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Liste des répliques
« Quand deux chemins s’ouvrent à toi , choisis toujours le plus difficile , celui qui exigera le meilleur de toi »
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À la fin du film, Norbou termine sa fresque et se remémore son voyage avec la caravane.
- Norbou : J’ai tant appris de vous. De toi, mon père, Tinlé, de toi mon frère, Lhakpa, de toi Karma... Cette fresque, je l’ai peinte pour vous. La voilà terminée. Elle raconte notre histoire, l’histoire de Pasang, l’histoire de l’enfance d’un chef. Lagalo ! Les dieux sont vainqueurs.
Afficher en entierArrivés au pied du promontoire en pierres où l’on accroche les drapeaux de prières, Tinlé donne le drapeau à Karma, lui passant symboliquement le pouvoir.
- Tinlé : À toi maintenant. Et n’oublie pas : un chef commande à ses hommes mais reçoit ses ordres des dieux. Ça, ne l’oublie jamais.
- Karma : Quand j’étais enfant, tout au fond de moi, je rêvais parfois que tu étais mon père.
- Tinlé (riant) : Tu es trop pareil à moi, beaucoup trop, pour être mon fils. Tu crois que moi je n’ai pas eu envie de les balancer les calculs des lamas ?! Un vrai chef commence toujours, comme toi, par désobéir.
Afficher en entierLa nuit, sous la tente qui les protège de la tempête, Karma et Pema « se rapprochent ». Tinlé, pourtant très affaibli, s’en aperçoit et veut les interrompre. Alors Norbou intervient :
- Tinlé : Tu ne comprends pas ?! Il te prend tout ! Le chef c’est toi !
- Norbou : Ne pense pas comme ça. Je ne suis pas un chef. Je suis un peintre. Je suis un fils venu aider son père.
- Tinlé : Et Pasang ?
- Norbou : Pasang aussi a choisi. Les choses se placent d’elles-mêmes. Pour une fois, Père, laisse faire.
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