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J'ai aussi beaucoup apprécié le choix du réalisateur d'utiliser les effets spéciaux et les cadrage de l'époque.
Un gros bravo à l'actrice qui joue Pearl qui nous offre une prestation à couper le souffle.
Pearl
Pearl vit avec ses parents, dont son pére infirme, dans une ferme. Nous sommes en 1918 et son mari Howard est parti en guerre. Elle, rêve de quitter la ferme et devenir star du cinéma ou de la danse...
Ti West va ainsi nous prendre à contre pieds tout en conservant son style fait d'une histoire simple, dans laquelle surgiront quelques moments d'horreur pur. mais d'horreur bien humaine. Alors certes, on peut parfois trouver le temps long mais le résultat, durant 1h38, et adoptant un style tout à l'ancienne, le résultat profite du style tout particulier de West, jamais bourrin, préférant laisser ses personnages et son histoire se raconter, pour offrir ici un préquel franchement réussit, et pas loin d'être meilleur que le film original !
Pearl
X
Pearl
Cabin Fever 2
Un étranger solitaire et taciturne débarque dans une petite ville perdue au milieu de nulle part... Il y rencontre des grandes-gueules cherchant les ennuis et qui viendront le provoquer... c'est alors le début d'une inexorable montée de violence. « In a valley of violence » est un western contemporain, mais qui se veut extrêmement classique dans son scénario, jouant même à fond la carte du cliché. On se retrouve ici avec une histoire à échelle humaine où les personnages sont caricaturaux mais bien écrit, les paysages et décors peu nombreux beaux et où la bande originale est de qualité avec un thème principal marquant. Un vrai western spaghetti quoi ! Personnellement, j'ai passé un super moment devant ce film qui ne cherche pas à révolutionner le genre mais qui est porté par un très bon casting. Mention spécial à John Travolta dont l'interprétation et le personnage sont vraiment réussis.
In a Valley of Violence
Un étranger solitaire et taciturne débarque dans une petite ville perdue au milieu de nulle part... Il y rencontre des grandes-gueules cherchant les ennuis et qui viendront le provoquer... c'est alors le début d'une inexorable montée de violence. « In a valley of violence » est un western contemporain, mais qui se veut extrêmement classique dans son scénario, jouant même à fond la carte du cliché. On se retrouve ici avec une histoire à échelle humaine où les personnages sont caricaturaux mais bien écrit, les paysages et décors peu nombreux beaux et où la bande originale est de qualité avec un thème principal marquant. Un vrai western spaghetti quoi !
Personnellement, j'ai passé un super moment devant ce film qui ne cherche pas à révolutionner le genre mais qui est porté par un très bon casting. Mention spécial à John Travolta dont l'interprétation et le personnage sont vraiment réussis.
In a Valley of Violence
Je m'attendais à mieux, ici c'est du vu et revu, en étofant le scenario on aurait pu mieux faire,
The Innkeepers
The Innkeepers
L’exercice de réalisation est réussi et l’on se retrouve plongé dans cette décennie. Dur de croire que le film a été réalisé en 2010 tant Ti West a porté un souci du détail jusque dans le grain de l’image et dans les titre et générique du film. Les décors eux-mêmes sont représentatifs d’une époque aujourd’hui révolue mais qui continue à en faire rêver certains. Adieu voitures derniers cris à la jante éclatante, téléphones portables, MP3, habits à moitié absents pour les filles. Place ici au bon vieux walkman, aux jeans presque pattes d’éléphant, à la vieille voiture cabossée ainsi qu’aux téléphones publics. Tout est là pour nous emmener dans les années 80.
Si l’esthétique du film est parfaitement aboutie, il n’en est pas de même du scénario. Ti West, dans sa quête de l’hommage, a voulu reprendre les ficelles des films d’ambiance de l’époque en prenant pour cela le temps de poser l’histoire et de faire monter la pression jusqu’à offrir un final horrifique. Sauf que la sauce ne monte pas et que le résultat est plus que plat. On reprend le bon vieux thème de la baby-sitter qui doit se rendre dans une maison un peu éloignée de la ville afin de garder, non pas un enfant, mais une vieille femme. Changement étrange, mais qui pourrait apporter justement un peu de fraîcheur. Si cela avait été exploité mieux que cela. Le problème, c’est que la mise en place est bien trop longue. Malgré une présentation du début sympathique, l’arrivée dans la maison sonne le début d’un long calvaire pour le spectateur en mal de frissons. Alors que l’on s’attend justement à ce qu’il se passe quelque chose dans cette maison, que l’on joue avec nos nerfs, on ne fait que suivre l’héroïne dans son exploration de la maison. Même si la photographie du film joue sur un clair-obscur, afin de donner une impression d’oppression, on n’est guère touché et on suit les pas de cette jeune fille qui attend sa pizza. En dépit d’une scène dans cette très longue séquence, qui prédit un tournant prochain dans le film, l’ennui s’empare rapidement de nous tellement il ne se passe rien, pas même un petit sursaut. Le dernier quart d’heure tente de changer la donne, avec une partie un peu plus dynamique. On retrouve l’image de l’héroïne combattive, mais la peur n’est toujours pas là. Seule la dernière scène présente une petite surprise, mais c’est tout.
The House of The Devil nous promettait rien que par son titre une histoire intéressante, terrifiante. Le film échoue au final dans sa tentative de faire peur, étant bien loin d’un Rosemary’s Baby. On retiendra cependant, à défaut du scénario, l’intérêt porté à l’esthétisme années 80 qui nous renvoie dans le passé.
The House of the Devil
Pearl