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On commence par des plans simples: Guillaume Canet à cheval, la naissance de Jappeloup... Pleins de superbes images qui font rêver, qui sublime le cheval et la nature.
Il y a l'évolution de Pierre Durand et de l'autre côté Jappeloup. Les personnage secondaires ont tous un rôle importants. Il quitte le monde du cheval pour vivre différement, mais comme dirait Jérôme Garcin la fièvre du cheval est une maladie, c'est une passion dévorante et jamais elle ne nous quitte vraiment. C'est vrai que le film n'est pas centré sur Jappeloup, mais c'est aussi ce qui fait son point fort parce que derrière ce cheval, ces grandes victoires, il y a eu de nombreux doutes, il y a des hommes et des femmes, une famille,... Le film n'a pas été tourné au ridicule, en le rendant cucul au possible comme certains. Ce n'est pas un cheval qui change du jour au lendemain, ni un homme qui change totalement de vie comme ça en claquant des doigts. C'est beau et tragique, tendre et parfois dur. C'est un chemin, c'est du travail, des déceptions, des remises en questions mais aussi des réussites.
On vibre au rythme des foulés du cheval en concours, on a le coeur qui tambourine dans la poitrine, on pleure et on rit. Pour moi ce film a été plus qu'à la hauteur. Ce n'est pas seulement un film pour les amoureux du cheval, c'est aussi des leçons sur la vie.
Seul bémol, l'histoire n'est pas vraiment fidèle à celle de Jappeloup et Pierre Durand, mais qu'importe, elle est belle quand même.
Après avoir vu ce film au cinéma, je ne sais toujours pas quoi en penser. Je pensais tomber sur une comédie sympathique sur l'homosexualité, et voilà que je découvre un film autobiographique qui, bien que drôle, ne l'est pas autant que je le pensais.
Finalement, mon avis est complètement mitigé. Je saluerais juste la performance de Guillaume Gallienne, vraiment bluffante, et le choix des musiques du film.
Ce n'est pas parce qu'on met Foresti et Debbouze dans un film que c'est bon.
En l'occurrence, ça ne l'est pas.
Ils gesticulent tous les deux en tous sens sur une histoire qui n'en a pas, de sens.
C'est pire que de la comédie franchouillarde.
Il y a l'évolution de Pierre Durand et de l'autre côté Jappeloup. Les personnage secondaires ont tous un rôle importants. Il quitte le monde du cheval pour vivre différement, mais comme dirait Jérôme Garcin la fièvre du cheval est une maladie, c'est une passion dévorante et jamais elle ne nous quitte vraiment. C'est vrai que le film n'est pas centré sur Jappeloup, mais c'est aussi ce qui fait son point fort parce que derrière ce cheval, ces grandes victoires, il y a eu de nombreux doutes, il y a des hommes et des femmes, une famille,... Le film n'a pas été tourné au ridicule, en le rendant cucul au possible comme certains. Ce n'est pas un cheval qui change du jour au lendemain, ni un homme qui change totalement de vie comme ça en claquant des doigts. C'est beau et tragique, tendre et parfois dur. C'est un chemin, c'est du travail, des déceptions, des remises en questions mais aussi des réussites.
On vibre au rythme des foulés du cheval en concours, on a le coeur qui tambourine dans la poitrine, on pleure et on rit. Pour moi ce film a été plus qu'à la hauteur. Ce n'est pas seulement un film pour les amoureux du cheval, c'est aussi des leçons sur la vie.
Seul bémol, l'histoire n'est pas vraiment fidèle à celle de Jappeloup et Pierre Durand, mais qu'importe, elle est belle quand même.