Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Cinéphile,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Nos publicités sont spécifiquement choisies pour être en harmonie avec notre contenu, centré sur le cinéma. Elles sont non intrusives et peuvent vous connecter avec des opportunités pertinentes et passionnantes dans le monde du cinéma. En bloquant ces publicités, vous limitez non seulement une source de revenus essentielle pour nous, mais vous risquez également de manquer de précieuses informations de l'industrie cinématographique.

Pour que vous puissiez continuer à profiter de nos articles, revues et nouveautés du monde du cinéma, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités spécifiquement pour notre site.

Une fois que vous avez désactivé votre bloqueur de publicités, veuillez cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page et poursuivre votre exploration de l'univers cinématographique.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe CineNode

Films
59 572
Membres
42 422

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de Cinenode

Ajouter une réplique


Liste des répliques

Réplique ajoutée par ninegar 2015-08-12T20:35:13+02:00

« Mon cœur est, et sera toujours, à vous »

Afficher en entier
Réplique ajoutée par Vacaresse 2024-02-17T11:38:05+01:00

- To love is to burn, to be on fire like Juliet or Guinevere or Eloise [...]

- I think that may be taking your romantic sensibilities a litte far

Afficher en entier
Réplique ajoutée par ninegar 2014-08-06T16:15:56+02:00

- Voulez-vous être assez bonne pour lui dire que la cure de Delaford, qui vient d'être vacante, ainsi que me l'apprend une lettre reçue ce matin, est à sa disposition s'il veut l'accepter ; et, en raison de la fâcheuse position où il se trouve on ne peut guère douter de sa réponse. Je voudrais simplement qu'elle fût plus importante : c'est un rectorat, mais petit ; le dernier titulaire, je crois, n'en retirait pas plus de deux cents livres par an et, bien qu'il soit certainement susceptible d'amélioration, je crains que le revenu ne soit pas assez suffisant pour lui assurer une existence vraiment convenable. Tel qu'il est, cependant, j'aurais grand plaisir à présenter Mr. Ferrars à ce poste. Je vous prie de l'en assurer.

Afficher en entier
Réplique ajoutée par ninegar 2014-07-29T10:38:42+02:00

Je me suis souvent surprise moi-même à faire ce genre d'erreur, dit Elinor, à me méprendre sur quelque aspect d'un caractère; on s'imagine que les gens sont plus gais ou plus graves, plus ingénieux, plus stupides qu'ils ne le sont en réalité, et il est difficile de dire comment et en quoi l'erreur a pris naissance. Parfois, on se fonde sur ce qu'ils disent eux-même et, plus fréquemment, sur ce qu'en disent les autres, sans se donner à soi-même le loisir de réfléchir et de juger.

Afficher en entier
Réplique ajoutée par ninegar 2014-07-29T10:36:51+02:00

- Il ne faut pas chercher trop loin, Marianne. Rappelez-vous ; je ne connais rien au pittoresque et je vous choquerai par mon ignorance et mon manque de goût si j'en viens au détail. Je dirai des collines qu'elles sont escarpées alors qu'il faudrait les qualifier d'imposantes ; du relief, qu'il est étrange et bizarre tandis que vous le qualifierez de sauvage et de romantique ; des lointains qu'ils sont hors de vue au lieu d'être fondus dans une molle brume. Il faut vous contenter de l'admiration que je puis honnêtement vous offrir. Je trouve ce pays tout à fait à mon goût. [...] Je n'ai pas l'âme d'un peintre.

- J'ai peur que ce ne soit que trop vrai, dit Marianne ; mais pourquoi vous en moquez vous ?

- Je soupçonne, dit Elinor, que, pour éviter un genre d'affectation, Edward tombe ici dans un autre. Parce qu'il est persuadé que beaucoup de gens affichent plus d'admiration pour les beautés de la nature qu'ils n'en ressentent réellement, et que leur prétention l'irrite, il affecte une plus grande indifférence et moins de perspicacité à les découvrir que ce n'est réellement le cas. Il est délicat et veut avoir son genre d'affectation personnel.

Afficher en entier
Réplique ajoutée par ninegar 2014-07-29T10:35:44+02:00

— Quatre mois ! et cependant vous l’aimiez !

— Oui, mais je n’aime pas que lui, et, le bonheur des autres m’étant cher, j’étais heureuse de leur épargner le spectacle de mes souffrances. Maintenant, je ne veux pas que vous vous inquiétiez à cause de moi, car je vous assure que je ne souffre plus vraiment moi-même. J’ai, pour me soutenir, beaucoup de choses. J’ai conscience de n’avoir provoqué ma déception par aucune imprudence et je l’ai supportée de mon mieux sans l’augmenter. Je n’impute à Edward aucune faute véritable. Je voudrais qu’il fût très heureux. Et je suis sûre qu’il fera toujours son devoir, que, bien qu’il puisse ressentir en ce moment quelque regret, je pense qu’à la fin cela pourra s’arranger. Lucy ne manque pas de bon sens et, sur ce fondement, on peut bâtir beaucoup de bien. Et, après tout, Marianne, quand on réfléchit à ce qu’il y a d’admirable dans l’idée d’un attachement constant et unique, et quand on imagine tout ce qui est inclus dans cette idée que le bonheur d’une personne dépend entièrement d’une autre, n’est-il pas concevable, n’est-il pas possible qu’il en soit ainsi ? Edward épousera Lucy et il épousera une personne supérieure physiquement et moralement à la moitié de son sexe ; et le temps et l’habitude l’amèneront à oublier qu’il ait jamais pensé à une autre qui valait mieux qu’elle.

Afficher en entier

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de Cinenode