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Liste des répliques
Il aimait la mort, elle aimait la vie, il vivait pour elle, et elle est morte pour lui.
Afficher en entierÔ Roméo ! Roméo ! Pourquoi es-tu Roméo ? Renie ton père et abdique ton nom ; ou, si tu ne le veux pas, jure de m’aimer, et je ne serai plus une Capulet.
Afficher en entierJuliette : Vous êtes trop dur pour votre main, qui n'a fait que montrer dévotion courtoise. Car les saintes ont des mains, que de ces mains tout pèlerins est en droit de toucher. Paumes contre paumes, n'est-ce pas là le pieux baiser des pèlerins ?
Roméo : Les saintes n'ont-elles pas de lèvres, tout comme les pèlerins ?
Afficher en entierSi l’amour est dur avec toi, sois dur avec lui ; perce l’amour qui te perce et possède le.
Afficher en entierMon cœur jusqu’à présent a-il-aimé ?
Jurez que non, mes yeux,
Car jamais avant cette nuit je n’avais vu la vraie beauté.
Afficher en entierIci je veux fixer mon éternel demeure, et soustraire au joug d’adverses étoiles cette chaire lasse du monde. Mes yeux un dernier regard, Mes bras un dernier baiser, vos lèvres portes de l’âme humaine scellées d’un baiser légitime votre éternel pacte avec le sépulcre.
Afficher en entierDeux anciennes maisons réputées d’égale dignité dans la belle Verone, où se place notre scène, pour d’anciennes querelles de nouveau se mutilent. Le sang civil vient souiller le poing des citoyens. Or dans le sein fatal de ces deux ennemis, deux enfants amoureux sous des astres défavorables, s’éveillent à la vie. Leur malheureux effondrement dans le tombeau ensevelira la haine que leurs pères l’un pour l’autre conçoivent. Les terribles péripéties de leur funestes amours et l’effrayante assiduité de leur parents dans une querelle que rien hormis la mort de leur progéniture n’aura le pouvoir d’épuiser. Tel sera dans les deux prochaines heures, le spectacle de notre scène.
Afficher en entierAinsi... Sur un baiser... Je meurs...
Afficher en entierViens douce nuit,
Viens vite amoureuse au front noir,
Donne moi mon Roméo.
Et quand je mourrai que tu le prennes et l’éclates en petites étoiles,
Dès lors, il embellira tant le visage du ciel que tout l’univers sera amoureux de la nuit,
Et que nul ne pourra plus adorer l’aveuglant soleil.
Afficher en entierViens douce nuit,
Viens vite amoureuse au front noir,
Donne moi mon Roméo.
Et quand je mourrai que tu le prennes et l’éclates en petites étoiles,
Dès lors, il embellira tant le visage du ciel que tout l’univers sera amoureux de la nuit,
Et que nul ne pourra plus adorer l’aveuglant soleil.
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