Sam Firstenberg
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Note moyenne : 5/10Nombre d'évaluations : 4
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Un film d'arène de série B qui aurait pût éviter de tomber dans le nanar si il n'y avait pas eut quelques éléments bancals, comme un scénario un peu simpliste, un doublage VF manquant de conviction, un Mark Dacascos qui en fait un peu trop (à chaque fois qu'il apparait, il a les yeux exorbités) et la voix off du maître un peu trop intrusive avec ces conseils sur la voie du samouraï (on a a envie des fois qu'il se taise).
Heureusement, tout cela est contrebalancé par des scènes de combat fort sympathique avec son lot de mutilation et d'égorgement (même si cela manque un peu d'hémoglobine par certains moments). Malheureusement, le dernier combat m'a laissé sur ma faim: là où on voyait les deux combattants sur un même plan lors des autres combats, l'ultime confrontation montre les deux combattants sur deux plans différents ce qui donne l'impression que les deux interprètes n'étaient pas ensemble lors de la passe d'armes, ce qui gâche tous le sel du film. Dommage.
Afficher en entierCe film est l'exemple typique du nanar, car on a le droit à tous les poncifs:
_ Des passages qui ne servent à rien, à part rallonger la durée du film (le passage du gamin adoptif calme comme une image, je ne vois pas trop son intérêt)
_ Des explosions à gogo
_ Des dialogues ridicules (je pense notamment au passage de la prise d'assaut du début où le frère du héros se demande où sont les gardes et que l'un des mercenaires répond "Ils sont peut-être en congés" alors que cela sent le piège à plein nez)
_ Des acteurs qui cabotinent, entre John Rhys-Davies qui s'amusent comme un petit fou (d'ailleurs, j'ai remarqué qu'il surjouait toujours dans des nanars, comme si il connaissait déjà la qualité du film) et Ron Smerczak, dans le rôle de l'homme de main, qui reste monolithique du début à la fin (on se demande même si ce n'est pas lui le robot)
_ Des personnages totalement stupides (je reste planté là pour me faire exploser ou me faire trouer la tête par le robot)
_ Des situations rocambolesques (le héros et la journaliste qui n'arrêtent pas de s'engueuler au début tombe dans les bras l'un de l'autre en moins de dix minutes)
_ Un plan nichon (et Alonna Shaw les vaut bien ^^)
_ Des faux raccords à foison
_ Des combats ratés (là où dans certains films d'action, on sent que les coups portent, ici David Bradley arrête son action beaucoup trop tôt; ce qui fait que l'on n'y crois pas du tout)
_ Des gadgets farfelus (le décrocheur de téléphone du méchant)
_ Des course-poursuites dignes de "Cours après-moi shérif"
_ Le méchant qui daigne utiliser le cyborg contre le héros après avoir user tous ses hommes (il aurait pût l'utiliser dès le départ si il était si confiant de sa création)
_ Le retournement de situation hyper-prévisible avec une imitation de la voix du cyborg totalement ridicule; et un combat final en-deçà de nos attentes.
Bref, le film en lui-même n'est pas folichon. Heureusement que les éléments nanars et la prestation de John Rhys-Davies relèvent un tantinet le niveau, car on pourrait facilement s'endormir devant ce film.
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Nu Image : 2 films
The Cannon Group : 1 film
Cannon Film Distributors : 1 film
Cannon Pictures : 1 film