Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Cinéphile,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Nos publicités sont spécifiquement choisies pour être en harmonie avec notre contenu, centré sur le cinéma. Elles sont non intrusives et peuvent vous connecter avec des opportunités pertinentes et passionnantes dans le monde du cinéma. En bloquant ces publicités, vous limitez non seulement une source de revenus essentielle pour nous, mais vous risquez également de manquer de précieuses informations de l'industrie cinématographique.

Pour que vous puissiez continuer à profiter de nos articles, revues et nouveautés du monde du cinéma, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités spécifiquement pour notre site.

Une fois que vous avez désactivé votre bloqueur de publicités, veuillez cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page et poursuivre votre exploration de l'univers cinématographique.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe CineNode

Films
60 187
Membres
43 361

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de Cinenode

Commentaire de Octave2Methylene

L'institut Benjamenta


«L'expérience réelle et la fantasmagorie sont ici dans un rapport poétique qui fait invinciblement penser à Kafka, dont on peut dire qu'il n'eût pas été tout à fait lui-même si Walser ne l'eût précédé», écrivait Marthe Robert à propos du livre éponyme dont est inspiré ce film. Dans ce pensionnat, on n'apprend qu'une chose : obéir sans discuter. C'est une discipline du corps et de l'âme qui procure de curieux plaisirs : être réduit à zéro tout en enfreignant le sacro-saint règlement. Porté par les réflexions et les rêveries du héros, l'histoire déroule sa trame kafkaïenne le long de plans étranges et cotonneux habillé d'un noir et blanc sublime, tandis que l'Institut Benjamenta, perdant lentement les qualités qui faisaient sa renommée, se laisse gagner par la léthargie. En accompagnement de cette fantasmagorie à l'esthétique infiniement travaillée, la partition musicale de Leszek Jankowski est tout simplement splendide.

Afficher en entier

Répondre à ce commentaire

Réponses au commentaire de Octave2Methylene