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Tous les films de Philippe Faucon

Les premières amours et l'initiation à la vie adulte d'une bande d'adolescents dans la proche banlieue de Paris.

Prix du public, Belfort 1989. Prix perspectives du cinéma français, Cannes 1990. Prix de la Fondation Gan pour le cinéma, Cannes 1990

Une cité dans l’agglomération Lilloise, aujourd’hui.

Ali, Nasser et Hamza, âgés d’une vingtaine d’années, font la connaissance de Djamel, dix ans de plus qu'eux.

Aux yeux d'Ali et ses amis, Djamel apparaît comme un aîné aux propos acérés et au charisme certain. Habile manipulateur, il endoctrine peu à peu les trois garçons, connaissant mieux que quiconque leurs déceptions, leurs failles et leurs révoltes face à une société dans laquelle ils sont nés, mais dont aucun des trois ne pense plus désormais faire partie.

Samia (Lynda Benahouda), une jeune fille âgée de quinze ans, vit dans la périphérie de Marseille. Sixième d'une famille de huit enfants d'origine algérienne très traditionaliste, elle étouffe sous le poids d'une morale faite de croyances et d'interdits qu'elle respecte mais ne partage plus...

Yacine (Mohamed Chaouch), le grand frère au chômage, se fait le gardien des traditions familiales et religieuses, tandis que la sœur aînée, Amel (Nadia El Koutei), s'exclut de la famille en poursuivant une relation avec un garçon de culture différente. Les autres sœurs prennent le parti de tout miser sur leur réussite en classe.

Samia, poursuivie par ses échecs scolaires, orientée malgré elle vers un enseignement technique, obligée de vivre clandestinement un premier flirt, prend conscience de l'absolue nécessité de ne laisser personne décider de sa vie.

Pendant la guerre d'Algérie, le sous-lieutenant Roque est stationné dans un village de l'est algérien. Usé par le conflit, il assume tant bien que mal sa fonction, entre une population locale soumise à la répression et à la torture, et des soldats dont il doit entretenir le moral tout en maintenant sa vigilance.

L'évolution de ses rapports avec Taïeb, un jeune soldat déchiré de souche nord-africaine, exacerbe les contradictions et l'absurdité de la "guerre sans nom".

Fatima vit seule avec ses deux filles : Souad, 15 ans, adolescente en révolte, et Nesrine, 18 ans, qui commence des études de médecine. Fatima maîtrise mal le français et le vit comme une frustration dans ses rapports quotidiens avec ses filles. Toutes deux sont son moteur, sa fierté, son inquiétude aussi. Afin de leur offrir le meilleur avenir possible, Fatima travaille comme femme de ménage avec des horaires décalés. Un jour, elle chute dans un escalier. En arrêt de travail, Fatima se met à écrire en arabe ce qu'il ne lui a pas été possible de dire jusque-là en français à ses filles.

Muriel, discrète et solitaire, tombe amoureuse de sa meilleure amie Nora, une jeune femme exubérante et rayonnante. Sûre de ce qu'elle ressent, elle décide de se confier à sa mère, qui supporte mal cette réalité. Alors que Nora semble encore hésitante sur la vraie nature de ses sentiments, elles décident d'aller passer quelques jours à la mer... Loin de leurs familles et en quête d'une nouvelle liberté, pourront-elles enfin laisser libre cours à l'éclosion de leur désir?...

Esther, une femme âgée de confession juive, a besoin d'une assistance permanente. Mais elle use ses gardes-malades, du fait de sa mauvaise humeur, et la dernière en date vient de démissionner. Elie, le fils d'Esther, ne sait plus quoi faire. Sélima, l'infirmière de jour, propose les services de sa mère, Halima, musulmane pratiquante. Contre toute attente, une vraie complicité se crée entre les deux femmes. Halima sait se faire apprécier et respecter. Pleine d'énergie, elle redonne à Esther le goût de vivre.

Entre juillet 1989 et mai 1990, une jeune femme atteinte du Sida tient le journal des derniers mois de sa vie. Au travers de ces écrits maladroits, voulus et menés avec ses dernières forces, se raconte un combat de tous les jours, âpre, acharné et épuisant contre la maladie et la détresse, mais dans lequel pourtant aucune place ne sera faite jamais ni à la complaisance, ni au désespoir.

(Source : www.allocine.fr)

Amin est venu du Sénégal pour travailler en France, il y a neuf ans. Il a laissé au pays sa femme Aïcha et leurs trois enfants. En France, Amin n’a d’autre vie que son travail, d’autres amis que les hommes qui résident au foyer.

Aïcha ne voit son mari qu’une à deux fois par an, pour une ou deux semaines, parfois un mois. Elle accepte cette situation comme une nécessité de fait : l’argent qu’Amin envoie au Sénégal fait vivre plusieurs personnes.

Un jour, en France, Amin rencontre Gabrielle et une liaison se noue. Au début, Amin est très retenu. Il y a le problème de la langue, de la pudeur. Jusque-là, séparé de sa femme, il menait une vie consacrée au devoir et savait qu’il fallait rester vigilant.

Novembre 1953. Pauline Dubuisson est accusée d'avoir tué de sang-froid son amant. Mais qui est donc cette jeune femme dont la France entière réclame la tête ? Une arriviste froide et calculatrice ? Un monstre de duplicité qui a couché dans le lit de l'Occupant, a été tondue, avant d'assassiner par jalousie un garçon de bonne famille ? Ou n'est-elle, au contraire, qu'une jeune fille libre qui revendique avant l'heure son émancipation et questionne la place des femmes au sein de la société ?

Fin des années 50, début des années 60, la guerre d’Algérie se prolonge. Salah, Kaddour et d’autres jeunes Algériens sans ressources rejoignent l’armée française, en tant que harkis. Á leur tête, le lieutenant Pascal. L’issue du conflit laisse prévoir l’indépendance prochaine de l’Algérie. Le sort des harkis paraît très incertain. Pascal s’oppose à sa hiérarchie pour obtenir le rapatriement en France de tous les hommes de son unité.