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"Come as you are" est adapté d'un roman pour ados de Emily Danforth, "The Miseducation of Cameron Post". Parce qu'elle a été prise sur le fait avec sa copine le jour du bal de fin d'année, Cameron (Chloë Grace Moretz) est envoyée par ses parents soigner son homosexualité à God's Promise, un établissement réalisant des thérapies de conversion. Considérer l'homosexualité comme une maladie qu'on peut soigner est une croyance hélas tenace.

L'action est censée se dérouler en 1993 ; elle pourrait aussi bien avoir lieu de nos jours. Des organisations évangéliques existent aux Etats-Unis, telles Restoration Path, qui proposent à leurs membres des programmes afin de les guérir ou de guérir leurs enfants de leurs "déviations sexuelles".

Une fois Cameron installée à God's Promise, une fois le tour du propriétaire effectué et les différents locataires, dont chacun incarne stéréotypiquement une caricature (le Lakota transgenre, la rebelle fumeuse de joint, la fille en surpoids...), l'action fait du surplace. On est reconnaissant à Desiree Akhavan de ne pas l'avoir artificiellement dramatisée, qui refuse la facilité de dépeindre l'encadrement de God's Promise en dangereux tortionnaires. Mais on aurait aimé plus de nerfs à ce scénario qui en manque cruellement jusqu'à un dénouement téléphoné et prévisible que l'affiche du film nous a déjà révélé.

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