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L'équipe CineNode
L'ambiance s'installe progressivement, ponctuée par la musique qui vous restera à l'esprit longtemps après le visionnage.
Car le film repose sur l'ambiance mais également sur son tueur mystérieux et charismatique qui arrive à créer l'effroi sans tomber dans le gore à outrance.
Le film bénéficie également d'autres idées de qualité comme le personnage du docteur Loomis qui nous permet de comprendre l'histoire du personnage ou encore l'ouverture du film et ce premier meurtre filmé du point de vue de Mickaël.
En conclusion, un classique de l'horreur à voir au moins une fois pour parfaire votre culture cinématographique.
Halloween : La Nuit des masques
La fin
Je suis contente d'avoir vu ce film, j'ai passé un bon moment.
Halloween : La Nuit des masques
The Thing
Ça fait longtemps que j'ai vu "Rio Bravo", mais la comparaison serait certainement intéressante.
Assaut
Halloween : La Nuit des masques
Christine
The Fog
Bon je dis pas que c'est un film marquant, au contraire, c'est pauvre quand on connait le reste de son oeuvre, mais c'est dans l'ensemble très bien foutu, intriguant, et le dénouement est assez génial.
Sachant que le gros de sa carrière est passé, les films comme The Ward sont des petits plus interessant pour une fin de carrière tranquille.
The Ward
C'est pas mal foutu, les scènes d'action sont très sympa et bien servi par une BO nerveuse a souhait, et les décors ainsi que les costumes sont fort bien.
Mais le scénario est tout ce qu'il y a de plus convenu, les personnages extrêmement pauvres
Le personnage de Statham par exemple, 80% de ses lignes de dialogues sont voué a pécho l'actrice principale. Qui d'ailleurs se montre, sans aucune raison et sans aucun but, réceptive a un moment donné.
Mais surtout, le personnage d'Ice Cube, ou "le riddick du pauvre". C'est tout ce qu'il est, un ersatz de Riddick dans l'excellent pitch black !
Je passerai sur cette sorte de faux clifhanger absolument dégueulasse, je serais vulgaire.
Ghosts Of Mars
Quelques trucs me déranges quand même, déja niveau effets spéciaux, la manière dont crame les vampires est assez ridicules, il y avait pas mieux que leur planter une fusée éclairante dans le cul?
Et j'ai pas compris cette... romance. Déja les deux personnages qu'elle implique sont assez mal travaillé, et puis surtout ça sort de nul part, on ressent jamais la naissance d'une quelquonque émotion.
Sinon il y a vraiment une ambiance sympa, la tentative de Carpenter de faire une sorte de western moderne est assez réussi.
Mais quand même, le scénario est terriblement cliché, et c'est blindé d'incohérence assez scandaleuses.
Vampires
Même si, il faut bien l'avouer, il y a d'énormes similitudes dans le scénario.
Et que dieu que ces effets numériques sont dégueulasses.
La fin du film suffit a le rendre aussi mythique que son grand frère.
Los Angeles 2013
Mais dans l'ensemble, c'est assez moyen, je me suis vite trouvé perdu dans les personnages, qui est marié avec qui, qui est mort, qui est parents de quel petit monstre..
Ensuite plusieurs choses sont sous exploités, comme la légère humanisation d'un des gosses, c'est assez dommage.
Et j'ai du mal a comprendre les réactions des personnages, le tout sonne assez faux.
Dans l'ensemble le film est intriguant, au début tout du moins, le blackout, les grossesses, mais au final quand tout se démêle je suis resté sur ma fin, c'est pas très bien amené.
Le Village des Damnés
Il a vraiment saisi l'essence de l'univers de l'écrivain, j'ai ressenti le même frisson devant le film qu'en lisant ses bouquins.
Jamais la frontière entre rêve et réalité n'aura été si habilement brouillé, la scène finale étant l'apogée.
L'antre de la folie
Carpenter renoue ici avec un scénario assez proche de celui de Starman, son film le moins personnel que j'avais pourtant trouvé complètement réussi.
Ici ça ne marche pas, ou très peu. Il y a quelques fulgurances dans la réalisation, mais rien de mirobolant a part ça.
L'histoire d'amour est fadasse, le personnage principal assez mal exploité, et les début de Big John dans les effets spéciaux numériques sont loupés.
L'antagoniste par contre est vraiment pas mal, Sam Neill est juste excellent dans ce rôle d'agent égoiste ambitieux et manipulateur, surtout mis en comparaison avec son patron interprété par l'également très bon Michael McKean, faible et sans autorité, ce qui donne lieu a une inversion des rapport de force assez bien foutu.
Les aventures d'un homme invisible
C'est donc une critique virulente de la société de consommation, cynique et décomplexée, qui contient son lot de scène plutôt mythique.
Je pense clairement a cette épique scène de baston, assez improbable mais terriblement efficace, drôle et bien foutu.
Invasion Los Angeles est un des incontournables de la filmo de Carpenter, en plus d'être engagé ça reste un film assez orienté action avec un héros plutôt bad ass qui joue du fusil a pompe.
Invasion Los Angeles