Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre
navigation
sur
notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces
outils,
nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des
publicités.
Nos publicités sont spécifiquement choisies pour être en harmonie avec notre contenu, centré
sur le cinéma. Elles sont non intrusives et peuvent vous connecter avec des opportunités
pertinentes et passionnantes dans le monde du cinéma. En bloquant ces publicités, vous
limitez non seulement une source de revenus essentielle pour nous, mais vous risquez
également de manquer de précieuses informations de l'industrie cinématographique.
Pour que vous puissiez continuer à profiter de nos articles, revues et nouveautés du monde du
cinéma, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités
spécifiquement pour notre site.
Une fois que vous avez désactivé votre bloqueur de publicités, veuillez cliquer sur le
bouton ci-dessous pour recharger la page et poursuivre votre exploration de l'univers
cinématographique.
Dès le début, Estelle Larrivaz était plutôt bien partie pour être douée. En effet, après avoir suivi le Cours Florent (jolie façon de commencer sa formation), elle a enchaîné avec les stages de Jacques Waltzer, Michel Vuillermoz, et enfin Cédric Klapisch qui la fera d'ailleurs jouer Flo dans Chacun cherche son chat, en 1995.
Mais en 1989, c'est au théâtre qu'elle commence avec 27 remorques pleines de coton dans une mise en scène de Jean-Paul Rouves. Deux ans plus tard, donc en 1991, elle apparaît pour la première fois au cinéma dans le rôle de Béatrice dans Bar des rails, de Cédric Kahn. Puis elle a la joie et le bonheur de rencontrer Christian Vincent, c'est Beau fixe, en 1992. Ils récidivront en 1994 avec La Séparation et en 1998 avec Je ne vois pas ce qu'on me trouve.
Elle continue sa belle lancée et tourne pour le cinéma aussi bien avec Olivier Assayas pour Irma Vep qu'avec Jean-Paul Salomé ou Fabien Onteniente pour leurs énormes succès, respectivement Restons groupés et Jet set. Elle tourne une dizaine de longs métrages entre 1992 et 2000. Estelle Larrivaz ne crache pas non plus sur les téléfilms, oui mais pas n'importe lesquels puisque c'est chez Benoît Jacquot qu'on la retrouve par exemple en 1996 dans La vie de Marianne, ni sur les courts-métrages puisqu'elle en a quelques-uns à son actif.
D'ailleurs, en grande "Magouriquienne"* convaincue, elle a tourné Liberté chérie, de Jean-Luc Gaget, en 1997, et a continué l'aventure avec le même mais dans un long, J'ai tué Clémence Acera, en 2000. Et elle ne s'arrête pas là, puisque Magouric a également produit son premier moyen métrage en tant que réalisatrice (elle interprète également une bonne soeur) : Notre Père, avec Isabelle Candelier.
Enfin, Estelle occupe une place importante dans Irène, d'Yvan Calberac.
Biographie
Dès le début, Estelle Larrivaz était plutôt bien partie pour être douée. En effet, après avoir suivi le Cours Florent (jolie façon de commencer sa formation), elle a enchaîné avec les stages de Jacques Waltzer, Michel Vuillermoz, et enfin Cédric Klapisch qui la fera d'ailleurs jouer Flo dans Chacun cherche son chat, en 1995.
Mais en 1989, c'est au théâtre qu'elle commence avec 27 remorques pleines de coton dans une mise en scène de Jean-Paul Rouves. Deux ans plus tard, donc en 1991, elle apparaît pour la première fois au cinéma dans le rôle de Béatrice dans Bar des rails, de Cédric Kahn. Puis elle a la joie et le bonheur de rencontrer Christian Vincent, c'est Beau fixe, en 1992. Ils récidivront en 1994 avec La Séparation et en 1998 avec Je ne vois pas ce qu'on me trouve.
Elle continue sa belle lancée et tourne pour le cinéma aussi bien avec Olivier Assayas pour Irma Vep qu'avec Jean-Paul Salomé ou Fabien Onteniente pour leurs énormes succès, respectivement Restons groupés et Jet set. Elle tourne une dizaine de longs métrages entre 1992 et 2000. Estelle Larrivaz ne crache pas non plus sur les téléfilms, oui mais pas n'importe lesquels puisque c'est chez Benoît Jacquot qu'on la retrouve par exemple en 1996 dans La vie de Marianne, ni sur les courts-métrages puisqu'elle en a quelques-uns à son actif.
D'ailleurs, en grande "Magouriquienne"* convaincue, elle a tourné Liberté chérie, de Jean-Luc Gaget, en 1997, et a continué l'aventure avec le même mais dans un long, J'ai tué Clémence Acera, en 2000. Et elle ne s'arrête pas là, puisque Magouric a également produit son premier moyen métrage en tant que réalisatrice (elle interprète également une bonne soeur) : Notre Père, avec Isabelle Candelier.
Enfin, Estelle occupe une place importante dans Irène, d'Yvan Calberac.
Afficher en entier