Asia Argento
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Note moyenne : 5/10Nombre d'évaluations : 3
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Les derniers commentaires sur ses films
Ce film est une grosse déception. Je l’ai regardée car mon acteur préféré, Jeremy Renner, jouait dedans mais il n’apparaît pas longtemps et il à un rôle méprisable, bien qu’il le joue toujours merveilleusement bien. Le film en lui-même est très dure, trop dure, il est d’un démoralisant, une telle noirceur du début à la fin et j’en ressors le morale à zéro, je déteste ce genre de films, où il n’y à pas la moindre lueur d’espoir. Bon, rien à redire quand aux jeu des acteurs, ils sont tous excellents mais le film est vraiment trop sombre et triste, je n’ai pas aimée.
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Biographie
Asia Argento est née le 20 septembre 1975 à Rome. Fille de l’actrice Daria Nicolodi et du maître de l’épouvante Dario Argento, elle démarre sa carrière de comédienne dès l’âge de onze ans, notamment sous la direction de Nanni Moretti, Patrice Chéreau ou encore de son père qui lui donne plusieurs rôles importants. Très vite, elle impose dans le monde du cinéma sa forte personnalité, son aura trouble et fascinante. Dès lors, elle alterne des rôles dans de grandes productions internationales, et devient une icône du cinéma indépendant en jouant pour Abel Ferrara, Gus van Sant, Olivier Assayas, Bertrand Bonello ou Tony Gatlif. Mais Asia Argento ne souhaite pas se contenter d’être devant la caméra. Lassée d’une carrière d’actrice dont elle pense avoir fait le tour, elle entreprend de réaliser ses propres films dès le milieu des années 1990. Il y a d’abord des courts-métrages, un documentaire sur Abel Ferrara (Abel/Asia en 1998) et un autoportrait poignant et sincère : Scarlet Diva (2000). Continuant à tourner des courts, elle attend plusieurs années avant de faire aux Etats-Unis, un deuxième long-métrage sans concession : l’adaptation du livre sulfureux de J.T. LeRoy, Le Livre de Jérémie (2005). Après ce brûlot incandescent, l’actrice affirme son désir de poursuivre sa carrière de cinéaste, se consacrant en parallèle à sa deuxième passion, la musique. Il en résultera L’Incomprise, un troisième long-métrage très abouti, presque apaisé, où elle reprend sur un mode plus doux, à la fois drôle et poétique, des thèmes liés à l’enfance qui lui sont chers.
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