier et finalement je suis passé à coté de ce long-métrage voulant sans doute trop jouer à fond la carte de cinéma indépendant.
Afficher en entierEtrange film...Peu de dialogue, des longueurs à chaque scène, quelques scènes musicales...On a l'impression de s'ennuyer devant ce gros manque d'action et pourtant, on se sent comme attiré par le peu qui se passe. Un film intimiste sur des personnages cabossés, plus touchant qu'il n'y parait.
Afficher en entierUn film pas comme les autres, fait partiellement de non-dits, et complètement d'humanité ; un film pour lequel la vie est le seul évènement.
Une lenteur agréable et reposante de la narration, et de longues chansons qui valent la peine d'être écoutées.
Un film bien particulier mais qui, je pense, peut plaire plus ou moins à tout le monde.
Afficher en entierDédicaces de Matthew Porterfield
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Biographie
Né à Baltimore, Matt Porterfield part à New York pour y apprendre le cinéma à la Tisch School of the Arts. Son diplôme en poche, il attend ses 29 ans pour écrire et réaliser son premier film, Hamilton dont l’action se déroule dans sa ville natale. Le succès critique est tel que le MOMA l’intègre à sa collection permanente.
En 2010, le réalisateur américain signe son second long-métrage, Putty Hill, dont l'action se situe toujours dans le Maryland. La pauvreté inhérente à cette région est largement représentée dans ce film réaliste. Il faut ensuite attendre trois ans pour que I Used To Be Darker débarque en salles, la troisième œuvre de celui qui enseigne l’écriture de scénario à la prestigieuse Johns Hopkins University de Baltimore.
(Allociné)
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