Répliques

- Comment puis-je annoncer à mes hommes qu’au lieu de leur offrir la liberté, je leur offre la mort ?ne vous avisez pas de faiblir à cette parole, je serais là pour vous là rappeler. Manquez-y et aucune légion Romaine, aucune armée papale, Dieu lui-même ne pourra vous protéger.

- Pour qui te bats-tu ?

– Je me bats pour une cause qui dépasse les Romains et dépasse ton entendement.

–Ah !...Tu viens implorer une trêve. Tu devrais être à genoux.

–Je viens voir ton visage, afin de pouvoir te repérer sur le champ de bataille. Tu devrais également prendre le temps de me regarder Saxon. Regarde bien ce visage ce sera l’ultime chose qu’il te sera donné de voir sur cette terre.

– Ah ! Enfin un homme qui en vaut la peine !

- Lorsque mon maître siégera avec vos chevaliers il prendra place le dernier et il devra présider la table.

– Ton maître pourra poser son cul où bon lui semble.

- Si je ne vous ramène pas ainsi que votre fils, mes hommes ne quitteront jamais cette terre. Alors vous me suivrez même si je dois vous attacher à mon cheval et vous traîner moi-même jusqu’au mur d’Hadrien. Monseigneur !

Quant aux chevaliers qui donnèrent leur vie, leur mort ne fut source ni de chagrin, ni de tristesse; Car ils vivent pour l'éternité. Leur nom et leurs exploits passerons de pères en fils, de mères en filles à travers les légendes du roi Arthur et de ses chevaliers.

"Il y a pire que la mort, il y a la perte de l’espoir."

- Tu ne connais pas les Romains ? Ils ne se grattent pas l’cul sans en faire une cérémonie.

– Pourquoi tu ne le tuerais pas ? Tu te congédierais aussitôt après.

– Je ne tue pas pour le plaisir, contrairement à certains.

– Tu devrais essayer, tu y prendras goût tu verras.

"La liberté que nous cherchons n’est pas une contrée lointaine, elle est en nous."