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Commentaires sur ses livres

Sam Levinson

Par NovemberMcCabe le 24 Septembre 2023 Editer
NovemberMcCabe
Un film original et excellent. Les deux acteurs livrent une performance magnifique qui donne à réfléchir. Leur alchimie et leur intensité sont surprenantes. Le fait que le film soit en noir et blanc donne quelque chose en plus à la performance et à l'histoire. Je trouve cela dommage que le long métrage ne soit pas tant connu, mais je le recommande aux personnes qui aiment le cinéma.
Vu en VO
A propos du livre :
Malcolm and Marie
Malcolm and Marie
Par melanie270503 le 10 Décembre 2022 Editer
melanie270503
C'est un bon film pour passer le temps, il est divertissant mais en dehors de ça, il n'est pas vraiment incroybale.
A propos du livre :
Assassination Nation
Assassination Nation
Par Wyndon le 29 Août 2022 Editer
Wyndon
Un film assez spécial, un style dont je n'ai pas l'habitude. Mais de bons acteurs, et des paroles assez prenantes.
A propos du livre :
Malcolm and Marie
Malcolm and Marie
Par pwachevski le 7 Juin 2022 Editer
pwachevski
Je ne sais honnêtement pas vraiment moi-même ce que j'ai pensé de ce film ! Sa réalisation est indéniablement élégante, son noir et blanc recherché, sa mise en scène précise, et surtout l'interprétation est un sans faute sur toute la ligne. On ne pourra pas non plus reprocher au film de manquer de personnalité, ou de ne pas être audacieux. Mais j'ai trouvé ça beaucoup trop bavard, on est honnêtement plus proche du théâtre que du cinéma là. Et ce n'est pas juste bavard, c'est hyper "dense". On n'a pas le temps de digérer un dialogue qu'en voilà un autre, avec pour ma part le résultat troublant de n'avoir réussi à m'attacher à aucun des deux personnages, de n'arriver à donner raison ou à me projeter ni dans le point de vue de l'un, ni dans le point de vue de l'autre. Finalement, les deux me semblent tout aussi toxique l'un que l'autre, et la tendresse qu'ils prétendent encore avoir l'un pour l'autre ne m'a pas du tout atteinte (alors que sur une thématique assez similaire, Marriage Story avait lui complètement réussi à me faire me projeter dans le point de vue de l'un puis de l'autre et a avoir un vrai attachement pour les deux personnages). Je reste du coup sur un sentiment un peu désagréable de "tout ça pour ça", de ne pas vraiment avoir compris ce qu'a voulu me raconter le film. Avec en plus cette longue digression sur le monde du cinéma qui rend le film d'autant plus étrange à mes yeux, car d'une part il nous fait "sortir" de la relation de couple torturée qu'on nous décrit, et qui d'autre part éloigne encore un peu plus les personnages de nous, car on sent qu'ils ont définitivement une vie et des problématiques qui ne sont pas du tout les nôtres (ou du moins pas les miennes) ; de la même manière je ne suis pas certaine que la thématique du racisme servait vraiment à quelque chose. Bref, c'est du beau cinéma, mais soit qui n'a pas su m'atteindre, soit que je n'ai su comprendre.
A propos du livre :
Malcolm and Marie
Malcolm and Marie
Par sylvains7 le 7 Juillet 2021 Editer
sylvains7
Un film deux pièces-cuisine qui se laisse bouffer par sa théâtralité. Un couple se déchire à coup de monologues pompeux , dialogues, engueulades, réconciliations en tout genre s’enchainent de façon métronomiques et sans fin. Ils n’auraient pas envie d’aller se coucher ces deux personnages plutôt que de s’engueuler, de prendre un bain, manger des pâtes....??? Seules la mise en scène et l’utilisation du noir et blanc sont à retenir .
A propos du livre :
Malcolm and Marie
Malcolm and Marie
Par Vampilou le 4 Mars 2021 Editer
Vampilou
Un film original et intense !

Ce film, c’est avant tout, une véritable expérience, il est unique, totalement à part entière, il a une identité propre, qu’il assume jusqu’au bout et qu’il expose avec beaucoup de talent. C’est un huis clos intimiste, une plongée au cœur d’un couple, une soirée qui va tout changer, qui met en avant son explosion, sa déconstruction et qui fait de nous des spectateurs presque voyeuristes. C’est le portrait d’un amour passionnel, presque dysfonctionnel même, toxique par certains aspects, trop extrême, trop fort et qui blesse, autant qu’il caresse. Un amour qui se construit sur des égos forts, trop peut-être, parce que l’un prend le dessus sur l’autre, chacun leur tour, il n’y a pas d’équilibre, de concession, chacun d’eux veut l’ascendant sur l’autre. Alors les reproches s’accumulent, la jalousie, celle du succès, autant que celle plus personnelle, les regrets deviennent plus importants que les victoires communes et le clash ultime se fait forcément violent. Une violence des mots, faite pour faire mal plus que les coups, comme on le dit, de l’amour à la haine, il n’y a qu’un pas et nous en avons le plus parfait exemple, le plus révélateur même. La réalisation de Sam Levinson est une véritable pépite, notamment pour son choix merveilleusement esthétique du noir et blanc, qui correspond pleinement au glamour du contexte. Visuellement, c’est simplement artistique, les plans sont minutieusement choisis, étudiés au millimètre près, rien n’est laissé au hasard, jamais, pour nous toucher rien que par l’image. En ce qui concerne le scénario, minimaliste, l’important se révèle dans le fond, dans les sujets extrêmement forts, actuels, qu’il met en avant, plus que dans l’intrigue. Ce sont majoritairement des dialogues, des silences, des monologues, je peux comprendre que pour certains se soit trop peu et pourtant, pour peu que l’on prête l’oreille et que l’on soit sensible, la claque est au rendez-vous. C’est notamment un portrait extrêmement incisif du cinéma, de la notion que l’on veut bien lui donner, de cette intelligentsia qui se veut avoir toutes les réponses, tous les pouvoirs sur ce qu’il faut voir ou non. Mais parfois, une œuvre cinématographique n’a pas d’autre but que de divertir, pas de sous-entendu politique, ou sociétal, simplement le plaisir de faire passer un bon moment. Est-ce pour autant un produit de moindre qualité, doit-on juger ceux qui le font, autant que ceux qui y assistent, ne pouvons-nous pas seulement laisser chacun apprécier ce qu’il souhaite. C’est également un exemple poignant de ce qu’est la créativité, de la souffrance qu’elle engendre parfois, parce qu’elle vous isole fatalement, par l’incompréhension des autres. Quant au casting, totalement minimaliste, il est pourtant extraordinaire, porté par ce duo John David Washington/Zendaya qui est tout simplement magistral d’intensité.

En bref : Un huis clos intimiste, qui nous plonge au cœur d’un couple en détresse, mais qui permet aussi d’aborder des sujets plus vastes, une vision de l’amour, du cinéma, pour le moins incisive, qui en montre les multiples facettes et qui prend des positions pour le moins riches en réflexions, desquelles nous ne sortirons pas indemnes !

Avis complet sur le blog : https://vampiloufaitsoncinma.com/2021/03/04/malcolm-marie/
A propos du livre :
Malcolm and Marie
Malcolm and Marie
Par dreamygirl le 2 Mars 2021 Editer
dreamygirl
J'ai vu ce film sur Netflix il y a quelques jours, et j'ai beaucoup aimé le jeu d'acteur avant toute autre chose. L'ambiance est électrique, le couple fait des montagnes russes entre les disputes et les réconciliations, on se sent mal à les voir dans cet état. Le noir et blanc donne un aspect "vieux film" que j'aime beaucoup, et dépeint bien l'ambiance qui règne dans cette grande maison. C'est une guerre psychologique qui se joue après la diffusion du film réalisé par le personnage de Malcolm, qui est félicité par la critique sans avoir remercié sa compagne. Tout part de là, et c'est épuisés que nous sortons de ce film, après autant de tensions à l'écran. C'est un film que nous pourrions considérer "d'art et d'essai", et je le recommande pour tous les adeptes du genre.
A propos du livre :
Malcolm and Marie
Malcolm and Marie
Par Bloediamond le 1 Mars 2021 Editer
Bloediamond
Bien que la conquête de sens à propos des diverses œuvres soit dénoncée à travers ce film, il y en a finalement un : celui de nous laisser entrer dans l'intimité du couple, Malcom et Marie.

Marie semble dépasser les bornes, tenir trop à cœur à ce film, surtout à la fin dont s'est emparé Malcolm et le lui reproche jusqu'au bout. Et pourtant, une grande part de vérité est présente dans ses propos. Ayant eu un passé compliqué, son film s'avère avoir un bout d'elle et c'est blessée au plus profond d'elle qu'elle semble être. Etant donné à quel point Zendaya incarne particulièrement bien son rôle à travers ses expressions, le ton qu'elle emploie, on peut ressentir le tout.

On parvient également à se mettre à la place du réalisateur Malcolm bien que, me concernant, j'ai pu plus être à l'écoute et compréhensive concernant Marie que lui qui aurait préféré profiter de son moment "de gloire" plutôt que de se quereller aussi longtemps puisque John David Washington joue également très bien.

Cependant, il est possible que ce film ne plaise pas à ceux qui, d'une part, ne sont pas grandement fan du noir et blanc, d'une part, à ceux qui préfèrent l'action aux paroles car l'histoire se situe au même endroit : on a d'ailleurs véritablement l'impression d'être avec eux grâce à ces faits.
A propos du livre :
Malcolm and Marie
Malcolm and Marie
Par MissFantastique le 17 Février 2021 Editer
MissFantastique
Si la mise en scène peut surprendre au premier abord et faire naître quelques réticences, notamment à cause du huit clos imposé et d'un choix de tournage en noir et blanc, on ne peut que se laisser séduire par le jeu d'acteurs et l'histoire touchante que donnent à voir Zendaya et J.D Washington.
Nous sommes les témoins d'un bref moment de vie entre Malcolm et Marie, dont les détails et le contexte s'éclairent au fur et à mesure de la discussion, une nuit agitée dont ni les personnages, ni nous se sortons parfaitement indemnes, ayant été pris dans le tourbillon nocturne des émotions, des révélations et des remises en question où notre perception de certains sujets a été bouleversé par ce qui aurait pu être une banale scène de ménage et qui s'est avéré être une discussion existentielle.
La performance des acteurs est indéniablement remarquable et rend le film encore plus esthétique que la mise en scène ne le rend déjà : les émotions, la peur, les doutes, la peine, la rancœur, la haine, la cruauté, la folie, tout se mêle avec justesse pour peindre à travers une dispute tout le spectre des sentiments humains.

(la suite du commentaire aura peu de sens si vous n'avez pas vu le film, et je doute même qu'elle en ait si vous l'avez visionné, ne peignant au fil de ma plume que mes impressions toutes subjectives d'âme littéraire)

Mais à dire vrai, après visionnage, je n’ai même pas envie d’émettre de jugement sur ce film. Cela est du au fait que l'un des sujets abordés au cours de la dispute est celle de la critique de cinéma, celle faite au sujet du film que Malcolm vient de sortir : les protagonistes se moquent de la critique qui souligne l'aspect très "authentique" du film de Malcolm, ils déplorent cette terrible tendance faire valoir l'authenticité d'un film, comme s'il fallait toujours lui donner un sens, de sorte que les néophytes trouveront toujours parfaitement fascinante l'authenticité d'un film alors que le réalisateur ne cherchait rien, il voulait simplement peindre.
Nous avons bien cette fâcheuse tendance, moi la première, à chercher un sens à tout, à supprimer tout mystère, tout ce qui relèverait de l'inexplicable et de l'ineffable, à cause de notre esprit cartésien constamment en quête de sens.

Faut-il dès lors que je poursuive la critique de ce film, si j'y ai perçu une authenticité qui n'en était pas une ?
Ou alors devrais-je en dire en autre chose ?
Qu'ai-je ressenti, qu'est-ce que ce film transmet comme émotion, voilà le genre de questions qu'il faudrait davantage se poser que celle bien trop traditionnelle du "qu'a-t-il voulu dire ?" "Quelle réalité a-t-il voulu représenter ?" "A-t-il été authentique ?"

Nous sommes au cinéma, il ne faut pas chercher l'authenticité, ce serait vain, c'est le principe même du cinéma de transcender l'authenticité pour produire du factice, de l'irréel, du superficiel, et d'exagérer, de souligner, de donner des proportions inconsidérées à ce qui serait "banal", "simple" ou "anodin" dans la réalité. Une scène de ménage, c'est classique, banal à en mourir dans la réalité, mais en faire un moment de crise existentielle où s'entrechoquent les sujets les plus profonds avec esthétisme et sensibilité, seule le cinéma le peut.
"Malcolm et Marie" est esthétiquement sublime : en noir et blanc le grain des acteurs et leurs expressions semblent exacerbées, cela donne une profondeur insoupçonnée au film, profondeur qui vient s’ajouter à la finesse des sujets abordés.
Derrière ce grand sujet qu'est celui de la dispute, de la scène de ménage viennent s’immiscer des questions bien plus profondes : celle de la reconnaissance, de l’amour de soi et des autres, de l’orgueil, de la critique cinématographique, du corps, de la perception de soi mais aussi, point qui m'a particulièrement marqué, de l’expérience personnelle devenue publique.
Il est certainement là le vrai sujet de la dispute : il lui a arraché son histoire, il en a fait quelque chose de beau certes, mais de fait elle ne peut plus en parler, son histoire est déjà racontée, elle ne peut plus "faire quelque chose de toute cette merde".

Enfin, c'est la question de la parole en elle même qui est ici très travaillée : les mots que l'on jette sans réfléchir, ceux que l’on regrette, ceux qu’on aurait du dire et qu'on n'a pas dit, ceux qui manquent et auxquels se substituent les cris ou la musique.
Le film a cette grande qualité de donner un rôle à la musique, c'est un personnage à part entière qui prend la parole dès lors que les personnages ne savent plus quoi dire et qui dit ce que les personnages ressentent, tant et si bien que le film parvient à faire vibrer la musique au diapason des émotions des personnages.

C’est un beau film, esthétique, sensible, poétique, incontestablement, un huit clos pertinent sur ce qu’est une dispute : rien de plus qu’un conglomérat de blessures enfouies qui refont surface, rien de plus qu’un abcès qui diverse toute une haine cruelle trop longtemps dissimulée et contenue.

Parler, hurler, pleurer, des actions si simples que le cinéma oublie parfois derrière un scénario, une action, une intrigue ou un décor complexent : ici on retourne au théâtre, la parole est au cœur du film, rien d'autre n'a d'importance.
Nous nageons en plein lyrisme : l'histoire peut se résumer en une phrase, la dispute nocturne d'un couple, et nous sommes face à de la voix, de la voix pure et simple, un cri comme dirait Maulpoix, celui de deux âmes qui s'aiment et se haïssent à la fois, et qui se crachent à la figure par intervalle successives tout leur amour et toute leur haine.
Les relations humaines ne se résument qu’à cet entrelacement perpétuel d’amour et de haine, à l’image des premières paroles de la musique de fin « There is a fine line between love and hate »

Plus qu'un film, nous sommes face à une pièce de théâtre d'une grande justesse où les acteurs deviennent des comédiens à la performance magistrale, et qui, captant toute notre attention, nous permettent d'accéder aux émotions qui tissent les relations humaines dans ce qu'elles ont de plus simples, et pourtant de plus complexes.
A propos du livre :
Malcolm and Marie
Malcolm and Marie
Par lea130298 le 7 Février 2021 Editer
lea130298
Deux prestations époustouflantes qui nous subjuguent et empêchent de lâcher l'écran des yeux
A propos du livre :
Malcolm and Marie
Malcolm and Marie
Par Snake le 22 Septembre 2020 Editer
Snake
Un film qui est sympa à regarder à plusieurs, on passe un bon moment, on rigole bien.
A propos du livre :
Assassination Nation
Assassination Nation
Par Iliade le 29 Décembre 2018 Editer
Iliade
Je n'ai pas très bien compris l'intérêt du film. En soi, il tient bien la route surtout si l'on conserve le côté humouristique-marvel comme angle de vue.
D'une certaine manière, il dénonce les travers de notre monde actuel basé davantage sur le virtuel que sur le réel. Il témoigne de l'hypocrisie des citoyens à émettre très rapidement des jugements faussés sur les autres sur base de données privées extraites de tout contexte... jusqu'à ce que leur tour vienne et que les sourires s'effacent. Bref, le serpent qui se mord la queue. Le sujet a déjà été traité sous des angles plus véridiques ou drammatiques. Je conseillerai dès lors ce film surtout pour son côté détaché-déjanté, ce qui est assez original de la part du réalisateur. Comment percuter davantage les citoyens sur un sujet aussi sensible que la protection de données: mettre 4 nanas super canons avec des flingues, une ville qui part en vrille et le cocktail est explosif!
A propos du livre :
Assassination Nation
Assassination Nation
Par sylvains7 le 18 Juin 2015 Editer
sylvains7
On ne compte plus les films abordant les réunions de famille qui tournent au vinaigre. Certains sont réussis. D'autres non. Celui-ci fait partie de la deuxième catégorie, sans doute par son gros manque d'originalité.
A propos du livre :
Another Happy Day
Another Happy Day
Par Melolula le 31 Juillet 2014 Editer
Melolula
Je suis allée voir ce film avec ma copine et une amie, on se disait qu'on allait passer un bon moment devant cette COMEDIE (car c'était bien présenté comme une comédie) à l'humour noir, dépeignant cyniquement les relations de famille. Sauf que nos sourires impatients à l'idée de rire devant des bonnes vannes bien senties se sont peu à peu affaissés pour devenir des rictus crispés, tellement nous étions mal à l'aise devant ce film. Il n'est qu'une succession de malheurs, beaucoup trop nombreux pour être réalistes, mais en même temps beaucoup trop crédibles pour en rire... Entre les viols, les coups, Alzheimer, les TOC, la drogue, la scarification, les divorces, les tromperies, les méchancetés assenées à la gueule des uns des autres, l'ignorance... Impossible de ne pas se retrouver complètement déprimé devant ce film, impossible de ne pas penser à quelqu'un de sa famille. Résultat à la sortie : nous étions toutes les trois extrêmement mal (et pas les seules dans la salle) et au bord des larmes. "Pour le meilleur et pour le pire..." dit la description... surtout pour le pire, en fait !
A propos du livre :
Another Happy Day
Another Happy Day

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