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Liste des répliques
"Quand on prend un oiseau pour écrire, ça s'appelle twitter"
Afficher en entierD'accord, d'accord.
Je comprends ce qu'il se passe.
Être face à la perfection c'est si rare.
Tu te sens toute drôle, toute bizarre.
C'est adorable.
Les humains ne changent pas, ils aiment les stars.
Ouvre les yeux, c'est parti.
Tu peux te pincer, oui c'est bien moi, Mauï.
Un vrai demi-dieu, ses cheveux, son corps.
Oui c'est moi le plus beau, c'est moi le plus fort.
Comment vous le dire ?
C'est pour vous les Hommes.
Que j'ai créé l'univers.
C'est naturel, c'est pour vous, vous les hommes.
Je suis un demi-dieu très ordinaire.
Qui de ses pouces a soulevé les cieux ?
Quand vous dansiez le Hula, ce dieu.
Quand il a fait froid.
Qui est allé vous chercher du feu ?
C'est l'un de nous deux.
Oh, et le Soleil au lasso.
Pour les Hommes.
Les jours sont plus longs et plus beaux.
Et j'ai attiré la brise.
Pour les Hommes.
Vous rendre heureux c'est ma devise.
Comment vous le dire ? C'était naturel.
De poser des îles sur l'océan.
Mais ce n'est rien de sensationnel.
Ha ! Je l'ai fait pour les Hommes, tout simplement.
Pour les Hommes, pour les Hommes.
Oui, je veux vous l'avouer.
Je suis vraiment un gros énergumène.
Je suis à l'origine de tous les phénomènes.
Les vagues, les fleurs, le vent.
Ça pour Maui, c'est qu'un jeux d'enfant.
J'ai tué une anguille, je l'ai enterrée.
Et maintenant voilà un cocotier.
Et la leçon, la morale de l'histoire ?
Respecte Maui, c'est pas la mère à boire.
Sous ma peau, moi, j'ai une très belle fresque.
Pour mes super exploits titanesques.
Et où que j'aille, moi je donne la cadence.
Pendant que le petit mini-moi il danse, danse, danse.
Je le voulais.
Je l'ai fait pour les Hommes.
Leur offrir un monde merveilleux.
Comment vous le dire ?
C'était pour les Hommes.
Mais il doit s'en aller le demi-dieu.
Après ce que j'ai fait pour les Hommes.
Ils peuvent bien m'offrir un bateau.
Cette fois je m'en vais, je m'en vais, loin des Hommes.
Mauï rêvait d'aller sur les flots.
Loin des Hommes.
Loin des Hommes.
Merci, tchao !
Afficher en entierLe bleu du ciel, n'est pas le bleu de la mer
Ce bleu que moi je préfère
Sans vraiment savoir pourquoi
J'aimerais, tant rester fidèle à ma terre
Oublier le vent éphémère
J'ai essayé tant de fois
J'ai beau dire je reste
Je ne partirai pas
Chacun de mes gestes
Chacun de mes pas
Me ramène sans cesse
Malgré les promesses
Vers ce bleu lumière
L'horizon ou la mer touche le ciel
Et m'appelle
Cache un trésor
Que tous ignorent
C'est le vent, doucement, qui se lève
Et me révèle
Le bleu de l'eau
Si je pars j'irai plus loin et toujours plus haut
Oh oh oh
Il faut aimer mon île et son histoire
Pour ceux qui veulent encore y croire
Oublier le temps qui passe
Il faut aimer mon île et son histoire
Et garder encore l'espoir
Un jour je trouverai ma place
Je peux les guider
Les rendre plus grands
Les accompagner
Je prendrai le temps
Et cette voix cachée
Pense tout autrement
Je ne comprends pas
Le soleil vient danser sur la mer
Eternelle
Mais tous ignorent
Ces reflets d'or
Elle m'attend sous un tapis de lumière
La mer m'appelle
Moi je veux voir
Derrière les nuages
De nouveaux rivages
L'horizon ou la mer touche le ciel
Et m'appelle
Cache un trésor
Que tous ignorent
C'est le vent, doucement, qui se lève
Et me révèle
J'ai le droit
D'aller là-bas
Afficher en entierOn mesure la distance des étoiles, on ne fait pas coucou à la Grande Ourse.
Afficher en entierSi on te reproche quoi que ce soit, tu dis que c'est le cochon.
Afficher en entierVaiana : Y a t-il quelque chose que tu veux me dire?
Grand-mère : Y a t-il quelque chose que tu veux entendre ?
Afficher en entier- Mauï, métamorphe demi-Dieu des vents et de la mer, je suis Vaïana de Mau...
- Idole des hommes.
- Quoi ?
- En fait c'est : Mauï, métamorphe, demi-Dieu des vents et de la mer, idole des hommes. Je t'ai interrompue, désolé, recommence. Idole des hommes. A toi !
Afficher en entierIl s’agit de savoir s’orienter, princesse, pas uniquement de naviguer et de faire des nœuds. Il faut imaginer le voyage dans son esprit, deviner où l’on est en sachant d’où l’on vient.
Afficher en entierOù que tu ailles, où que tu sois, je serais toujours près de toi. Toujours.
Afficher en entier- Quand je mourrais, je me réincarnerais en l’une d’elle. Je n’ai pas choisi ce tatouage pour rien.
- Pourquoi as-tu ce comportement étrange ?
- Parce qu’en tant que folle du village, c’est mon rôle, trésor.
- S’il y a quelque chose que tu veux me dire, dis-le moi ! Y a-t-il une chose que tu aimerais me dire ?
- Y a-t-il une chose que tu aimerais entendre ?
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