Répliques

Des bas, des hauts

Il y en a partout

Mais des drames

Il y en a surtout

Ici à Nottingham

Et nos coeurs sont trop las

Pour vouloir partir

Pour pouvoir fuir

Que n'avons nous

D'ailes pour nous envoler

Qui prendra pitié de nos larmes

Y a-t-il une âme qui priera pour moi

Loin de Nottingham

-Oh qu'il est plaisant homme, comme sur les affiches de récompenses.

SŒUR DE BOBBY: "Mets ta main sur ton cœur et croise les yeux"

BOBBY: "Serpent, araignée et mandragore"

TOBY: "Serpent, araignée et mandragore"

BOBBY: "Si j'cafarde, j'meurs jusqu'à c'que j'sois mort"

TOBY: "Si j'cafarde, j'meurs jusqu'à c'que j'sois mort"

ROBIN: "Je vois... je vois... votre illustre nom"

PRINCE JEAN: "Je connais mon nom, et après?!"

ROBIN: "Votre nom pôssera... pôssera... à la postérité naturellement!"

PRINCE JEAN : "Ah je l'savais, je l'savais! Tu as entendu Triste Sire? Ah celui là, il est dans le panier... N'oublie pas ce qu'elle a dit!"

A propos de la poule dont j'ai oublié le nom :

" Attraaapez la doduuuee !!!!"

Dame Gertrude (tricotant) : Sainte Vierge ! Le premier amour ! C’est une très grande chose.

Belle Marianne : Oh ! Gertrude ! Il doit sûrement savoir que je me languis toujours de lui.

Dame Gertrude : Il ne peut l’ignorer ma chère. Croyez-moi. Un prochain jour, votre oncle le roi Richard aura un hors-la-loi comme neveu par alliance. (rire)

Belle Marianne (rire) : Oh ! Gertrude ! (rire) Mais quand ? Mais quand ?

Dame Gertrude : Patience ma chère. Patience. Rappelez-vous : L’absence fait grandir l’amoureuse ardeur.

Belle Marianne (prenant un air triste) : Ou bien la refroidit (Elle se dirige vers la fenêtre.) Oh ! Je suis absente depuis si longtemps ! (Elle s’appuie sur le rebord de la fenêtre.) Et s’il m’avait complètement oublié ?

Prince Jean (jubilant) : Les taxes ! Les taxes ! Magnifiques taxes !

Triste Sire : Sire vous avez un merveilleux don pour inciter les pauvres à donner leur argent. (rire)

Prince Jean : En termes choisis, mon cher conseiller, je dérobe aux pauvres afin de nourrir les riches. (rire)

Petit Jean (perplexe) : Tu sais Robin, je me pose une question. Sommes-nous d’honnêtes ou de malhonnêtes gens ? Est-ce que c’est bien… de dérober aux riches afin de nourrir les pauvres ?

Robin des Bois (surpris) : Quoi ? (Il enchaîne plusieurs « Tss-tss » pour marquer son désaccord). Mais c’est là une expression peu convenable. Nous autres… (Il s’assied sur la branche.) Nous empruntons à ceux qui ont trop de fortune !

Petit Jean (amusé) : Empruntons ? Hé Hé Hé !! Malheur au royaume des dettes !!

- Va !

- Je m'en va, je m'en va.

- Shérif, c'est pas si sûr que tout est bien. J'ai comme le sentiment d'une évasion avant pas longtemps.

- De par le diable, Pendard, pointe ta sarbacane vers un autre côté.

- Ne vous souciez pas, shérif, ma vieille Berta est au cran de sûreté.

[L'arbalète décoche une flèche]

- Enfer et damnation, qu'est-ce que tu fais crâne de piaf.