Cher Cinéphile,
Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.
Nos publicités sont spécifiquement choisies pour être en harmonie avec notre contenu, centré sur le cinéma. Elles sont non intrusives et peuvent vous connecter avec des opportunités pertinentes et passionnantes dans le monde du cinéma. En bloquant ces publicités, vous limitez non seulement une source de revenus essentielle pour nous, mais vous risquez également de manquer de précieuses informations de l'industrie cinématographique.
Pour que vous puissiez continuer à profiter de nos articles, revues et nouveautés du monde du cinéma, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités spécifiquement pour notre site.
Une fois que vous avez désactivé votre bloqueur de publicités, veuillez cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page et poursuivre votre exploration de l'univers cinématographique.
Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.
Cordialement,
L'équipe CineNode
En 1993, Radu Mihaileanu tourne son premier long métrage, Trahir, qui conte les dêmélés d'un poète roumain dissident avec le régime stalinien. Mais c'est avec son deuxième opus, Train de vie, primé à Venise et Sundance, que le cinéaste accède à la reconnaissance internationale : cette fable teintée d'humour juif aborde la Shoah sous un angle original, l'organisation d'un faux train de déportation par des villageois qui espèrent ainsi échapper aux camps de la mort.
Les thèmes chers au cinéaste - l'exil, l'identité - sont au coeur de son troisième film, Va, vis et deviens, très remarqué au Festival de Berlin : le cinéaste, qui a fait appel à Roschdy Zem et Yaël Abecassis, s'inspire cette fois de l'histoire des Juifs ethiopiens envoyés en Israël au milieu des années 80. Une histoire qui lui permet de remporter le César du meilleur scénario en 2006. Une récompense couronnant au passage une belle carrière en salle avec plus de 400 000 spectateurs. Il prolongera ensuite son regard sur le sujet à travers un documentaire : Opération Moïse.
En 2009, avec plus de légèreté mais non sans émotion, il réalise Le Concert, avec l'acteur russe Aleksei Guskov et Mélanie Laurent, évoquant l'histoire d'un chef d'orchestre russe déchu après avoir refusé de se séparer de ses musiciens juifs.
source : allociné