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La Femme de Tchaïkovski
Leto est peint d'une belle esthétique noir et blanc, accompagnée par moments de dessins sur l'image qui soutiennent très bien la musique rythmée qui est le propos du film.
Si la musique en elle-même m'a bien plu, j'ai surtout adoré ce côté rêveur que prend le film, les moments qui n'ont jamais existé, comme s'il dépeignait véritablement ce qui se passait dans l'esprit de tous ces jeunes dont on réprimait les élans passionnés.
Les personnages m'ont aussi beaucoup touché, particulièrement celui de Mike, pour son amour du rock, qui lui fait passer le potentiel qu'il sent en Victor avant ses propres intérêts et son bonheur.
Leto
Sauf que Mercury est particulièrement connu, que le film se termine sur un point d’orgue hallucinant…
Là, j’ai mis très longtemps pour savoir lequel on suivait vraiment, celui qui allait révolutionner le rock soviétique, s’ils allaient se mettre à deux…
Le final ne m’a donné le sentiment d’aucune révolution réelle…
Donc, pas de bol, pour un biopic sur un révolutionnaire de la musique…
Pour le reste, il y a d’excellentissimes moments – et ouais, toutes les parties qui n’ont pas existé m’ont bien plu.
Mais il y a aussi pas mal de moment vaguement en creux, de simples discussions qui ne montrent pas grand-chose d’autre que ce que chacun pourrait vivre…
Sympa, musical, bien joué, mais pas sidérant de ouf non plus.
Leto
Leto
Le Disciple