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Commentaire de Octave2Methylene

Les chemins de la haute ville


Presque 10 ans après le chef d’œuvre de George Stevens tourné en 1951 (Une place au soleil, avec Elisabeth Taylor et Montgomery Clift), Jack Clayton qui avait commencé en travaillant pour les studios Denham d’Alexander Korda, fait ses début avec ce premier long métrage construit sur un canevas similaire. Le scénario des "Chemins de la Haute ville" se présente comme une satire sévère du système des classes sociales de l'Angleterre d'après guerre, et lui vaudra d'être ensuite considéré comme l’un des fers de lance du réalisme cinématographique britannique. Cependant, derrière la critique sans concession, ce film s'avère être aussi le récit amer d'une initiation amoureuse ratée. Joe Lampton, jeune homme impulsif et immature, convaincu "que l'on peut aimer n'importe quelle femme", découvrira trop tard les dégâts causé par son impatience arrogante. On peut ainsi voir ce film comme une sorte de variation sur le thème des "liaisons dangereuses", ainsi qu'un portrait à charge cinglant de la lâcheté masculine. La composition parfaite de Simone Signoret lui vaudra un prix d’interprétation à Cannes et l'Oscar de la meilleure actrice en 1960.

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