Noburo Iguchi
Réalisateur
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Note moyenne : 6.08/10Nombre d'évaluations : 12
0 Citations 4 Commentaires sur ses films
Les derniers commentaires sur ses films
Je n'ai pas du tout aimé. Ca semble vieux et dépassé. On dirait une parodie de série japonaise.
On dirait un mélange de X Or, Bioman,et même Goldorak tout mélangé!!! C'est vraiment trop kitch à mon gout et c'est tellement nul que je n'ai même pas rigolé.
Trop décalé pour moi!!!
Afficher en entierAh ce film... A ne certainement pas prendre au sérieux: les effets spéciaux sont très moches, les acteurs jouent ridiculement mal, c'est vulgaire... mais tellement drôle!
Des situation tellement inhabituelle et bizarre qui nous font nous demander "hein?!" chaque minute... Des scènes étranges et mal jouées qui nous font exploser de rire!
Si on veut rigoler (et si on comprend bien l'anglais car pas de vf) alors à voir et de préférence avec des amis pour le fun!
Afficher en entierAvis à la populace : ne regardez jamais, AU GRAND JAMAIS, ce film.
Ce film, que dis-je, ce chef-d’œuvre, ce monument, incarnant la quintessence du nanar japonais.
Avant toute chose : non. Non, non et non. NON.
Non, je ne suis pas ce que l’on pourrait communément désigner comme étant une amatrice de nanars, et non, ce film n’est pas simplement mauvais mais plus que mauvais, dépassant largement ce stade et de loin. Je pense… Non, je crois fermement que le genre du nanar touche le fond ou se révèle être à l’apogée de son art (dépendance des goûts) avec Zombie Ass. Sérieusement, rien que le titre est une joke. Cependant, si je n’apprécie pas spécialement de visionner ces… « Productions », je croyais qu’elles étaient tout de même régies par des limites. Un, deux, trois, test, j’avais tort. J’ai appris à mes dépends qu’il n’y a aucune limite dans un nanar, et qu’il ne s’en imposera jamais (j’aurais dû retenir la leçon après avoir regardé Le Terroriste ou Hitman the Cobra en VO, et ce n’est pas faute d’avoir tenté, pourtant). Jusqu’au point culminant où les termes « nanar » et « limite » agissent l’un contre l’autre tels des oxymores (on ne sent pas du tout la fille qui a récemment passé son épreuve anticipée de français du bac, nooon, absolument paaas). Bref, j’ai regardé ce film en fin de soirée et en compagnie de potes complètement barges qui m’y ont forcée, ce qui justifie le pourquoi du comment je me suis retrouvée plantée devant alors que je n’en avais ABSOLUMENT aucune envie.
Tout d’abord, le synopsis de Zombie Ass est brillant, si brillant, qu’il renouvelle le mythe du zombie avec goût (ironie, quand tu nous tiens). Mais oui, vous savez, ces zombies sortant tout droit des chiottes publics dans lesquels l’éclairage est certainement bien meilleur que celui du visuel dégueulasse, zombies parfumés de merde et dont des tentacules transgéniques greffées d’un cerveau humain miniature leur éclate littéralement tour à tour l’anus avant d’attaquer les personnes encore saines d’esprit et sauves qu’ils croisent, ayant le grand malheur de les croiser.
Par ailleurs, ne mangez pas avant de regarder Zombie Ass ; ni pendant, ni après. Ceci n’est pas un conseil qui vous est donné par une âme charitable, mais une consigne, un ordre d’une trauma de la vie qui n’a plus rien à perdre, et surtout pas du temps ni des neurones, atomisés pendant le visionnage. Parce que si vous osez braver cette interdiction, soyez sûrs de recracher tout ce que vous viendriez d’avaler dans la seconde, étant donné le rendu immonde de ce massacre alors qu’il est tellement vrai et réalisé par un pauvre gars s’imaginant que son film est le sacré saint Graal ! L’ensemble est trash et dégoûtant, notamment au travers des énormes pets propulseurs à la Jetpack lâchés par des personnages constipés aux expressions faciales et verbales surréalistes. Les acteurs ne sont pas des acteurs, et je devine sans mal qu’ils ont été pêchés dans l’océan de gens marchant tous les jours dans les rues, japonaises de préférence.
La réalisation, si l’on peut encore qualifier de réalisation ces mouvements de caméra maniée par un enfant de quatre ans et demi, est rehaussée d’un montage alliant rapidité, précision et efficacité n’ayant rien à envier au savoir-faire d’Akira Kurosawa, d’un doublage subtil et avant-gardiste, développant un nouveau concept, celui de se superposer à l’image lorsque les lèvres des acteurs ne bougent pas, de bruitages tranchants d’une petite Black Mamba asiatique en habit d’écolière alors qu’elle ne manie pas de katana ni aucune autre arme si ce ne sont ses bras et ses jambes aussi aiguisés que des lames, et de scènes de combat épiques entre le répliqua du Club des 5 et les Zomerdes : Black Mamba 2.0, l’intello débile à lunettes, la pétasse zombifiée du doux et délicieux nom de Maki, bouffeuse de vers et par conséquent à l’origine de tout ce bordel, sans oublier le fait qu’elle se tape la racaille de bac à sable toxicomane qui se révèle être le copain de la mignonne innocente VS. un scientifique incestueux en mode Frankenstein infectant sa propre fille devenue entretemps un zombie et sa horde de ces créatures fécales prêtes à tout anéantir sur leur passage.
Il n’y a pas de suspens et la musique est... Y avait-il de la musique ? C’est simple, je ne m’en souviens pas, pas même du moindre petit air que j’aurais pu entendre durant le film.
En somme, il s’agit ni plus ni moins que d’un nanar, et je reconnais volontiers avoir été prise de crises de fou rire quand je n’étais pas atterrée par ce que je regardais.
PS : l’épée, c’est has been.
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