Cher Cinéphile,
Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.
Nos publicités sont spécifiquement choisies pour être en harmonie avec notre contenu, centré sur le cinéma. Elles sont non intrusives et peuvent vous connecter avec des opportunités pertinentes et passionnantes dans le monde du cinéma. En bloquant ces publicités, vous limitez non seulement une source de revenus essentielle pour nous, mais vous risquez également de manquer de précieuses informations de l'industrie cinématographique.
Pour que vous puissiez continuer à profiter de nos articles, revues et nouveautés du monde du cinéma, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités spécifiquement pour notre site.
Une fois que vous avez désactivé votre bloqueur de publicités, veuillez cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page et poursuivre votre exploration de l'univers cinématographique.
Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.
Cordialement,
L'équipe CineNode
En 1989, Alex Proyas se lance dans le long métrage avec le film de science-fiction à petit budget Spirits of the Air, Gremlins of the Clouds, exploité uniquement en Australie. C'est en 1994, avec le film fantastique The Crow, adaptation de la BD culte de James O'Barr, que le réalisateur est révélé au grand public. L'esprit gothique du film est une réussite, mais le succès de cette sombre histoire de vengeance est assombri par le décès accidentel du comédien Brandon Lee survenu pendant le tournage.
Grâce au succès commercial de The Crow, Alex Proyas peut ensuite réaliser l'ambitieux Dark City (1998), thriller futuriste à l'esthétique soignée qui confirme la capacite du cinéaste à installer une atmosphère inquiétante. Après une incursion dans la comédie avec Garage days, il revient en 2004 à la science-fiction, mais sous une forme plus grand public, avec I, robot, emmené par Will Smith et tiré de l'oeuvre d'un des maîtres du genre, Isaac Asimov. En 2009, Proyas confirme son attachement au cinéma fantastique en dirigeant Nicolas Cage dans Prédictions.
Sept ans plus tard, Alex Proyas revient avec Gods of Egypt, un film à 140 millions de dollars mêlant action, fantastique et mythologie égyptienne. La raison de cette longue absence du metteur en scène provient du fait qu’il travaillait sur un long métrage nommé "Paradise Lost" (rien à voir avec le film sur Pablo Escobar) qui a été abandonné.
(Allociné)