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Tous les films de Paul Sharits

Razor Blades suit la tradition de ces films stroboscopiques qui affectent physiquement nos yeux, ce qui provoque un transfert de lumière presque hypnotique qui prend sa source à l'écran de notre pensée. Cependant, Sharits explore des sensations aussi bien physiques que psychologiques. Il semble vouloir aller à l'encontre du grain de notre perceptions et de nos affects, et nous sommes obligés, soit de nous détourner du flux d'images, soit d'y plonger entièrement dans un geste de total abandon. Si nous y arrivons, nous trouvons le film profondément satisfaisant ; il est en effet conçu pour faire tomber nos résistances, afin de travailler ensuite au plan du subconscient, et nous initier à un nouveau degré de conscience. En opposant les yeux et les oreilles à la pensée, Razor Blades (Lames de Rasoir) "coupe" profondément, dans nos corps psychiques et viscéraux ; cette œuvre est un signe avant-coureur de ce que les films un jour pourront devenir - des environnements visuels, auditifs et psychologiques totalement programmés. »

David Beinstock, Whitney Museum.

Epileptic Seizure Comparison est une combinaison du flicker et du refilmage, en même temps qu’une dramatisation intense du flicker et du son électronique. Le matériau de base est constitué par deux films médicaux en noir et blanc de quelques secondes, présentant le filmage de deux crises d’épilepsie expérimentales, induites artificiellement, l’une par un signal électrique, l’autre par un signal lumineux. Les patients sont munis d’électrodes rattachées à divers points du cerveau

Court Métrage expérimental : Le film est la version en trois parties successives et pour un écran d'une installation à trois écrans.

Fréquence de couleurs pâles espaçant et enrichissant visuellement des photos en noir et blanc, les mouvements d'un acte sexuel ou simultanément des deux côtés de son «champ» et des deux extrémités de sa durée.

T, O, U, C, H, I, N, G est un court métrage de 12 minutes réalisé par Paul Sharits en 1968. Il utilise de nombreuses stratégies caractéristiques du mouvement du film structurel, notamment un cadre statique, des effets de flicker, des flashs et une répétition audio et visuelle continue. La piste audio consiste exclusivement en ce que le cinéaste prononce le mot «détruire» encore et encore jusqu'à ce que le mot commence à perdre sa signification et crée l'impression de différentes combinaisons de mots qui sont parlées.

Source : Wikipédia

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