Lire la suite...
Une remarque? Un conseil? Une question? [email protected]
Cher Cinéphile,
Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.
Nos publicités sont spécifiquement choisies pour être en harmonie avec notre contenu, centré sur le cinéma. Elles sont non intrusives et peuvent vous connecter avec des opportunités pertinentes et passionnantes dans le monde du cinéma. En bloquant ces publicités, vous limitez non seulement une source de revenus essentielle pour nous, mais vous risquez également de manquer de précieuses informations de l'industrie cinématographique.
Pour que vous puissiez continuer à profiter de nos articles, revues et nouveautés du monde du cinéma, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités spécifiquement pour notre site.
Une fois que vous avez désactivé votre bloqueur de publicités, veuillez cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page et poursuivre votre exploration de l'univers cinématographique.
Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.
Cordialement,
L'équipe CineNode
Au début du film, elle revient à Paris où dans une salle de fêtes, elle revoit à nouveau quelques unes de ses amies qui étaient déportées avec elles. Elles sont heureuses de se revoir à nouveau mais certaines ne se souviennent plus d'elle. A chaque mélodie, visage, la phrase revient toujours et toujours "Tu te souviens... ?". Les souvenirs ne sont clairement pas joyeux, parfois si. Ce film a été tourné 50 ans après la guerre. Avec le temps, les souvenirs sont oubliés, d'autres sont brouillés... Myriam affiche des expressions du visage qui font ressentir beaucoup de douleurs, de tristesse.
Elle gagne un gros lot à la tombola : un billet pour Cracovie, la ville polonaise proche d'Auschwitz et de Birkenau. Psychiquement elle doit être forte pour avoir eu le courage d'y retourner après tout ce qu'elle a vécu là-bas. Rien que l'idée de voir l'intérieur d'un bâtiment me donne des frissons. On entend souvent une voix off pour nous raconter ses souvenirs de ses amies, de leurs conversations ou de son père aussi.
Elle rencontre Oskar, petit fils d'un SS qui a participé à la construction du camp d'extermination d’Auschwitz. Il essaie d'aider Myriam à retrouver un peu la mémoire. Elle a oublié par exemple le fait qu'elle creusait près des crématoires alors qu'elle se souvenait que c'était près des cuisines. Quand elle est arrivée dans la pièce où les juifs se déshabillaient et qu'on leur retirait leurs biens, elle demandait où est-ce qu'elle se trouvait. Oskar lui a rappelé ce lieu. Elle ne se souvenait pas non plus qu'il y avait des fenêtres, elle se souvenait d'un pièce avec des murs gris...
La petite prairie aux bouleaux