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Adolescent, Orso Miret tourne ses premiers films avec la caméra super 8 de son père. Assistant en auditeur libre à des cours de cinéma à Nancy, il suit après le bac des études de lettres modernes. Monté à Paris, il s'inscrit à la FEMIS, où il a pour camarades de promotion Hélène Angel et Jean-Paul Civeyrac. Dans ce cadre, il tourne plusieurs courts-métrages, notamment Monumentaire, un documentaire sur les célébrations du Mont Valérien. Il se fait remarquer grâce à deux courts qui font le tour des festivals, Dans la forêt lointaine en 1995 et, l'année suivante, Une souris verte.
Orso Miret réalise en 2001 son premier long-métrage, De l'histoire ancienne, oeuvre ambitieuse sur le deuil et la culpabilité, mêlant le destin d'une famille aux traumatismes de la Seconde Guerre mondiale. Présenté au Festival de Cannes dans le cadre de la Semaine de la Critique, le film décroche le Prix Jean-Vigo et recueille les suffrages de la critique. Il signe trois ans plus tard son deuxième opus, Le Silence, dans lequel on retrouve son goût pour le secret et sa capacité à distiller le malaise. Baigné par la lumière corse, le réunit Natacha Régnier et Mathieu Demy.
Biographie
Adolescent, Orso Miret tourne ses premiers films avec la caméra super 8 de son père. Assistant en auditeur libre à des cours de cinéma à Nancy, il suit après le bac des études de lettres modernes. Monté à Paris, il s'inscrit à la FEMIS, où il a pour camarades de promotion Hélène Angel et Jean-Paul Civeyrac. Dans ce cadre, il tourne plusieurs courts-métrages, notamment Monumentaire, un documentaire sur les célébrations du Mont Valérien. Il se fait remarquer grâce à deux courts qui font le tour des festivals, Dans la forêt lointaine en 1995 et, l'année suivante, Une souris verte.
Orso Miret réalise en 2001 son premier long-métrage, De l'histoire ancienne, oeuvre ambitieuse sur le deuil et la culpabilité, mêlant le destin d'une famille aux traumatismes de la Seconde Guerre mondiale. Présenté au Festival de Cannes dans le cadre de la Semaine de la Critique, le film décroche le Prix Jean-Vigo et recueille les suffrages de la critique. Il signe trois ans plus tard son deuxième opus, Le Silence, dans lequel on retrouve son goût pour le secret et sa capacité à distiller le malaise. Baigné par la lumière corse, le réunit Natacha Régnier et Mathieu Demy.
(Allociné).
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