Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Cinéphile,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Nos publicités sont spécifiquement choisies pour être en harmonie avec notre contenu, centré sur le cinéma. Elles sont non intrusives et peuvent vous connecter avec des opportunités pertinentes et passionnantes dans le monde du cinéma. En bloquant ces publicités, vous limitez non seulement une source de revenus essentielle pour nous, mais vous risquez également de manquer de précieuses informations de l'industrie cinématographique.

Pour que vous puissiez continuer à profiter de nos articles, revues et nouveautés du monde du cinéma, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités spécifiquement pour notre site.

Une fois que vous avez désactivé votre bloqueur de publicités, veuillez cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page et poursuivre votre exploration de l'univers cinématographique.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe CineNode

Films
59 570
Membres
42 402

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de Cinenode

Au nom du peuple italien

Réalisateur

Thèmes

Comédie


Description ajoutée par Lupa 2013-12-26T19:41:31+01:00

Synopsis

Le juge Bonifazi est un honnête magistrat ayant une conception très personnelle de la justice ; il lutte contre tout ce qui pervertit la société : la corruption et la spéculation. En enquêtant sur la mort d’une jeune fille Silvana Lazzarini, il est amené à interroger Santenicito, un riche industriel corrompu qui semble lié à cette disparition…

Afficher en entier

Classement en cinéthèque - 5 spectateurs


Ajoutez votre commentaire

Ajoutez votre commentaire

Commentaires récents

Commentaire ajouté par gogotte88 2017-03-25T20:51:20+01:00
Argent

Une comédie qui porte à la réflexion. Je l'ai vu en vostfr (oui car la VO est en italien), et j'ai aimé.

Lorsqu'il y a des scènes qui nous font rires, il y a toujours quelque chose de grave qui vient trancher cette légèreté. Par exemple, au commencement du film, Bonifazi pêche. Il rejette un poisson mort dans l'eau. Une mouette vient la manger et ramasse ensuite bêtement sur le sol. C'est drôle (en vrai moi j'ai pas trouvé ça drôle sur le coup là, mais c'est l'idée). Seulement, nous avons ensuite un gros plan sur l'animal agonisant. Et le plan dure une dizaine de secondes. C'est moins drôle, ça met mal à l'aise.

Dès le début, le ton est donné avec l'effondrement d'une statue de femme portant une balance dans le tribunal de justice. Voici ce qu'il se passe tout au long du film : Spoiler(cliquez pour révéler)Bonifazi va en fait essayer de coincer Santenicito, qui au départ nie complétement connaître cette fille. Si l'on peut dire qu'un homme ment comme il respire, Santenicito est cet homme. Il ment de manière tout à fait naturel, sans aucun remord. Il n'est vraiment rien d'autre qu'un industriel qui se fait de l'argent sur le dos des pauvres, qui considère le peuple italien d'un œil méprisant et détruit l'écosystème sans une once de culpabilité. Petit à petit, Bonifazi va trouver de plus en plus d'indices qui permettraient d'inculper Santenicito, cet homme mauvais et pourri. En effet, Santenicito avoue, au fur-et-à-mesure, que Silvana Lazzarini était en fait une prostituée qu'il connaissait qui était là lorsqu'il proposait des contrats avec des professionnels, pour inciter les gens à signer. Et puis ensuite, il avoue qu'il devait aller la voir... Maintenant voici la fin : Spoiler(cliquez pour révéler)près du but, Bonifazi découvre un cahier, une sorte d'agenda que tenait l’assassinée. Et là, stupeur : ce n'était qu'une femme seule et désespérée qui devait de l'argent à ses parents, qui pleine de honte se prostituait, et qui finit par se suicider. L'homme que Bonifazi a tant et tant poursuivi est innocent. Ensuite, il voit tout le peuple italien, miteux, comme tout au long du film, courir dans les rue parce qu'un match de football a été gagné contre l'Angleterre. Dans les rues, une mascarade, une femme voit sa voiture se faire brûler par des inconscients, elle est en pleure, personne n'en a que faire. C'est la débandade, et surtout, ce n'est pas le peuple que Bonifazi veut protéger. Santenicito avait raison, il n'en vaut pas la peine. Une justice pour elle tel peuple ? Bonifazi renonce à la justice, et jette le journal, la preuve de l'innocence de l'entrepreneur, dans les flammes de la voiture massacrée. La justice n'est plus. Et pourtant, vous voyez, l'entrepreneur ne vas plus se faire de l'argent sur le dos des pauvres, et une femme victime de la société qui l'a menée au suicide va être vengée. Et pourtant cela part d'un geste d'abandon, de désespoir, un geste qui renonce à la justice, ce n'est pas une bonne chose... Enfin vous voyez le genre. Bref, un film intéressant qui porte à la réflexion.

Ah oui ! J'allais oublier : j'ai 16 ans et lorsque j'ai vu la date de sortie du film, 1971, j'ai eu un peu peur, au niveau de la qualité de l'image, et je me suis demandée s'ils utilisaient déjà les couleurs, je pensais que les acteurs exagéreraient, que la gestuelle serait vieillotte... Mais non on en fait, ça va. La couleur existait déjà, la qualité image était très correcte, et les acteurs étaient normaux. Désolé si c'était évident, ne vous offusquez pas ! Je n'ai pas une grande culture de l'image et du cinéma, et 1971, je n'ai pas vraiment connu alors...

Sur ce, je vous souhaite de passer une bonne journée, ou une bonne soirée, à moins que ce soit une bonne nuit, je ne sais pas !

Afficher en entier

Activité récente

Les chiffres

spectateurs 5
Commentaires 1
répliques 0
Evaluations 1
Note globale 6 / 10

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de Cinenode