Commentaires

Comme lors du troisième film, cette suite semble en décalage complet avec le cliffhanger de Resident Evil : Retribution et l’orientation de l’histoire envisagée dans ce précédent opus. La bataille de Washington, tous comme la grande majorité des personnages du précédent opus, sont complètement éclipsés du scénario, qui laisse place à un compte à rebours de 48h pour un retour à Racoon City. Mais comme lors du précédent film, le scénario, l’univers, les personnages et l’histoire ne servent qu’à la mise en place d’une action quasi continue devant mener à une révélation finale attendue. Il n’en reste pas moins caractérisé par une très grande incohérence globale, ne respectant ni l’univers mis en place dans les précédents films Spoiler(cliquez pour révéler)(L’introduction remet ainsi complètement en cause les bases d’univers développés dans Resident Evil et Resident Evil : Apocalypse, recréant l’origine du virus T et de Umbrella Corporation, transformant Albert Wesker en sous-fifre du docteur Isaac, alors qu’il est présenté comme le président de la corporation lors du troisième film, etc.) ni l’univers des jeux duquel il s’inspire Spoiler(cliquez pour révéler)(l’intégration de l’univers du jeu Resident Evil quatre devient encore plus irrationnelle que lors des précédents opus, en particulier dans sa tentative de faire du clone du docteur Isaac une copie de Bitores Mendez). De même, l’habitude de s’appuyer sur des deus ex machina et de multiples retournements de situations et d’histoires Spoiler(cliquez pour révéler)(en particulier quant à l’utilisation des clones d’Isaac et de Alice, ou le programme de prédiction de combat de Isaac) n’aide pas à se retrouver et multiplie la sensation d’incompréhension de l’histoire. Certes, les combats sont bien menés et la chorégraphie est efficace ; mais elles ont perdu de leurs saveurs et ne permettent plus de garantir l’attention du spectateur Spoiler(cliquez pour révéler)(comme lors du combat final entre Alice et Isaac, qui semble bien trop long par rapport à l’enjeu temporel du compte à rebours, par exemple). De même, la caméra, le montage, les personnages, le jeu des acteurs, la musique n’arrivent guère à relever l’attention du spectateur durant l’ensemble du visionnage, voire au contraire dessert l’ensemble. Un très mauvais film, tous simplement.

J'adoooore les films Resident Evil pour moi cela à été un pur bonheur de retrouver toute l'équipe pour le combat final qui à été fantastique et plein plein de rebondissements. C'était parfait, merci pour ces 1h47 de bonheur, de surprise, de peur et de joie (et j'en passe).

J'aime bien cette saga dans son ensemble même si pour moi le volet 2 et 3 sortent du lot, ce 6 opus est dans la ligné des autres.

C'est avec joie et tristesse que j'ai regarder cette opus comme toute chose il y a une fin, mes enfants et moi ont c'est régalé.