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Olivier Grunner, monolithique à souhait à la démarche d'un Terminator, doit se battre à chaque fois qu'il entre dans une pièce (j’exagère un peu, mais on n'est pas loin de la vérité). il est accompagné d'un sidecick énervant à souhait (Gabriel Dell Jr.) dont le héros est obligé de lui répéter sans cesse de se taire car c'est un vrai moulin à parole; d'ailleurs l'un des personnages secondaires, surnommés le barjot, lui dit qu'il parle trop et gesticule trop. Comme quoi les fous sont les êtres les plus sensés. Quand à l'un des méchants (incarné par Lindsey Ginter), il est un peu caricatural dans son rôle; à noter aussi la présence de Nils Allen Stewart, un habitué des rôles de méchant de secondes zones, dans le rôle de l'homme de mains.
Malgré ses petits défauts, l'histoire se laisse regarder agréablement, les bastons sont bien nerveuses à souhait, et l'intrigue nous laisse bien en suspens jusqu'à la révélation finale du MacGuffin assez inattendue.
Mars 2056