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Tous les films de Nicolas Philibert

Les élèves d'une école de théâtre décident de se retrouver dans les locaux de leur école pour imaginer ensemble un projet de spectacle dont le thème ou le prétexte est la ville de Strasbourg. Ils vont être confrontés à d'innombrables difficultés. Quelle histoire raconter ? Comment la structurer ? Comment faire du théâtre sans le support d'un texte, sans personnages préécrits ? Comment mettre en commun les différents éléments d'enquête que chacun a recueillis sur la ville ?

Dans une toute petite commune rurale d'Auvergne, l'école primaire est assurée par un unique instituteur, Georges Lopez, qui accueille dans sa classe une quinzaine d'enfants dont le niveau va de la maternelle au CM2. Le documentaire s'intéresse aux conditions d'enseignement et de vie dans ce cadre particulier, aux relations qui se tissent entre les élèves et leur professeur, ainsi qu'au rapport entre l'enseignant et les parents d'élèves. L'approche pédagogique de l'instituteur est mise en avant.

Une plongée au cœur de Radio France, à la découverte de ce qui échappe habituellement aux regards : les mystères et les coulisses d’un média dont la matière même, le son, demeure invisible.

Que se passe-t-il au musée du Louvre quand il est fermé au public ? "La ville Louvre, déclare Nicolas Philibert, n'est pas un film d'art, pas plus qu'un reportage de type sociologique sur des petits métiers. J'ai voulu raconter une histoire à partir d'un matériau vivant, transfigurer le réel pour faire naître des émotions ; j'ai filmé les gens du Louvre comme on filmerait un ballet."

Ils sont plus de trois millions, en France, à éprouver des difficultés d'audition. Les plus gravement atteints, les sourds profonds, n'entendent rien, pas un son. Ils disent ici, dans leur langage, de quoi est fait leur quotidien, comment ils vivent leur différence et quelles sont leurs relations avec le monde des bruyants. Un couple de jeunes mariés continue de danser après l'arrêt de la musique : le handicap peut être aussi la poursuite d'un rêve de bonheur. Un rockeur issu d'une famille de sourds exprime sa satisfaction. Un enfant dit combien il est difficile d'être le seul sourd dans une famille d'entendants. Des comédiens créent un spectacle dans le plus grand silence...

Chaque année, des dizaines de milliers de jeunes gens, filles et garçons, se lancent dans des études en soins infirmiers.Entre cours théoriques, exercices pratiques et stages sur le terrain, ils devront acquérir un grand nombre de connaissances, maîtriser de nombreux gestes techniques et se préparer à endosser de lourdes responsabilités.Ce film retrace les hauts et les bas d’un apprentissage qui va les confronter très tôt, souvent très jeunes, à la fragilité humaine, à la souffrance, aux fêlures des âmes et des corps. C’est pourquoi il nous parle de nous, de notre humanité.

La galerie de Zoologie du Museum d'histoire naturelle de Paris était fermée au public depuis un quart de siècle, laissant à l'abandon des centaines de milliers d'animaux naturalisés : mammifères, poissons, reptiles, insectes, oiseaux, batraciens, crustacés, mollusques...

Tourné au cours du chantier de rénovation de la galerie (de 1991 à 1994), le film raconte la résurrection de ses étranges pensionnaires.

Source : www.film-documentaire.fr

À deux heures de Paris, quelque part entre Blois et Chambord, la clinique psychiatrique de La Borde n'est pas une institution ordinaire. Ici, le premier des droits est celui de vagabonder. Pas de blouses blanches non plus. Rien qui distingue à priori les soignants des soignés.

À La Borde, soigner ce n'est pas seulement donner des médicaments, c'est prêter attention au moindre détail, prendre soin du quotidien et redonner son sens premier au mot "asile" : celui d'un abri contre le danger.

À travers ce film, il s'agira moins de décrire les rouages d'une institution que de rendre compte de l'esprit si particulier qui habite ce lieu, de cette attention extrême que chacun porte aux autres.

Au-delà de la vie à La Borde, des mille petits riens du quotidien, la colonne vertébrale de ce film est constituée par l'aventure théâtrale dans laquelle se lancent chaque année pensionnaires et soignants. Cette année, il s'agit d'une comédie de Witold Gombrowicz, Opérette, avec des parties chantées, des musiciens et, au milieu, un grand bal costumé.

Source : film-documentaire.fr

L’Adamant est un Centre de Jour unique en son genre : c’est un bâtiment flottant. Édifié sur la Seine, en plein cœur de Paris, il accueille des adultes souffrant de troubles psychiques, leur offrant un cadre de soins qui les structure dans le temps et l’espace, les aide à renouer avec le monde, à retrouver un peu d’élan. L’équipe qui l’anime est de celles qui tentent de résister autant qu’elles peuvent au délabrement et à la déshumanisation de la psychiatrie. Ce film nous invite à monter à son bord pour aller à la rencontre des patients et soignants qui en inventent jour après jour le quotidien.

Dernier volet du triptyque initié avec Sur l’Adamant puis Averroès & Rosa Parks, le film poursuit sa plongée au sein du pôle psychiatrique Paris centre. Ici, le cinéaste accompagne des soignants bricoleurs au domicile de quelques patients soudain démunis face à un problème domestique, un appareil en panne, etc…

Averroès et Rosa Parks : deux unités de l’hôpital Esquirol, qui relèvent - comme l’Adamant - du Pôle psychiatrique Paris-Centre. Des entretiens individuels aux réunions « soignants-soignés », le cinéaste s’attache à montrer une certaine psychiatrie, qui s’efforce encore d’accueillir et de réhabiliter la parole des patients. Peu à peu, chacun d’eux entrouvre la porte de son univers. Dans un système de santé de plus en plus exsangue, comment réinscrire des êtres esseulés dans un monde partagé ?

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