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Puis le film commence. La pellicule est abîmée (cela vient du projecteur) et je sais juste que je vais regarder un Béla Tarr - je n'en sais strictement pas plus à son sujet. Passons ma première impression qui changea tout au long du film qui était de croire qu'il datait d'avant guerre ( j'ai conclu à la fin que c'était peut-être les années 90, j'y était presque c'était en 2000). Bref.
La scène d'ouverture commence. Je pleure du à mon état émotionel fragile mais il n'en reste pas moins une vérité : c'est la plus belle scène d'ouverture qui m'ai été donné de voir. Scène de 10 minutes en plan séquence accompagnée d'une musique qui vous habite, la caméra filme des ivrognes tournaient en rond, imitant le système solaire sous les mots du personnage principal qui narre une éclipse. Les mots vous touchent, ils vous donnent de l'espoir et vous perdent, que ce passe-t-il donc ? Je ne pourrais jamais exprimer à quel point cette scène est merveilleuse.
Le film peut paraître long, je le déconseille aux cinéphiles qui ne peuvent supporter de regarder des personnes juste marcher pendant plus de cinq minutes, mais pour moi c'est un chef d'oeuvre. J'ai été transporté par la musique, par les nuances de noir et de blanc et par cette histoire.
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