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Un tramway nommé désir
Un tramway nommé désir
A l'est d'Eden
Un tramway nommé désir
J'ai découvert le film grâce à LLCER Anglais en primière, et j'ai l'occasion de le revoir en entier avec sous-cité français et voix anglaise.
Un tramway nommé désir
A l'est d'Eden
La folie est un thème récurrent au cinéma. Mais Elia Kazan a transposé ce thème dans son film de manière grandiose par le biais d'un personnage intriguant et effrayant. Ce personnage c'est Blanche DuBois (Vivien Leigh), une ancienne professeure d'anglais, qui part habiter pendant un moment chez sa soeur, Stella (Kim Hunter) à la Nouvelle-Orléans. La mécanique du film se compose de la manière suivante : le film alterne les scènes calmes (les moments de joie, de complicité entre Blancheb et sa soeur...) et les scènes violentes dans les mots et les gestes (confrontations entre Blanche et Stanley, le mari de Stella joué par Marlon Brando, la déchéance mentale de Blanche qui tombe peu à peu dans la folie...). Pour exprimer cela, Elia Kazan utilise différentes techniques de mise en scène comme le clair-obscur, le fondu image ou d'autres jeux de lumière. La musique du film est également très bien choisie (elle est composée par Alex North) car le jazz colle très bien avec l'ambiance de la Nouvelle-Orléans et avec l'ambiance générale du film. J'ai voulu regarder ce film car je désirais m'intéresser aux classiques du cinéma et franchement je n'ai pas été déçu. Même si le noir et blanc me perturbait un peu au début, je suis très vite rentré dans le film et j'ai adoré l'ambiance théâtrale, le jeu des acteurs qui est incroyable (j'ai découvert Marlon Brando et quel comédien !). Pour conclure, c'est un film que je conseille à tous les cinéphiles et même aux curieux qui aimeraient découvrir le cinéma des années 50.
Un tramway nommé désir
Un tramway nommé désir
La fièvre dans le sang
La fièvre dans le sang
Un tramway nommé désir
A l'est d'Eden
Un tramway nommé désir
Le manichéisme, cette confrontation entre le bien et le mal est vraiment très, voire presque trop, présente, mais on ressent du coup beaucoup le tiraillement de Cal (ce qui met Aaron beaucoup trop en retrait aussi).
L’histoire est vraiment bien tournée, je n'ai pas lu le livre malheureusement j’aurais bien aimé pouvoir comparer les deux supports.
A l'est d'Eden
Un tramway nommé désir