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Considéré comme l’un des plus grands cinéastes italiens du XXème siècle, Giuseppe de Santis a pourtant plus officié en tant que scénariste que comme metteur en scène durant sa carrière. Né le 11 février 1917 à Fondi, c’est d’ailleurs en philosophie et littérature qu’il fait ses études, avant d’intégrer le Centro Sperimentale di Cinematografia, fondation italienne pour l'enseignement, la recherche et l'expérimentation dans le domaine du cinéma basée à Rome, et où il côtoie des élèves tels que Michelangelo Antonioni, Dino De Laurentiis ou Pietro Germi. A sa sortie, il mêle 7ème Art et écriture en devenant journaliste pour la revue "Cinema", où ses fréquents plaidoyers envers les premiers cinéastes néoréalistes donnent un aperçu de son futur en tant que réalisateur. Mais avant d’y parvenir, Giuseppe de Santis fait ses premières armes la plume à la main : pour Camillo Mastrocinque (Don Pasquale en 1940), et surtout Luchino Visconti, avec qui il adapte "Le Facteur sonne toujours deux fois" de James M. Cain, pour faire vivre la passion des Amants diaboliques (1942) sur grand écran.
Biographie
Considéré comme l’un des plus grands cinéastes italiens du XXème siècle, Giuseppe de Santis a pourtant plus officié en tant que scénariste que comme metteur en scène durant sa carrière. Né le 11 février 1917 à Fondi, c’est d’ailleurs en philosophie et littérature qu’il fait ses études, avant d’intégrer le Centro Sperimentale di Cinematografia, fondation italienne pour l'enseignement, la recherche et l'expérimentation dans le domaine du cinéma basée à Rome, et où il côtoie des élèves tels que Michelangelo Antonioni, Dino De Laurentiis ou Pietro Germi. A sa sortie, il mêle 7ème Art et écriture en devenant journaliste pour la revue "Cinema", où ses fréquents plaidoyers envers les premiers cinéastes néoréalistes donnent un aperçu de son futur en tant que réalisateur. Mais avant d’y parvenir, Giuseppe de Santis fait ses premières armes la plume à la main : pour Camillo Mastrocinque (Don Pasquale en 1940), et surtout Luchino Visconti, avec qui il adapte "Le Facteur sonne toujours deux fois" de James M. Cain, pour faire vivre la passion des Amants diaboliques (1942) sur grand écran.
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