Cher Cinéphile,
Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.
Nos publicités sont spécifiquement choisies pour être en harmonie avec notre contenu, centré sur le cinéma. Elles sont non intrusives et peuvent vous connecter avec des opportunités pertinentes et passionnantes dans le monde du cinéma. En bloquant ces publicités, vous limitez non seulement une source de revenus essentielle pour nous, mais vous risquez également de manquer de précieuses informations de l'industrie cinématographique.
Pour que vous puissiez continuer à profiter de nos articles, revues et nouveautés du monde du cinéma, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités spécifiquement pour notre site.
Une fois que vous avez désactivé votre bloqueur de publicités, veuillez cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page et poursuivre votre exploration de l'univers cinématographique.
Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.
Cordialement,
L'équipe CineNode
The American
The American
Life
Je m'attendais à un film qui retracerait la vie de James Dean, son évolution et son enfance, ce qui a fait de lui la légende qu'il est aujourd'hui, mais rien de tout ça n'apparaît : nous sommes face à un gamin prétentieux et égoïste (était-ce le cas ? Je ne connais pas James Dean) et un photographe obnubilé par son souhait de le photographier. Il n'y a pas de part humaine, on voit à peine comment Dennis Stock a commencé à apprécier ce garçon et comment il lui a trouvé quelque chose.
Chose étonnante dans un film comme celui qui (je veux dire, qui soit autant tourné vers la photographie) : il faut attendre le générique de fin pour voir quelques belles photos de James Dean par Dennis Stock. Et au final, on se demanderait presque si ce n'est pas plutôt une biographie du photographe que de l'acteur...
C'est néanmoins un film gentillet, malgré la petite déception car ce n'était pas ce que j'attendais du film. Les images sont tout de même très belles, les musiques bien choisies : c'est agréable à regarder, du moment qu'on attend pas un chef d’œuvre.
Life
Le film nous dépeint un Dean insupportable (en plus de ressembler à tout le monde sauf au vrai), qui ne voit pas plus loin que le bout de son nez. Pour m’intéresser au personnage depuis longtemps déjà, je n'ai pas retrouvé le James attachant dans la tourmente qu'a été sa vie, seulement le coté lunatique et pathétique du personnage. Ce qu'il était, c'est vrai, mais il manque un approfondissement de cette personnalité hors norme. Dean a été l'un des plus grands de sa génération, n'est-il pas un peu pompeux de le représenter uniquement du coté sombre de lui-même ? Les gens l'ont aimé pour son charisme, ses états d'âme d'homme psychologiquement fragile. C'est, pour moi, loin d'être un hommage que de le représenter tel que dans ce film, où il ne représente rien d'autre qu'un gamin gâté et pleurnichard. Assez triste que bon nombre de personnes soient amenées à connaitre cet acteur dans cette forme si superficielle.
Life
"The American" n'est pas un film d'action comme les autres, et c'est sans doute pour cela qu'il m'a autant plus.
Ce qui le caractérise est cette perpétuelle attente, cette impression que quelque chose de grand est imminent. Les menaces potentielles s'accumulent, dans un rythme lent et langoureux, le tout avec de très belles prises de vues et un jeu d'acteur de très bonne qualité.
J'ai beaucoup apprécié le contraste entre les personnages, comme Jack et le Père. Ces nuances donnent une ambiance travaillée, qui nous permet de sentir la dichotomie entre la "dolce vita" de la ville et la violence à venir.
Je rajouterais juste que la fin est parfaite, dépassant mes attentes. "The American" est donc une très bonne révélation, que je vous conseillerais avec plaisir ! Ne vous attendez cependant pas à un film d'action ordinaire en le regardant !
The American
Un Homme très recherché
L'histoire d'une relation entre un photographe, Dennis Stock, et un acteur, James Dean est bien mis en scène par Anton Corbjn. En effet, le spectateur est plongé à l'époque de la montée de l'acteur James Dean. Mais il lui manque quelque chose, surtout qu'il a des convictions très personnelles, qui font qu'il n'est pas toujours apprécie par tous. Malgré tout, sa rencontre avec un photographe souhaitant évoluer dans les hautes sphères et être reconnu comme artiste, va tout faire basculé. Effectivement, ce dernier va découvrir en James Dean un talant et veut le mettre en avant avant tout le monde. Ainsi, il va suivre James Dean entre sa vie à Hollywood (Los Angeles), sa vie à New-York et sa vie de famille et d’enfance dans la campagne américaine. Dennis va réussir à se lier d'amitié avec Jimmy et va faire de lui un magnifique sujet d'art photo pour le magasine LIFE. La mort de James Dean, quelques mois plus tard, va figer cette relation, qui aurait pu encore évoluer par la suite. Mais de cette relation Dennis Stock est sorti du lot en tant que photographe et aura une magnifique carrière jusqu'en 2010.
James Dean joué par Dane DeHaan, est un acteur atypique. En effet, il a des principes qui font qu'il fait toujours ce qu'il veut. Il ne souhaite pas avoir de conditions pour faire quelques choses. Par exemple, en interview ou en entretien pour obtenir un rôle, il dira toujours ce qui pense, même si cela lui cause des tords. Mais derrière ce personnage atypie, l'on découvre lorsqu'il revient au lieu de son enfance, un homme a peine sortie de son enfance. Il joue encore comme un enfant et souhaite juste s'amuser, profiter de la vie sans penser à des responsabilités d'adulte. Sa mort tragique va laisser dans le monde du cinéma une trace ineffaçable. Un petit regret sur le jeux d'acteur de Dane DeHaan. Parfois, ce dernier sort beaucoup trop de son personnage avec ses mimiques propres à lui et parfois, il est totalement dedans. Cela rend la compréhension du film compliqué par moment.
Dennis Stock est un photographe n'ayant pas beaucoup de chance. En effet, il se retrouve dans la marine à seize ans, pour se marier à dix-sept ans. Il se sépare ensuite de sa femme alors qu'elle est enceinte. Il ne voit que rarement son fils, car il fait passer sa carrière de photographe avant le reste. Il a un but précis dans la vie : que son art soit reconnu, qu'il soit reconnu en tant qu'artiste. Ainsi, il veut trouvé quelque chose pour le faire finalement publié dans un grand magasine comme 'LIFE'. Il tombe alors sur un acteur qui veut lancé sa carrière. Dennis tente alors le tout pour le tout même en refusant d'autres sujets pour pouvoir suivre cet acteur. C'est un personnage qui n'aime pas être exposer, il a même du mal à poser avec Jimmy quand on lui demande. Il veut juste faire ce qu'il sait faire de mieux, c'est à dire la photographie. Ce sujet va finalement lancer sa arrière et il finira ses jours heureux en vivant pour son art. Une véritable performance pour Robert Pattinson. En effet, il représente totalement le photographe avec des mimiques que les photographes ont toujours. On a vraiment l'impression d'être avec ce personnage.
En général, un film, n'étant en aucun cas un biopic, reflétant bien la relation entre James Dean et Dennis Stock mettant ces deux artistes en lumière : l'un dans le cinéma et l'autre dans la photographie. Un film a voir pour tous les fans de photographie, qui rêvent de belles couvertures, et les fans de James Dean, retrouvant les traces de ce dernier au début de sa carrière.
>>http://fifty-shades-darker.blogspot.fr/2015/09/life.html
Life
L'histoire est celle de Jack, un tueur à gages habile et expérimenté. Il n'a aucune attaché sauf sa femme qu'il aime depuis longtemps. Quand une mission tourne mal et lui coûte la vie de la femme qu'il aime, il se fait la promesse que son prochain contrat sera le dernier. Cette ultime mission le conduit dans un pittoresque village italien niché dans de hautes collines. Mais pour Jack, chaque lieu peut se révéler un piège et chaque personne une menace. Toutefois, il prend goût aux confidences échangées autour d'un armagnac avec le prêtre du village, et se laisse entraîner dans une liaison avec une belle Italienne. Mais en baissant la garde, Jack prend peut-être des risques.
Jack est présenté comme un héro qui veut une retraite tranquillement pour pouvoir refaire sa vie loin de la vie qu'il menait à l'époque. Il semble avoir aucun défauts, sauf son attachement aux femmes. C'est son plus grand défaut. Il essaye néanmoins de ne pas s'attacher à toutes les femmes. De plus, son dernier contrat le mets en danger, mais aussi sa conquête en danger. En effet, son patron veut sa mort. Il engage une tueuse à gage pour le tuer, mais la situation va se retourner contre elle. Malgré cela, la fin est juste atroce.
La réalisation est très bien faite. Surtout que l'on a plusieurs langues: l'anglais et l'italien. L'histoire se passe en Italie. Nous avons des paysages juste magnifique à couper le souffle.
J'ai découvert le jeux d'acteur de George Clooney. Franchement c'est un bonne acteur. Je croyais que c'était sa "beauté" qu'il avait grimper dans la société, mais non. Il est vraiment génial.
En général, un bon film que je conseille à ceux qui aime les films d'espionnage. Malgré que celui-ci soit différent des autres. Le héro n'est pas en pleins milieux de sa carrière, mais en fin de carrière.
>>http://fifty-shades-darker.blogspot.fr/2015/06/the-american.html
The American
The American
=15/20
Un Homme très recherché
Le film est vraiment très bien travaillé, il y a rien a déplorer, les acteurs sont bons, l’esthétique est travaillé, la BO sympa (un des thème me semble bien pompé sur le parrain), le seul soucis : On se fait chier.
Pas un seul instant n'est prenant, on se moque presque de ce qui se passe. Il y a un faux rythme super désagréable, la fin est pas con, je m'y attendais pas mais encore une fois, a part un léger sentiment de surprise c'est le désintérêt total.
Un Homme très recherché
The American
The American
Malgré le fait que ce soit en noir et blanc, que tout ne soit pas explicitement dit, j’ai bien aimé ce film, je l’ai trouvé très sensible et réaliste.
Control