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Bedlam
Réalisateur
- Mark Robson (Réalisateur)
Thèmes principaux du film
Bedlam
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Le titre est emprunté à une gravure du peintre Hogarth intitulée Bedlam, dont l'atmosphère servira de base à l'écriture du scénario. Le style oscille ainsi entre l'esthétique Rococo du peintre, et une sobriété inévitable due a un budget restreint. Le film est tourné en une semaine mais bénéficie du savoir-faire RKO, avec en prime Boris Karloff, interprétant magnifiquement un directeur odieux et machiavélique. On est finalement plus près de la critique sociale que du film horrifique. Il fut censuré en Angleterre, officiellement à cause de la peinture peu reluisante faite du premier asile de fou, officieusement ce serait plutôt le portrait sans concession de l'Angleterre au XVIIIe siècle qui aurait couté au film sa diffusion. Certaines scènes on marquées durablement le cinéma d'horreur, comme cette séquence où Honnay s'enfonce dans le couloir obscur des cages avec la multitude des mains qui se tendent derrière les barreaux pour l'agripper. C'est un film à voir, en le replaçant dons son contexte historique.
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Editeurs
Les chiffres
spectateurs | 2 |
Commentaires | 1 |
répliques | 0 |
Evaluations | 1 |
Note globale | 6 / 10 |
Synopsis
1761, Londres. A l'asile Bedlam, le sadique directeur George Sims règne d'une main de fer. Un prisonnier qui essayait de s'évader meurt en tombant du toit du bâtiment. Par hasard, le très riche et puissant Lord Mortimer assiste au tragique événement, en compagnie de Nell Bowen, sa jeune protégée. Le défunt était en réalité un célèbre poète que Mortimer admirait. Bientôt, Nell et le Lord découvrent l'horrible traitement infligé à ces malades mentaux. Bien vite apaisé par les discours de Sims, Mortimer ne semble plus s'intéresser à l'affaire. Mais Nell n'en démord pas et finit par être elle-même internée...
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