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Tous les films de Peter Strickland

1976 : Berberian Sound Studio est l'un des studios de postproduction les moins chers et les plus miteux d'Italie. Seuls les films d'horreur les plus sordides y font appel pour le montage et le mixage de leur bande sonore. Gilderoy, un ingénieur du son naïf et introverti tout droit débarqué d'Angleterre, est chargé d'orchestrer le mixage du dernier film de Santini, le maestro de l'horreur. Laissant derrière lui l'atmosphère bon enfant du documentaire britannique, Gilderoy se retrouve plongé dans l'univers inconnu des films d'exploitation, pris dans un milieu hostile, entre actrices grinçantes, techniciens capricieux et bureaucrates récalcitrants. À mesure que les actrices se succèdent pour enregistrer une litanie de hurlements stridents, et que d'innocents légumes périssent sous les coups répétés de couteaux et de machettes destinés aux bruitages, Gilderoy doit affronter ses propres démons afin de ne pas sombrer…

Pour son troisième long métrage, Peter Strickland s’intéresse à la relation masochiste entre deux femmes d’âge différent : l’une a la cinquantaine, l’autre une vingtaine d’années. Dans l’intimité, elles jouent à s’affirmer dans des rôles conjugaux fantaisistes, où la répétition et l’échange de casquette, donnent naissance à des mises en scène érotiques fascinantes. Oeuvre manipulatrice, " The Duke of Burgundy" est surtout une nouvelle expérience sensorielle de l’étrange, mais aussi une brillante étude des rapports de domination/soumission au sein d’un couple aimant et attentionné. En accordant bienveillance et crédibilité à des fantasmes considérés comme sordides, il dédramatise nos pulsions sexuelles et montre l’intimité d’une relation de couple sous un versant fièrement masochiste. Il nous invite malicieusement dans sa dialectique éprouvée : Cynthia, désireuse de faire plaisir à Evelyn en se glissant dans son rôle de dominatrice, devient elle-même esclave des caprices de son esclave…Un film unique, mystérieux, à la beauté formelle évidente.

sources : http://www.cinediagonal.com/node/1051

La boutique de prêt-à-porter Dentley & Soper's, son petit personnel versé dans les cérémonies occultes, ses commerciaux aux sourires carnassiers, sa robe rouge, superbe, et aussi maudite qu'une maison bâtie sur un cimetière indien. De corps en corps, le morceau de tissu torture ses différent(e)s propriétaires avec un certain raffinement dans la cruauté.

La confrontation de deux nageurs dans un vestiaire. La transposition de scénarios traditionnellement machos dans un contexte homoérotique s’inspire de la pornographie dissimulée de Bob Mizer (MUBI).

Dans un institut de recherche alimentaire, un collectif se retrouve mêlé à des luttes de pouvoir, des vendettas et des troubles gastro-intestinaux.