Répliques

Thor : Très cher frère, tu deviens tellement prévisible. Je te fais confiance, tu me trahis, c’est à chaque fois pareil, nous tournons en rond. Ecoute Loki, la vie a besoin d’évolution, de changements, tu sais. Mais toi, tu sembles toujours vouloir rester le même. Je crois que ce que j’essaye de dire c’est que tu resteras à jamais le dieu de la malice mais tu pourrais être tellement plus.

Loki : Odin nous avait rapproché. Ne serait-il pas poétique que sa disparition nous sépare ?

Bruce : Alors ? La dernière fois qu’on s’est vu, vous vouliez tuer tout le monde. Vous en êtes où aujourd’hui ?

Thor : Hey, on se connaît tous les deux ! C’est un collègue de travail !

Thor : Par la barbe d’Odin, si vous touchez à ma crinière, vous déclencherez la fureur du tout puissant Thor !

Korg : On dirait que tu avais vraiment une relation très intime avec ce marteau. Et que sa perte est comparable à celle d’être un être aimé.

Thor : Non, je volais. Le marteau me faisait subitement décoler et je m’envolais. Et à chaque fois que je le lançais au loin, il revenait vers moi.

Thor : Non, non, je le faisais tourner très vite et c’est lui qui m’envoyait en l’air.

Thor : Une pièce unique, fabriquée avec un métal précieux provenant du cœur d’une étoile mourante et quand je le faisais tourner très vite, il me permettait de voler.

Thor : Odin, j’espère que tu as trouvé ta place au sein du Valhalla où les braves vivent éternellement. Nous ne devons pas pleurer mais nous réjouir pour tous ceux qui meurent dans l’honneur et la gloire.