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La Fureur de Vivre
Les 55 Jours de Pékin
La Fureur de Vivre
Je suis vite prise dans la magnifique prestation de James Dean dès le début. Les relations parents-enfant sont un vrai conflit et ceux qui ont connu ce genre de dispute, c'est vraiment triste de ne pas avoir un modèle pour l'avenir.
Je suis contente de revoir Natalie Wood (que je la connaissais dans La Prisonnière du désert), et Mal Mineo (dans Géant, dont James Dean joue Jett Rink) dans les rôles principaux.
J'ai trouvé leur relation intéressante, parfois maladroit mais cela montre bien la jeunesse qui veut se libérer, se révolter et chercher un avenir différent de ses parents.
Le sujet du film est hors du commun et on en parle très peu dans la vie publique, voir presque un tabou tandis que le harcèlement est un sujet qui ressort tous les ans à une période donnée.
Joli film culte à voir pour connaître les trois acteurs principaux et l'histoire.
La Fureur de Vivre
Les indomptables
Secret de femme
La Fureur de Vivre
La fureur de vivre n'a pas usurpé son rôle de film générationnel par essence, exacerbé par la mort prématuré de James Dean (incroyable ici), mais qui le doit surtout aux thèmes qu'il aborde avec pas mal de justesse puisque ça a touché énormément de monde.
En 2018 on ne se prends pas le film dans la gueule avec la même puissance malheureusement.
Ceci dit, voir ce film m'aura fait faire un pas de plus vers la compréhension de "The Room" (rien a voir le mec part en vrille total) et de la démarche de Tommy Wiseau, grand fan de la fureur de vivre et de James Dean. IMPOSSIBLE de ne pas faire le lien quand on voit les deux films !
La Fureur de Vivre
À l'ombre des potences
Même si c'est pas un film speed, c'est vraiment intéressant à voir, ne serait ce que pour voir James Dean jouer.
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johnny guitar
D'un point de vue cinématographique, il s'agit d'un véritable chef-d'oeuvre (avec James Dean qui plus est), et le passage de l'enfance à l'âge adulte n'est pas retranscrit ici au hasard... Ce film dépeint magnifiquement la nouvelle jeunesse américaine et le deuil de l'enfance... pour moi, il a longtemps résonné...
D'un point de vue narratif, c'est sûr, ce ne sont pas les martiens qui envahissent la Terre pour faire exploser la Maison-Blanche. Mais une intrigue si simple, sans histoire, pour décrire l'adolescence (finalement pas si compliquée)? Encore, on retombe dans un effet de mise en scène particulièrement bien menée, et qui nous tient en haleine jusqu'à la fin, dans un cocon d'angoisse pour le couple James Dean/Natalie Wood.
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Le film a assez vieilli - on ne se comporte plus beaucoup comme dans le film et on a presque l'impression de voir une reconstitution d'une ancienne époque ; la violence du fils sur le père est risible aujourd'hui quand Bruce Willis se relève après s'être pris des coups d'extincteurs, il y a plein de bons sentiments qui paraissent naïfs de nos jours, des rires dont la légèreté nous échappe, des transgressions à l'époque qui sont des habitudes aujourd'hui...
Mais remis dans le contexte, c'est un bon film.
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